Les Urmahs, Maîtres de l'Astral

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Auteur : Mari Swa
Publié le 1er février 2025

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 31 janvier 2025.

Aujourd’hui, je vais vous parler de l’un des aspects ou l’une des caractéristiques les plus importantes des Urmahs en tant qu’espèce.

Les gens de la Terre ont tendance à tout humaniser, en partant du principe que toutes les autres créatures avancées de l’univers doivent percevoir la réalité comme eux, ce qui est un exemple flagrant de l’arrogance humaine.

Et c’est cela qui conduit les gens de la Terre, en majorité dans le mouvement New Age, à représenter le peuple Urmah avec le corps d’un humain et la tête d’un félin, si bien que seule leur tête les différencie des humains ordinaires. Alors que logiquement, une tête de lion ou de tout autre félin, va avec le corps qui lui correspond.

Les Urmahs sont des félins, non seulement physiquement mais aussi mentalement, ce qui est logique, car ils ont forcément la mentalité qui correspond à leur corps. Ils pensent et agissent comme des félins, parce que ce sont des félins. Et cela signifie qu’ils ne comprennent pas et ne perçoivent pas la réalité comme le font les Humano-Lyriens.

Bien que certaines choses puissent correspondre et que nous puissions être d’accord dessus, d’autres choses sont radicalement différentes entre eux et nous. Et c’est le cas dans leurs manières de percevoir l’univers à son niveau le plus expansé, qui sont complètement étrangères à celles des Humains.

Comme je l’ai expliqué précédemment, il n’y a pas de monde matériel ou de règne matériel en tant que tel. Car en réalité, TOUT est astral. Ce qui fait que ce que nous percevons comme étant matériel, est juste une illusion causée par le filtre biologique de notre corps, qui nous donne l’expérience de la séparation d’avec tout le reste. Ce qu’on appelle « monde matériel » ou « monde des vivants », n’est qu’un aspect de plus de l’astral. Le monde matériel n’est qu’un autre endroit dans l’astral lui-même. Et il n’est défini que par les limites de perception qu’une personne ou une créature peut avoir.

Les Urmahs, comme tout bon chat qu’ils sont, ne perçoivent pas de limites au monde matériel, comme le font les Humano-Lyriens. Ils mélangent les deux mondes en un seul, sans mettre aucune limite entre les deux. Ils perçoivent les règnes matériels dans lesquels ils peuvent interagir avec nous, les Humano-Lyriens, entre autres espèces, simplement comme une autre façon de percevoir les autres règnes existentiels, avec des règles apparemment différentes.

Dans notre perception en tant qu’Humano-Lyriens, nous avons tendance à séparer le monde astral du monde matériel. Et nos rêves viennent parfaitement illustrer cette séparation que nous faisons, dans le sens où, lorsque nous dormons, les mondes oniriques sont pour nous aussi réels que le monde que nous percevons pendant nos heures d’éveil. Jusqu’à ce que nous nous réveillions et fassions clairement la différence entre ce qu’il se passait dans nos rêves, et la réalité dure de notre état de veille.

Les Humains-Lyriens ont tendance à voir les mondes oniriques comme des mondes faux, imaginaires et irréels. Ce qui est le résultat d’une programmation socioculturelle, qui se fonde principalement sur la continuité linéaire tangible du monde que nous expérimentons tandis que nous sommes éveillés, en contraste avec les caractéristiques non linéaires des mondes oniriques.

Le fait qu’une expérience soit linéaire ne la rend pas plus réelle que celle qui ne l’est pas. En effet, la linéarité du temps n’est présente que dans la perception limitée des royaumes matériels, et elle fait partie des mécanismes du blocage mental de la conscience qui limitent l’expansion d’une âme.

Les règnes astraux sont tout aussi réels pour les Urmahs, que ne l’est le « monde matériel » pour la plupart des Humains enfermés dans une mentalité 3D.

Les Urmahs peuvent se concentrer sur ce qu’il se passe dans le monde matériel comme nous le faisons nous, pour interagir avec d’autres créatures plus matérialistes, comme le sont généralement les Humano-Lyriens. Mais ils peuvent aussi approfondir : ils placent leur corps sur une chaise confortable ou sur un lit, et ils partent dans l’astral avec une extrême habileté.

Les Urmahs dorment de manière traditionnelle, et pendant ce temps, leur conscience vole vers des mondes oniriques moins denses, pour reposer leur esprit et réparer leur cerveau. Mais ils peuvent aussi induire ce que les Humains appellent des rêves lucides ou des projections astrales à volonté.

