Plus près de Mari - Partie 2 - Le prix à payer du fait d'être la reine de Taygeta

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Auteur : Mari Swa
Publié le 31 mars 2025

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez tous très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 30 mars 2025.

En l’an 2008 de votre temps terrestre, je suis née sous l’eau dans une baignoire à bord d’un petit vaisseau Suzy de première génération, dans l’espace profond, voyageant dans l’Hyper Espace et aussi loin que possible de toute planète habitée.

Techniquement parlant, le vaisseau se déplaçait beaucoup plus vite que la lumière, bien que dans l’Hyper Espace, le terme « plus rapide » ne s’applique pas vraiment.

Ma mère et ma grand-mère, qui était là pour aider ma mère lors de l’accouchement, pensaient que faire naître un bébé dans le monde matériel se déplaçant à grande vitesse dans l’Hyper Espace, accentuerait ses capacités psychiques et renforcerait ses souvenirs de vies passées, faisant en sorte que tout ce qui avait été appris dans ces vies, serait plus accessible pour le bébé plus tard dans sa vie. Et ce bébé, c’est moi.

Cette idée est probablement née du concept que l’Hyper Espace (ou Éther)* n’est plus le monde matériel et qu’il ressemble davantage au monde spirituel.

Je ne sais pas si une telle chose a vraiment fonctionné, car mes souvenirs de vies passées ne sont pas aussi clairs pour moi qu’ils ne le sont pour d’autres Taygétiens, parmi d’innombrables autres races stellaires qui s’en souviennent comme si ces vies s’étaient déroulées la vieille. Et je dis ça littéralement, parce qu’ils ont l’impression que leur vie présente n’est qu’une continuation de leurs vies passées, et qu’ils ont juste une nouvelle peau, mais avec une pleine mémoire consciente de leurs vies antérieures, en particulier de la dernière et de l’avant-dernière. Si bien que pour eux, c’est comme s’ils avaient juste changé de véhicule, comme lorsqu’on achète une nouvelle voiture.

Dans mon cas, je me souviens énormément de ce que j’ai appris dans mes vies passées, y compris avec des détails, mais je le ressens plus comme des conteneurs d’informations sous forme de données brutes et aussi comme ce que nous enseigne l’expérience empirique, comme des processus d’apprentissage qui restent en nous après des vies entières.

Mais je ne ressens pas ces vies passées comme si je les avais vraiment vécues. C’est presque comme si j’empruntais ces souvenirs et ces connaissances à quelqu’un d’autre. Par conséquent, je ne m’identifie pas à qui j’étais dans ces vies passées et je suis complètement concentrée sur le fait que maintenant je suis Mari, que c’est la seule chose qui compte, et que tout ce que j’étais avant n’est qu’un bagage utile pour naviguer dans le présent.

Je pensais qu’à ce niveau tout était clair pour moi, jusqu’à ce que je tombe gravement malade l’année dernière et que les chats Urmahs m’aident avec une de leurs effrayantes et puissantes procédures astrales. Ce lion bleu astral que j’ai rencontré pendant ce voyage astral induit, dans un monde semblable au monde onirique, et que j’appelle « le chat cosmique », a mentionné deux fois que j’étais l’une d’entre eux et que c’est pour ça qu’ils m’aidaient, parce que sinon, je ne pourrais pas accomplir ma mission, quoi que cela signifie.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui n’ont pas lu le texte de Mari décrivant ce soin urmah extraordinaire qu’elle a vécu en octobre 2024 à bord du vaisseau Avyon 1, voici ma traduction de la cérémonie complète : Les Urmahs m’ont guérie, Parties 1, 2, 3 – Expérience de cérémonie complète – Fin de la note)*.

Et le chat cosmique a aussi fait référence à moi, d’abord comme une tigresse, puis comme une lionne. Et au début, je pensais que c’était juste une expression rhétorique, un compliment et rien de plus. Comme quand un père appelle son fils « tigre », quand il lui dit par exemple lors d’un match de baseball : « Bats toi comme un tigre ! ».

Mais pourquoi a-t-il utilisé les mots « tigresse » et ensuite « lionne » en me parlant ? J’ai plutôt l’impression qu’il voulait m’embrouiller et que je ne sache pas laquelle des deux j’étais, ou je suis, réellement.

