Auteur : Mari Swaruu
Publié le 23 avril 2023
Bonjour, j’espère que vous allez bien. Merci de m’accompagner une fois de plus aujourd’hui. Je suis Mari Swaruu.
Le temps est la seule chose que tout le monde expérimente et avec laquelle tout le monde est familiarisé. Nous considérons que c'est quelque chose qui nous est donné et que nous avons en quantité très limitée. Et nous pensons que nous ne récupèrerons jamais ce que nous utilisons ou gaspillons. Le temps est vu comme quelque chose se trouvant en dehors du sujet, mais intrinsèquement attaché à lui. Une chose à laquelle personne ne peut échapper et que l'on a jamais en quantité suffisante, étant donné que nous souhaitons constamment en avoir plus, pour être en mesure d’atteindre ce dont nous avons besoin.
Sur Terre, le temps est perçu comme une flèche immuable, se déplaçant dans une seule direction, passé > présent > futur. Un temps linéaire qui favorise les regrets, la nostalgie et la douleur lorsque l'on regarde en arrière, et qui favorise le fait d'attendre dans le doute, l’incertitude et la peur lorsque l'on pense à l’avenir.
Nous gaspillons beaucoup d’énergie mentale lorsque nous vivons dans le passé avec des remords de toutes sortes, ou lorsque nous pensons trop à l’avenir, en essayant de contrôler les résultats probables comme une réaction de survie. Car le mental pense que s’il peut prévoir ce qui approche, s'il essaie de prévenir des dommages, des souffrances ou un résultat indésirable, cela pourra protéger le sujet d’une manière ou d’une autre.
La société occidentale promeut toujours le concept de se tenir prêt pour le futur, pour quelque chose à venir, au détriment du fait de vivre l'ici et maintenant. Elle nous fait considérer le fait de vivre dans l'instant présent comme une perte de temps, et elle encourage constamment l’idée que si tu profites de l'instant présent, ce sera au détriment du lendemain. Que tu regretteras de ne pas avoir utilisé ce temps pour préparer ton avenir. C'est comme un principe de base qui est inculqué à tout le monde dans les sociétés occidentales.
Cela favorise une culture du travail qui est même orientée vers l’exploitation, étant donné que les gens ne parviennent jamais à cet avenir promis, travaillant inlassablement jusqu’à la retraite, et à ce moment-là, ils sont généralement trop vieux et fatigués pour profiter du temps qu'il leur reste. Ils regardent en arrière avec regret et aimeraient avoir vécu plus et travaillé moins. Mais surtout, cela est pris comme un fait incontournable de la vie, c'est accepté à contrecœur et au final c'est même tenu pour acquis.
Le temps est l’un des concepts les plus incompris sur Terre, en raison de la mentalité hautement déterministe et matérialiste de sa culture. Comme l’a dit un jour Aristote, "Le temps est la plus grande inconnue de toutes les choses inconnues."
Les scientifiques de la Terre ont essayé de le décrire d’innombrables façons, en considérant même qu’il pourrait s’agir d’un certain type de particule. Pour moi, c’est la définition la plus matérialiste qui soit, et probablement la plus éloignée de la vérité.
Une autre grave erreur de comment le temps est défini sur Terre, est qu’il est pris comme une constante pour les modèles mathématiques de la physique, dans lesquels les formules tentent d’expliquer l’univers à partir d’une hypothèse de base indubitablement erronée, parce que depuis le point de vue et la compréhension beaucoup plus avancés des cultures stellaires et de leurs sciences, le temps est extrêmement malléable et, par conséquent, loin d’être une constante.
Cette simple mais grave erreur a des conséquences dramatiques, parce que tous les résultats qui ressortent de toutes les formules mathématiques de la physique essayant de comprendre l’univers, sont tous erronés, et pourtant ils sont pris comme un fait prouvé, basé sur la certitude mathématique.