Les Urmahs ne considèrent pas l’astral comme un monde se trouvant à part des mondes oniriques ou mondes des rêves, comme le font de nombreux auteurs sur Terre, qui expliquent les choses avec insistance, avec cette tendance excessive et fatigante à tout compartimenter et à disséquer l’existence en parties plus petites, tout en imposant des caractéristiques, alors qu’ils ont peu de connaissances sur le sujet, voire qu’ils n’y connaissent fichtrement rien.

Comme l’expliquent les Urmahs, les mondes oniriques ne sont qu’un ensemble de limites mentales inconscientes dans lesquelles une âme, une conscience, peut demeurer en toute sécurité, tandis que son corps et son esprit se réparent pendant le sommeil.

En dehors de ces limites oniriques, une conscience, une âme, doit être consciente de la façon dont les choses fonctionnent dans l’astral, afin de pouvoir exploiter l’expérience de s’y trouver sans être interférée par des créatures et des entités qui habitent ces lieux, dont beaucoup peuvent être au minimum assez désagréables.

La plupart des Humano-Lyriens ne savent pas comment fonctionne l’astral, simplement parce qu’ils n’ont aucune idée de comment se passent les choses là-bas, étant donné que le seul exemple qu’ils ont et qui s’en rapproche le plus, ce sont les rêves et les mondes oniriques, avec un léger indice de quelque chose d’autre lorsqu’ils ont des rêves lucides.

Les Urmahs habitent aussi bien dans les règnes astraux que dans les règnes qu’on appelle « matériels », de sorte que ce sont de parfaits experts pour gérer tout ce qui est astral. Cela fait qu’ils ne voient pas la vie et la mort comme le font communément les Humano-Lyriens, parce qu’ils comprennent que les choses ne sont pas aussi dramatiques, et qu’ils peuvent facilement contacter leurs aïeux et leurs ancêtres, même après la mort physique de ces derniers.

Si je reprends ma métaphore comparant l’astral à la mer, dont j’ai récemment parlée dans une vidéo, les Urmahs seraient alors comme des sous-marins. Car ils peuvent aussi bien opérer à la surface de la mer, c’est-à-dire dans les règnes matériels que nous appelons « réalité », que plonger à volonté dans les profondeurs de mondes étranges. Tous ces mondes étant en fait le même.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Je n’ai pas encore traduit cette vidéo intitulée « L’astral est comme la mer ». Mais pour ceux qui comprennent l’anglais (existe aussi en espagnol), la voici : The Astral is like the Sea – Fin de la note]*.

J’ai remarqué que plusieurs auteurs sur Terre, dont je préfère ne pas dire les noms, promeuvent l’idée que les extraterrestres sont dans l’astral et donc dans l’au-delà. Or, bien que ce ne soit pas vraiment exacte, il y a tout de même une part de vrai en ce qui concerne les Urmahs qui, parmi d’autres races stellaires, habitent dans leur propre définition d’un règne existentiel, où ils observent leurs propres règles et limites de félins, qui ne correspondent pas forcément aux idées et perceptions des Humain-Lyriens.

Ils demeurent dans l’astral et l’au-delà, ainsi que dans les règnes matériels tels qu’ils sont définis par les Humano-Lyriens, le tout à volonté. Les Urmahs ont un tel contrôle sur l’astral qu’ils s’organisent pour y aller quand ils le souhaitent ou quand ils considèrent que c’est nécessaire.

Comme je l’ai expliqué dans une autre vidéo, ce qui définit et contrôle tout ce qu’il se passe dans le monde matériel, provient majoritairement de l’astral. Les Urmahs savent très bien que pour résoudre des problèmes, pour gagner un combat ou une guerre, ils doivent approfondir, ils doivent aller dans l’astral et combattre à partir de là-bas, et pas seulement depuis le point de vue physique de ce que l’on appelle le « monde des vivants ».

Comme les Urmahs peuvent se projeter astralement ou avoir des rêves lucides à volonté et totalement sous leur contrôle, ils ont généralement tendance à aller dans les royaumes astraux de manière organisée, par exemple en tant qu’unité militaire. Autrement dit, un peloton de guerriers Urmahs part dans les royaumes astraux, à la recherche de tout ce qui cause certains problèmes là-haut dans le monde des vivants.