Entre ça et d’autres signes subtils, et d’autres pas si subtils, provenant d’Arishah, de Ruhr, de Kiraï-Kaï-Kotsée et de Ko’orkas, entre autres amis Urmahs, cela m’a fait penser qu’il était possible que je sois l’une d’entre eux, que je sois peut-être une Urmah en immersion.

Je le leur ai demandé directement, mais ils ne me répondent jamais, et si j’insiste, ils répondent de manière évasive ou en le transformant en quelque chose de drôle.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Grâce à la technologie des caissons d’immersion, beaucoup de starseeds sur Terre et sur d’autres planètes, s’incarnent dans un autre être de leur vivant, c’est-à-dire sans avoir à attendre de mourir pour se réincarner dans une autre race et un autre monde depuis l’au-delà.

Un pod, une capsule ou un caisson d’immersion, est comme un lit encapsulé et vitré, dans lequel la personne est endormie et immergée totalement dans un liquide spécial, dans lequel elle est nourrie et respire, comme le fœtus dans le liquide amniotique.

Et par le biais d’une technologie très avancée, basée sur un système de fréquences, la conscience de la personne endormie est déviée depuis son cerveau jusqu’au cerveau de son nouvel avatar. Une connexion qui peut se faire directement au cerveau de l’embryon au bout de 15 jours de gestation, ou plus tard à n’importe quel âge dans les cas de walk-in (je précise néanmoins qu’un walk-in peut se faire aussi bien depuis un caisson d’immersion, que naturellement depuis l’au-delà).

Et souvent, le starseed a oublié totalement ou partiellement qui il est dans ce caisson d’immersion, afin de vivre pleinement cette autre incarnation. Car le voile de l’oubli n’est pas spécifique à la Terre, bien que sur cette planète il soit particulièrement fort, à cause des ondes de basse fréquence 3D dans laquelle elle est immergée et qui rendent plus difficiles ces reconnexions mémorielles.

Mais le starseed peut aussi avoir la pleine mémoire de son autre Soi. Bien que généralement, cette mémoire s’amplifie graduellement au fil de la vie, au fur et à mesure que le starseed travaille sur sa confiance en soi et en son intuition. L’hypnose quantique de régression, aussi appelée « méthode Dolores Cannon » ou QHHT (Quantum Healing Hypnosis Technique), aide énormément à faire ces reconnexions à des mondes plus « subtils » et à d’autres incarnations.

D’ailleurs, le voile de l’oubli de la Terre serait moins fort lorsque l’incarnation se fait depuis un caisson d’immersion que depuis l’au-delà, même si ce n’est qu’une généralité et qu’il y a plein d’exceptions dans les 2 cas de figure.

Ensuite, quand son autre corps meurt, la conscience du starseed se reconnecte aussitôt au cerveau de son corps endormi dans le caisson d’immersion, il se réveille, et petit à petit il reprend sa vie d’avant, avec généralement la pleine mémoire de ce qu’il a vécu dans cette autre vie.

Et avec les différences de perception temporelle d’un monde à l’autre, ajoutées au fait que le caisson d’immersion permet aussi, comme la réincarnation naturelle, de s’incarner dans n’importe quel espace-temps, autrement dit de faire un voyage dans le temps vers le passé ou vers le futur, la personne peut ainsi avoir vécu toute une très longue vie ailleurs et ne s’être absentée que quelques mois ou années chez elle.

Bien sûr, beaucoup de starseeds s’incarnent aussi de manière naturelle depuis l’au-delà, après la mort. Mais le fait d’utiliser la technologie d’immersion permet, non seulement de ne pas avoir à attendre toute une vie pour mourir et pouvoir expérimenter ailleurs (une vie qui dure parfois des milliers d’années. Comme les Andromédiens, qui vivent 4500 ans, ou les Arcturiens, qui sont quasi immortels physiquement, puisqu’ils s’auto-clonent de manière naturelle à travers leur propre corps lorsque celui-ci est devenu trop vieux ou malade), mais cela permet aussi de mieux contrôler cette incarnation et de moins laisser de place au hasard. Car lorsqu’on arrive directement depuis l’au-delà, la vision de l’âme est souvent plus expansée et ses désirs peuvent même être contraires à ceux de la personne une fois incarnée.

