LE VAISSEAU SPATIAL SADICLÉYA

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Auteur : Mari Swa
Publié le 1er août 2024


[Vidéo à venir plus tard, image fixe en attendant]

Bonjour à nouveau, merci d'être ici avec moi une fois de plus. J'espère qu'aujourd'hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

Comme la plupart d’entre vous le savent, car je l'ai mentionné dans ma vidéo précédente, nous sommes en train de déménager du vaisseau Toléka vers le nouveau vaisseau Sadicléya.

Et à cet instant, nous en sommes à la moitié de notre processus compliqué de déménagement. Hier, le 29 juillet (2024)*, j’ai moi-même déménagé du Toléka au Sadicléya et la nuit dernière a été ma première nuit ici à bord de ce vaisseau et dans ma nouvelle chambre spacieuse. Ce qui fait qu'il était logique et même nécessaire que je traite ce sujet aujourd’hui, parce que c’est ce que je suis en train de vivre en ce moment, et ce que j’ai à l’esprit. Je passerai à d’autres thèmes à partir de la prochaine vidéo.

Ceci est une vidéo uniquement descriptive, car nous n'avons pas eu le temps de créer ou de générer des images du vaisseau Sadicléya, et encore moins avec le déménagement, mais bientôt nous pourrons en générer quelques-unes.

Le vaisseau Sadicléya, dont le nom signifie "soleil de minuit" en Taygétien, porte le nom de l’étoile naine blanche, également connue sous le nom de Tau 19B, qui forme avec l’étoile principale Taygeta, également connue sous le nom de Tau 19A, le système binaire taygétien.

L’étoile naine blanche Sadicléya, vue depuis les quatre planètes habitées en orbite autour de Taygeta, n’est pas assez brillante pour transformer la nuit en jour. Mais elle fournit suffisamment de lumière pour la faune et la biologie, comme le fait la Lune avec la Terre.

Vue depuis les planètes qui orbitent autour de Taygeta, comme je l’ai vue depuis Erra ou depuis Temmer, Sadicléya ne ressemble à rien de ce qui existe sur Terre, ni à rien de ce que vous pouvez voir depuis là-bas, car elle ne ressemble pas à une lune, ni à une étoile normale, et elle n'est pas brillante non plus.

Quand on la voit dans le ciel, elle est plutôt comme une énorme étoile qui ressemble presque à un petit soleil, et elle émane assez de lumière pour voir juste un peu mieux que sur Terre pendant la pleine lune. Cependant, elle n'éclaire pas non plus suffisamment pour que la nuit soit considérée comme le jour.

On peut l’observer directement à l’œil nu sans danger, car sa lumière naturellement faible est également atténuée par la dense nébuleuse qui entoure la majeure partie de l’amas des Pléiades, M45, ce qui donne à la lumière de Sadicléya une couleur bleue électrique. Les nuits taygétiennes où l'on peut voir Sadicléya sont bleues et c’est une magnifique expérience d’être là-bas en plein air et entouré par la nature pendant ce moment.

Elle est donc utile aux rythmes biologiques de la vie sauvage taygétienne, qui se synchronisent et se coordonnent avec les cycles de Sadicléya par rapport à quand on peut la voir et quand on ne peut pas, et à quel angle depuis l’horizon de la planète. Et comme c’est une étoile naine avec sa propre lumière, soit elle est là, soit elle n'est pas là, mais elle n’a pas de phases croissantes et décroissantes comme la Lune (qui, elle, n'émet pas sa propre lumière mais reflète celle du Soleil)*.

Le vaisseau Sadicléya est la dernière variante des fameux croiseurs lourds de classe Toléka, du nom du tout premier vaisseau de cette classe, qui a été achevé en l’an terrestre 1935, selon nos calculs. 

(Note d'Éloïse Al'Cyona : Et c'est à bord de celui-ci, datant de 1935, qu'ils ont vécu en orbite terrestre pendant 6 ans)*. 

La reine Alenym a ordonné la construction du Sadicléya peu après son arrivée au pouvoir (en 2018)* et il a fallu environ 6 ans pour le terminer. Tous les croiseurs lourds de classe Toléka sont conçus pour être des plates-formes polyvalentes pour les opérations dans l'espace profond. 

(Note d'Éloïse Al'Cyona : Je rappelle que notre système solaire étant situé à une extrémité de la galaxie, en périphérie au bout d'un de ses bras, et les Pléiades étant situées vers le centre de la galaxie, le fait de se trouver en orbite terrestre équivaut donc pour eux à être dans l'espace profond)*.

Et l'intérieur de chacun de ces vaisseaux peut être reconçu et transformé en fonction de ses objectifs particuliers. De plus, de nombreux niveaux ou ponts de n'importe quel vaisseau de classe Toléka sont modulaires, ce qui signifie que de grandes parties du vaisseau peuvent être enlevées et remplacées par d’autres parties, avec d’autres caractéristiques et selon les besoins.

Le vaisseau spatial Toléka était initialement un vaisseau militaire à usages multiples, qui a ensuite été modifié pour devenir le yacht royal d’Alenym, grâce à ce système modulaire.