Quand je mentionne ici le monde des vivants, ou les règnes matériels, je fais référence à comment les Humain-Lyriens les définissent, et non pas à comment le font les Urmahs. Puisque la définition et la perception qu’en font ces derniers, sont beaucoup plus amples et incluent des parties que les Humain-Lyriens considéreraient comme étant des parties de mondes oniriques ou astraux.

Chaque fois qu’un problème est perçu dans le monde des vivants, les Urmahs vont facilement dans les mondes astraux pour voir ce qui cause le problème. Cela leur permet d’avoir une compréhension beaucoup plus large du problème et de la réalité elle-même, d’une manière qui est très difficile à imaginer pour la moyenne des Humano-Lyriens.

Ici, j’utiliserai même le mot « plonger », dans le sens le plus littéral du terme, car les Urmahs vont plus profondément, comme s’ils descendaient au sous-sol, pour aller voir la cause-racine de n’importe quelle chose qu’ils veulent, étant donné qu’ils peuvent s’immerger dans le problème pour le comprendre dans sa totalité.

Dans le cadre de leur éducation, les Urmahs reçoivent un entraînement militaire astral complet, dans lequel ils s’organisent pour aller dans ces règnes astraux pour combattre toutes sortes d’ennemis, pouvant être d’autres espèces qui sont aussi capables de descendre dans l’astral pour se battre comme eux, comme par exemple plusieurs espèces de Sauroïdes (Reptiliens)* régressifs. Mais ils peuvent aussi pénétrer dans l’astral pour lutter contre des entités et des créatures qui n’existent que là-bas, et qui peuvent également causer beaucoup de problèmes de toutes sortes.

Les Urmahs ne prennent même pas la peine d’essayer de comprendre la réalité et la causalité des choses seulement depuis le point de vue du monde physique matériel, étant donné qu’ils vont toujours dans l’astral pour comprendre la nature de tous les événements, à tel point que les unités militaires urmahs travaillent principalement dans et depuis l’astral. Et ensuite, ils se déplacent depuis là-bas jusqu’au monde matériel.

Depuis notre point de vue limité humano-lyrien, nous avons tendance à voir les lois et les règles qui régissent le monde des vivants comme logiques et séquentielles, et donc très différentes de celles des règnes astraux, qui nous paraissent confuses et incompréhensibles.

Mais ce n’est pas ainsi que les Urmahs perçoivent les choses, étant donné qu’ils comprennent toutes les lois et les règles de l’astral, et qu’ils les mélangent avec celles du monde des vivants. À tel point que pour les Urmahs, le monde des vivants résulte et s’est manifesté à partir du monde astral, comme une conséquence logique de celui-ci.

Les lois et les caractéristiques de l’astral se mélangent et correspondent parfaitement à celles des règnes matériels, ces derniers étant la parfaite conséquence du premier. Et l’une des règles astrales que l’on ne trouve pas si facilement dans le monde des vivants, c’est le fait que dans l’astral, les choses sont beaucoup plus faciles à manifester.

Pour les Urmahs, affronter des ennemis astraux est assez facile, car presque tous leurs ennemis utilisent la peur comme principal outil et arme de manipulation. En effet, la peur est très utilisée par les entités régressives qui sont classées par les humains comme des Démons, ainsi que par d’autres espèces maléfiques qui utilisent également l’astral à leurs fins, comme certains Reptiliens.

Or, les Urmahs, et encore plus les Urmahs militaires, se caractérisent par le fait d’être intrépides et audacieux, car ils savent et se rappellent pleinement que leur corps biologique repose dans un lit confortable, pendant qu’ils luttent consciemment contre des choses malignes, des créatures et des Démons dans les royaumes astraux. Ils savent que le fait de se déplacer dans l’astral avec une mentalité d’invincibilité, les rendra effectivement invincibles et intouchables.

Ils manifestent les outils, les armes et les boucliers dont ils ont besoin, en utilisant la pensée et l’imagination, en parfaite coordination avec leurs camarades et membres de l’unité, étant donné qu’ils sont complètement entraînés pour le faire.

Ils peuvent affronter dans l’astral un terrible Démon et manifester un bouclier d’énergie mentale incassable autour d’eux, tandis qu’ils se dirigent sans crainte vers le Démon, en face à face avec lui. Et celui-ci peut se présenter aux Urmahs en s’élevant au-dessus d’eux comme s’il était beaucoup plus énorme qu’eux, ceci comme une stratégie d’intimidation.