Donc cette méthode est souvent utilisée lorsqu’il y a une volonté d’effectuer des missions bien précises au cours de cette autre vie. Comme c’est le cas de Mari, qui se serait incarnée depuis son Soi Urmah dans un caisson d’immersion, afin de mener cette mission de Reine de Taygeta qui nettoie et libère tout le quadrant galactique des régressifs, étroitement aidée par sa famille Urmah – Fin de la note]*.

Je suis entourée de chats depuis que je suis tout bébé. Ils ont été à mes côtés toute ma vie jusqu’à aujourd’hui, puisque là j’en ai un près de ma fenêtre. Et maintenant, nous bénéficions de la coopération et de l’aide exceptionnellement fortes que m’apportent les Urmahs, surtout depuis que je suis la reine de Taygeta.

Car même s’il y a toujours eu une coopération entre les Urmahs et les Taygétiens, nous avons beaucoup resserré nos liens culturels au cours des derniers mois, à tel point que je me déplace maintenant avec quatre gardes du corps urmahs, en plus de mes gardes taygétiens habituels.

Tout cela m’amène à me demander : pourquoi mon bien-être les intéresse tant ?

Comme Ruhr m’a répondu un jour : « Tu as une mission et nous devons t’aider à la remplir ». C’est tout ce qu’il a dit.

Mais je suis aussi très Lyriano-Humaine et Taygétienne, donc je ne sais pas quoi penser de tout cela.

Je partage ceci avec vous, pour que vous sachiez que je vous comprends. C’est difficile d’être un starseed sans avoir de confirmation de ses véritables origines stellaires, en ne pouvant se fier qu’à son intuition, et en devant aussi gérer ses doutes et l’idée que tout ça pourrait n’être que son imagination.

Vivre ici dans l’espace ne signifie pas que tu sais tout, même qui tu es réellement, cosmiquement parlant. Cependant, tout cela nous montre que ce qui compte, c’est qui nous sommes aujourd’hui et ce que nous pouvons en faire. Et le passé, que nous l’ayons réellement vécu ou non, n’existe qu’en tant qu’expérience dont nous avons besoin pour naviguer dans le présent. Mais ce n’est pas qui nous sommes.

La vie ici en haut n’est pas résolue et sans difficultés, comme le New Age l’affirme de manière si erronée. Même s’ils font probablement référence à des plans d’existence supérieurs, où cela peut être valable, je le leur accorde. Mais certainement pas dans le monde matériel, qui est le même règne dans lequel vous êtes sur Terre.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : La fameuse « 5D », dont on fait tout un plat, est simplement le monde matériel ou monde de l’incarnation, donc c’est un monde de dualité, comme sur Terre)*.

Depuis mon point de vue, cela signifie que ce que mes prédécesseurs ont affirmé, comme quoi tout en dehors de la Terre est en 5D, est hautement discutable, parce que pour moi, la 5D et les autres densités sont des états d’esprit et de conscience, pas des lieux. Cela signifie que la 5D fait partie de qui tu es et que tu peux vivre dans un trou infernal, tout en étant 5D. Tout dépend de toi.

C’est difficile d’être la reine de Taygeta, et comme vous le savez, j’ai été projetée à ce poste quasiment sans être prévenue avant, en pensant même que cela ne se ferait pas avant des années. Cela m’a obligée à mûrir rapidement et à laisser derrière moi mon enfance, en particulier celle que j’ai vécue sur la Terre qui, je ne le nie pas, me manque beaucoup, surtout pour sa simplicité, du moins depuis le point de vue d’une petite fille, malgré toute la dureté de l’éducation humaine, etc.

En plus de toutes les tentatives d’assassinat que j’ai subies et des énormes responsabilités que j’ai sur mes épaules du fait d’être la leader taygétienne et tout ce que cela signifie, peut-être que l’une des choses ou des réalités les plus difficiles que je dois affronter, c’est que c’est un poste très solitaire.

Comme je l’ai mentionné dans mon autre vidéo intitulée « Plus près de Mari » (Plus près de Mari)*, je passe presque tout mon temps seule, parce que mes amis les plus proches, ceux du CIC, ne sont parfois même pas à bord du même vaisseau. Et je ne sors pratiquement pas de ma chambre ici dans le vaisseau.

En tous cas, elle est aussi grande qu’un petit appartement sur Terre. Et j’ai même une piscine privée dans la salle de bain. Mais je suis seule ici presque tout le temps, car c’est mon petit monde, depuis lequel je gère les affaires taygétiennes, l’exopolitique complexe et j’écris pour ces vidéos.