Et ces modèles mathématiques auront beau être précis et exacts, s'ils utilisent le temps comme une constante, aucun d’entre eux ne reflétera le monde extérieur, peu importe à quel point ils sont précis. Et c’est pourquoi, comme je l’ai expliqué précédemment, les mathématiques sur Terre créent leur propre univers autonome, qui ne reflète pas le monde extérieur.
Mais qu’est-ce que le temps exactement, du point de vue des cultures et des sociétés stellaires beaucoup plus avancées ?
La plupart des sociétés stellaires sont en communication les unes avec les autres depuis longtemps et sont tout à fait d’accord au sujet des concepts scientifiques qu’elles partagent. Elles sont beaucoup plus avancées que la culture sur Terre, non seulement au niveau scientifique, mais aussi et surtout au niveau spirituel, et elles ont une forte tendance à mélanger la spiritualité avec la science pure. Mais, curieusement, c'est toujours la spiritualité qu'elles utilisent comme guide et comme base pour toutes leurs sciences.
Pour toutes ces sociétés stellaires, le temps n’est pas quelque chose de concret ou de tangible. C'est une perception qui est directement liée au processus de pensée et c'est une expérience qui est directement liée à la conscience. Sans un certain cadre temporel d'aucune sorte, il ne peut y avoir aucune conscience sensible et consciente de soi. Mais ce n’est pas le temps qui façonne la conscience, c’est l'inverse, puisque c'est l'acte d’être conscient qui crée un rythme et une fréquence, desquels résulte le temps.
Si une conscience est consciente de sa propre existence, alors elle a un ensemble de concepts qui la définissent comme quelque chose et non comme autre chose. Ça c'est aussi un principe basique dans la dualité (Note d'Éloïse Al'Cyona : Mari veut dire que lorsque l'on est dans un monde de dualité, n'étant pas dans l'unité, on se définit comme quelque chose et pas autre chose, par exemple comme un humain et pas un animal, ou comme étant gentil et pas méchant. Tout comme on distingue les autres de soi, "moi et les autres", "moi et le non moi")*. Mais il ne peut y avoir aucun processus conscient de pensées sans une SÉQUENCE de pensées. Et cette séquence de pensées, avec son rythme et sa fréquence, est ce qui crée le temps.
Bien que la pensée se fasse uniquement avec des concepts et qu'elle soit ensuite traduite par une séquence de mots, comme dans un langage, ce qui contredit de nombreux psychologues sur Terre qui prétendent à tort que c'est le langage qui permet de penser, c'est cette séquence de pensées, avec son rythme et ses pauses, qui crée une fréquence, et avec elle, le temps.
Le temps est une perception unique qui émane du processus de pensée, de la vibration et de la fréquence de chaque être sensible ou âme. Et comme chacun a un point d’attention unique et spécifique que n'a personne d'autre, la perception du temps est unique pour chaque individu, chaque âme, incarnée ou non, parce que chaque âme sensible a son propre rythme de pensées.
Quand un groupe d’âmes partage le même règne d’existence, c’est parce qu’elles ont une perception similaire de la réalité, bien que ces perceptions ne soient jamais exactement les mêmes, et cela s'appelle "accord de perception".
Un exemple de cela est la manière dont le temps est perçu dans le règne d’existence que nous appelons la Terre et sa Matrice 3D, où tous les gens perçoivent le temps d’une manière qu’ils croient identique, alors que ce n’est pas le cas, parce que même sur Terre, chaque individu le percevra différemment, selon la fréquence et les vibrations de ses pensées.
Et la façon dont la Matrice sur Terre synchronise la perception du temps se fait grâce à l'utilisation des montres et des horloges qui, à leur tour, sont basées sur les rythmes du jour et de la nuit de la planète, ce qui impose aux gens dans la Matrice de la Terre l’idée que le temps est quelque chose d'autre que le produit de leur propre esprit.
Quand le mot "temps" apparaît, la plupart des gens vont immédiatement penser à une horloge et son incessant tic tac vers le futur. Et ils penseront à tort que la synchronisation du temps, qui s'obtient en regardant les montres et les horloges, est la preuve que le temps est une constante et qu’il a la même durée pour tous, y compris pour les objets inanimés. Et ils iront même jusqu'à faire l'erreur de prendre pour acquis que le temps est une constante dans tout l’univers.