Mais le guerrier astral Urmah peut devenir aussi grand que le Démon, ou bien il peut l’affronter d’un point de vue de moindre stature, car il sait de toute façon que tout ce qui est dans l’astral est malléable et relatif. Puis il tranchera la tête du Démon et l’abattra avec la même facilité, avec la puissante épée astrale qu’il aura manifestée pour lui-même selon ses besoins.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Il est intéressant de constater que 2 jours avant que Mari écrive ce texte, j’avais décrit à peu près la même scène, en plus résumée, dans le texte suivant : Vous ne pourrez jamais m’arrêter ! Parole d’Urmah lionne – Fin de la note)*.

Dans l’astral, le guerrier Urmah connaît tous les stratagèmes des entités qui y habitent, et il sait comment les contrer. Il sait que la peur est leur méthode préférée pour diminuer le pouvoir de n’importe qui. Car la peur fait en sorte que la victime manifeste par elle-même des choses mauvaises qui profitent à l’entité maligne.

Les Urmahs sont aussi fiers que puissants, tant dans le monde des vivants que dans l’astral. Ils peuvent contrôler leurs émotions et leurs réactions. Et ils savent que le fait de se déplacer et d’affronter les ennemis astraux sans peur, est la clé de la domination totale.

Les Urmahs sont les principaux prédateurs de la galaxie, car ils s’y trouvent presque partout, à tel point que la puissante Confédération Urmah est le seul véritable rival de la Fédération galactique. Et bien qu’ils soient officiellement membres de cette dernière, les Urmahs font quand même les choses à leur façon, en suivant leurs propres règles et non pas celles que la Fédération essaye de leur imposer.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Mari dit « prédateurs » dans le sens symbolique du terme, puisque les Urmahs ont arrêté de chasser et mangent de la viande artificielle, qu’ils fabriquent eux-mêmes dans des caissons médicaux – Fin de la note)*.

Les Urmahs sont devenus les principaux prédateurs de la galaxie parce qu’ils ont conquis le domaine spirituel, éthique et militaire, tant du monde des vivants que des règnes astraux qui le génèrent.

Les Urmahs peuvent aller dans l’astral pour voir toutes les interactions énergétiques qui connectent les personnes, les âmes, les événements et les lieux, le tout depuis un point de compréhension intemporelle et non linéaire. C’est pourquoi il est si difficile, sinon impossible, de tromper les Urmahs, car ils peuvent voir à travers les pièges et les trahisons avec une parfaite facilité.

Ils peuvent aller dans l’astral pour comprendre ce qui cause les problèmes dans le monde des vivants, comment ces problèmes sont connectés entre eux, comment les gens pensent et ce qui les motive réellement.

Sachant que ce sont des chats, donc qu’ils dorment beaucoup et qu’ils ont une forte tendance à être dans les mondes oniriques, on comprend facilement que les Urmahs passent au final plus de temps dans les règnes astraux que dans le monde des vivants, et pourquoi ils maîtrisent aussi bien l’astral.

Les Urmahs n’ont pas peur d’affronter même les entités maléfiques et les Démons les plus puissants, car ils savent qu’ils sont l’une des manifestations les plus puissantes de la Source, et qu’ils sont les porteurs de sa lumière et de son pouvoir.

L’éthique urmah figure parmi les plus avancées de toutes celles qui existent, si ce n’est la plus avancée, car elle repose sur les intérêts et les interactions aussi bien du monde astral et de l’au-delà, que sur ceux du monde des vivants. Ils connaissent très bien les conséquences qu’engendre le fait de ne pas agir de manière éthique et spirituelle, étant donné que la réalité ne s’arrête pas aux règnes matériels et que toutes les actions ont des conséquences karmiques.

Je sais que je suis partiale (étant une starseed Urmah)*, mais j’ai un respect et un amour très profonds envers le magnifique peuple urmah, ses espèces et sa culture.

Ils sont le meilleur exemple d’éthique parfaite, de spiritualité parfaite et de conscience expansée. Ils ont une grande connaissance de Soi et de la façon dont les choses fonctionnent réellement, y compris l’existence elle-même. Tout cela combiné dans une belle et majestueuse espèce biologique, qui transmet un immense pouvoir physique et spirituel brut, avec compréhension, amour et intégration, et avec une immense bonté et un besoin constant d’aider les autres.

Les Urmahs sont des êtres astraux et ce sont aussi de grands félins physiquement puissants. Je les aime tout simplement.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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