Et quand je quitte ma chambre pour traverser le vaisseau, comme par exemple lorsque je vais à la salle à manger, j’y vais toujours avec plusieurs gardes du corps, sélectionnés personnellement par moi-même et par Gori’el, et qui viennent directement des Forces Spéciales d’élite taygétiennes (Hashmallims)*. Ce qui fait que je ne me sens pas libre, même dans mon propre vaisseau.

Prenant en compte le fait qu’il y a plusieurs forces puissantes là-bas dehors qui veulent m’éliminer, je sais que je suis obligée de me déplacer avec des gardes du corps. Et le fait de savoir que j’ai tant d’opposition me pèse sur le cœur.

Mes gardes permuttent constamment, car ça fait partie des procédures de sécurité, et ils appartiennent à l’équipage du vaisseau Alcyone de Gori’el et non à celui-ci, le mien, donc je ne connais même pas leurs noms, ce qui est un problème constant pour moi ici sur ce vaisseau, car il y a tellement de monde à bord.

Il y a beaucoup de gens ici et je ne parle pratiquement à personne dans un contexte plus proche. C’est aussi parce que tout le monde me traite avec le plus grand respect, en suivant le protocole militaire complet qu’ils appliquent toujours quand ils sont face à un chef d’État.

Je suis extrêmement accompagnée par d’innombrables personnes, par les équipages de mes huit vaisseaux stellaires, soit des milliers de personnes, mais je suis aussi complètement seule, sans pouvoir approcher personne, et ici je parle d’amitié, comme tous les Lyriano-Humains en ont besoin.

C’est presque comme si le fait d’être la reine impliquait d’avoir une sorte de barrière invisible, comme un champ de force autour de moi, qui me sépare des autres involontairement. Et ça, ce n’est pas provoqué par moi. C’est simplement parce que tout le monde me voit comme étant différente. Je veux dire, parfois je mange même seule à ma table spéciale.

Cependant, à mesure que cette solitude grandit en moi, je m’y habitue de plus en plus et je commence à l’accepter comme faisant partie de qui je suis et de ce que je suis en train de vivre, car je sais que c’est une des conséquences de mon rôle, étant donné que les gens ne me traiteront jamais comme tout le monde. Même si ce n’est pas moi qui pose ces barrières sociales.

Même mes vieux amis du vaisseau Sadicléya se sont éloignés de moi, ou moi d’eux, car le fait de ne pas être sur le même vaisseau ne favorise pas beaucoup les relations, comme vous pouvez l’imaginer.

Le moment où j’aime le plus être seule, c’est quand je conduis dans le hangar du vaisseau, car je suis vraiment seule là-bas, sans garde du corps. Ce qui ne m’empêche pas d’être totalement en sécurité, car personne n’est autorisé à entrer. En sécurité, même si parfois je me déplace à plus de 100 km/heure (en petite moto ou en voiture de course provenant de la Terre)*, dans un espace fermé et contrôlé. Je suis plutôt douée dans cette activité et j’en ai grandement besoin.

En parlant de me rapprocher des gens, j’aimerais me rapprocher de beaucoup d’entre vous qui regardez mes vidéos, dont certains ont la gentillesse de nous parrainer, les Taygétiens de la flotte, moi et ma chaîne. J’adorerais me rapprocher de vous, mais pour le moment je ne vois pas comment. Peut-être que nous pourrons trouver un moyen plus tard.

Je tiens également à remercier ceux qui partagent sur leurs réseaux sociaux des images de moi faites par ordinateur et qui créent même des vidéos pour moi, dont beaucoup sont très réussies.

Je voudrais ajouter quelque chose basé sur ce que le CIC a remarqué sur les réseaux sociaux au sujet de la couleur de mes cheveux. Pour une raison que j’ignore, le filtre que j’utilise pour faire passer des photos de mon visage, que ce soit directement ou avec une image de base, obscurcit beaucoup mes cheveux. Ma vraie couleur est blond moyen, mais pour l’instant il m’est impossible de la reproduire.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : C’est pour ça que maintenant j’éclaircis toujours les cheveux de Mari – Fin de la note)*.