Et c’est le but même des montres, de pouvoir synchroniser les gens pour qu’ils travaillent à l'unisson et qu'ils puissent se rencontrer dans un environnement social productif. Par conséquent, le concept de temps et sa gestion, tels qu’ils sont compris sur Terre, sont des caractéristiques intrinsèques de la Matrice 3D de la Terre et avec lesquelles aucune autre culture stellaire n’est d’accord.
Comme le dit la maxime, les extraterrestres disent que les humains de la Terre sont les seules créatures de la galaxie à avoir découvert un moyen de mesurer quelque chose qui n’existe pas.
Mais en élargissant ce qu’est le temps et en rappelant que c’est le résultat d’un processus de pensée qui est directement lié à la présence d’une conscience et même qu'il dépend de cette conscience, le temps ne peut être mesuré que lorsqu’il est relié à quelque chose qui peut être utilisé comme une référence.
Sur Terre, cette référence est facile à trouver. Ce sont les cycles du jour et de la nuit de la planète. Mais lorsque vous supprimez ce contexte, vous modifiez la durée du temps, des secondes, des minutes, des heures et des jours, mais seulement depuis le point de vue de ce cadre de contexte antérieur, de sorte que la durée de n'importe quelle unité de temps dépendra de ce qu'elle mesure, ou de par rapport à quoi on la mesure.
Par exemple, la durée d’une minute observée avec un chronomètre sera toujours la même pour son observateur, peu importe dans quelle partie de l'univers il se trouve, mais cette durée ne sera pas la même pour un autre observateur depuis un autre point de vue.
Imaginons que cette personne avec un chronomètre peut voir que, selon la trotteuse, elle met une minute pour faire le tour de la Terre. Puis qu'elle emmène le chronomètre sur la planète Alfrata à Alpha Centauri, et que pour cette personne, en train de faire le tour d'Alfrata et d'observer, elle met aussi une minute. Mais de retour sur Terre, la valeur de cette minute sera modifiée par les observateurs qui sont restés sur Terre, même si un jour ils ont tous été synchronisés et maintenaient la même valeur du temps.
Pour illustrer davantage cela, la durée de n’importe quelle unité de temps dépend uniquement du CONTEXTE dans lequel elle est mesurée comme référence, comme c’est le cas pour les références à un espace, ou références spatiales.
En effet, quand nous sommes à la surface d’une planète, il est facile de déterminer où est le haut et où est le bas. Mais quand nous nous trouvons dans l’espace profond, il n’y a aucun moyen de déterminer où est le haut et où est le bas, à tel point que ces concepts cessent d’être pertinents et même d’avoir un sens.
La durée du temps dépendra uniquement de la conscience et de la fréquence de pensée de l’être conscient sensible qui en fait l’expérience. Comme le dit l’exemple classique, la durée d’une minute dépend de quel côté de la porte de la salle de bain tu te trouves.
(Note d'Éloïse Al'Cyona : Mari fait référence ici au fameux "j'en ai pour une minute" de la personne qui se prépare dans la salle de bain, pendant que l'autre l'attend à l'extérieur)*.
Le temps est le résultat d’une conscience suffisamment consciente pour pouvoir observer ses propres pensées et se demander pourquoi elles le sont.
Comme chaque âme individuelle a ses propres schémas et rythmes de pensée personnels, le temps et sa durée sont par conséquent uniques pour chacun.
Le temps est une caractéristique intrinsèque de ce que nous sommes. Notre esprit et notre auto-perception sont les résultats de la conscience. Donc, en tant qu’âmes, nous sommes le temps lui-même.
Je continuerai de développer ce sujet dans une deuxième partie.
Merci d'avoir regardé ma vidéo. Prenez soin de vous et soyez intelligents.
Avec beaucoup d'amour,
Votre amie,
Mari Swaruu.
~ Traduit par Éloïse Al'Cyona. Tous Droits Réservés ~