En ce qui concerne mon visage, la plupart d’entre vous le recréez très bien (avec l’intelligence artificielle)*, car c’est tout à fait moi, et vous me faites beaucoup sourire. Merci.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Si Mari Swa et les Taygétiens du vaisseau Toléka, réussissent à faire passer de vraies photos d’eux dans leurs vidéos, malgré la censure stricte opérée à ce niveau par la Fédération Galactique, qui empêche les extraterrestres de communiquer trop directement avec les humains et de leur apporter des preuves de leur existence, au nom de la tristement célèbre « Directive Première », c’est parce qu’ils arrivent à leurrer les filtres automatiques de la Fédération qui passent en revue tout ce qui circulent entre les vaisseaux en orbite terrestre et notre Internet, en ajoutant sur ces photos des parties faites par ordinateur, comme ils le font souvent pour leurs combinaisons spatiales, ou des filtres, qui ne déforment pas leur visage mais qui donnent à ces photos réelles un effet « artificiel ». Ce qui fait qu’elles passent sans encombre à travers les filtres automatiques de la censure de la Fédération Galactique, qui seraient situés sur des serveurs à bord du vaisseau Viéra ou bien sur Saturne – Fin de la note)*.

En ce qui concerne mes vidéos, je dois insister sur le fait que je n’ai pas pu améliorer les images illustratives, ni en utiliser plus. Excusez-moi, je suis concentrée sur la parole écrite et je pense que c’est ce qui compte vraiment. Je n’ai tout simplement pas le temps de générer des images, mais sachez que j’adore écrire et créer du contenu pour vous, et je le fais avec toute mon affection.

Et enfin, je tiens à remercier profondément les personnes qui parrainent ma chaîne, avec tout mon amour et mon dévouement. Comme je l’ai déjà dit, c’est vous qui rendez tout ça possible. C’est vous qui permettez à tout cela d’exister, car je dépends encore de l’argent de la Terre pour les approvisionnements et pour d’innombrables autres choses.

La plupart des Taygétiens n’ont, logiquement, besoin de rien provenant de la Terre. Cependant, moi je dépends de la Terre, comme plusieurs de nos amis du vaisseau Sadicléya, que vous connaissez, parce que nous sommes ici depuis longtemps. Je ne nie pas ma part humaine, même si je ne suis pas seulement humaine, comme vous le savez déjà.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Ces membres d’équipage du Sadicléya dont parle Mari, étaient anciennement les 30 membres d’équipage du vaisseau Toléka, et nous les connaissons car plusieurs d’entre eux ont communiqué avec Robert et Gosia pendant 7 ans. Et ils sont effectivement tous très influencés par la Terre, soit parce que certains sont directement des humains qui ont été extraits de la Terre (comme par exemple la japonaise Suriko, dont Swaruu de Erra a sauvé la vie il y a plusieurs années et qui est restée avec eux car elle était orpheline. Ou la mexicaine Anna, qui est une autre incarnation de feu Anéeka de Temmer et qui a demandé à être extraite de la Terre il y a plusieurs années, tandis que Anéeka, son autre incarnation, était toujours en vie et a donc cohabité avec elle un certain temps à bord du vaisseau Toléka), soit parce qu’ils y ont vécu directement en Step Down durant plusieurs années (comme par exemple Mari Swa, Dhor Kàal’el, Alenym, Nai’Shara, Yazhi Sophia Swaruu, Athena Swaruu et d’autres), soit simplement du fait de vivre en orbite terrestre depuis 10 ans, voire plus pour les plus anciens… Donc à force, leur physiologie s’est adaptée à la nourriture terrestre, si bien qu’elle ne tolère quasiment plus la nourriture purement végétalienne de Taygeta – Fin de la note]*.

Merci les amis, vous êtes tout le temps dans mon cœur. Même si je ne vous remercie pas dans chaque vidéo, parce que je considère que c’est inapproprié, car le but de cette chaîne YouTube et de mes informations, ce n’est pas l’argent. Cependant, j’ai besoin d’argent pour continuer à faire ce pour quoi cette chaîne est vraiment faite. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude. Merci.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Si vous voulez faire un don à Mari et à l’équipage taygétien, voici son lien PayPal qui figure sur sa chaîne YouTube « Swaruu Oficial » : Faire un don – Fin de la note)*.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.

 
➡️ Note d’Éloïse Al’Cyona : Ce texte de Mari (« Plus près de Mari – Partie 1 et Partie 2 ») m’a inspirée la création de cette petite vidéo : Une journée dans la vie de la reine de Taygeta, Mari Swa 1ère de Temmer

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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