Contrairement au Toléka, l’intérieur du Sadicléya a été conçu dès le départ pour être un yacht pouvant parcourir de très longues distances et demeurer dans l’espace profond, avec des installations polyvalentes. Et il a été construit intentionnellement pour remplacer le vaisseau stellaire vieillissant Toléka.

Beaucoup de races stellaires associent la royauté à la couleur blanche, comme je l’ai décrit auparavant, donc la coque du Sadicléya est également blanche, et c’est aussi un hommage à l’étoile Sadicléya Tau 19B, étant donné que c’est une naine blanche.

Pour l'instant je ne parviens pas à savoir quelle est la taille exacte du Sadicléya et si elle correspond vraiment à ce que je vous ai transmis antérieurement. Car j’ai rencontré ce problème avec toutes les dimensions officielles de pratiquement tous les vaisseaux stellaires taygétiens.

Par exemple, j’ai récemment dit dans une vidéo que la principale station spatiale, ou port spatial de Taygeta, qui orbite autour de la planète Temmer, mesure 25 km de diamètre. Mais ensuite, je me suis dit que ce chiffre était trop grand, donc j'ai fait mes recherches et il se trouve qu'elle est beaucoup plus petite, puisqu'elle mesure en réalité 5,5 km de diamètre.

Initialement, il a été dit que la longueur officielle d’un vaisseau spatial de classe Toléka était de 2200 m, mais lorsqu’il est mesuré avec des méthodes humaines, avec un télémètre, sa longueur réelle est de 1734 m. 

Il pourrait s'agir d'un problème au niveau de la traduction de l’unité taygétienne, que l'on pourrait appeler en termes humains des "coudes", aux unités humaines de mètres ou pieds.

Un coude taygétien mesure 55,4 cm de long, nous connaissons sa longueur en unité humaine, donc ces problèmes de mesure ne correspondent pas à une simple erreur de traduction d'une unité à l'autre. Ce qui fait que je ne comprends pas ce qu'il se passe à ce niveau avec les mesures des vaisseaux.

Je n’ai pas eu la chance de mesurer correctement le Sadicléya, mais pour autant que je puisse voir, il est aussi long que le Toléka, mais clairement beaucoup plus large.

Quand j’ai entendu parler du Sadicléya pour la 1ère fois, on m’a dit qu’il s’agissait d’une sorte de mini Toléka et qu’il mesurait environ 550 m de long. Or, maintenant qu'il est ici, je peux dire qu'il n’y a rien de mini dans le Sadicléya, car il est au moins aussi long que le Toléka, mais beaucoup plus large, donc au final il est plus grand que le Toléka, pas plus petit, car son déplacement est supérieur. Le déplacement est un terme naval terrestre, qui calcule combien de tonnes d’eau un bateau sépare, déplace, lorsqu’il est à flot.

(Note d'Éloïse Al'Cyona : Rappelons que, contrairement à ce qui est dit sur Terre, l'espace n'est pas du vide, mais de l'eau vibrant à une très haute fréquence. D'où tous ces points communs, y compris dans la terminologie employée, entre les vaisseaux spatiaux et les navires marins)*.

Le Sadicléya est le premier vaisseau de classe Toléka lot 2, et de profil, il est presque identique à un vaisseau normal Toléka lot 1. La seule différence visible est que la bosse sur le dessus du vaisseau est beaucoup plus longue et s’étend sur plus de la moitié du chemin jusqu'à la poupe (arrière)*. La carcasse du moteur à l’arrière est également plus longue, car ses moteurs sont plus grands. Et il a des fenêtres latérales plus grandes sur beaucoup de ses ponts principaux, car il a été construit comme un yacht et non comme un vaisseau de guerre, comme l'était initialement le Toléka.

Les 8 moteurs principaux du Sadicléya, plus 4 moteurs normaux à plasma pour manœuvrer, sont 25% plus grands que ceux d’un classe Toléka 1. Mais ils peuvent produire 75% de puissance en plus, ce qui donne au Sadicléya la possibilité de sauter dans l’Hyper Espace avec moins de temps SIT, de l'anglais "Ship Internal Time", ou temps interne du vaisseau, c'est-à-dire la façon dont le temps est perçu par quelqu’un à l’intérieur, y compris sur sa montre-bracelet. En termes simples, le Sadicléya est beaucoup plus rapide que le Toléka.

[Note d'Éloïse Al'Cyona : Le temps n'étant qu'une illusion, une perception subjective individuelle et collective, le "temps SIT" est le temps perçu par le ou les passager(s) d'un vaisseau lors d'un voyage dans l'espace-temps, ou téléportation, qui se fait à travers l'Hyper Espace, encore appelé Éther. 

En réalité, ce voyage ne parcourt aucune distance, il est instantané, mais les passagers ont besoin de ressentir un certain temps de voyage, et par accords de perception inconscients, ils ressentent tous le même temps de voyage, qui varie en fonction de la race stellaire (car les accords de perception varient d'une culture-race-civilisation à l'autre) et de la taille du vaisseau, ainsi que de la puissance de ses moteurs. 

Car ce sont les moteurs qui se chargent de créer tout autour du vaisseau un toroïde énergétique qui mettra le vaisseau et ses passagers sur la fréquence exacte du lieu de destination (qui correspond à un chiffre ultra précis, qui est préalablement entré dans l'ordinateur du vaisseau, un peu comme une adresse, mais au niveau fréquentiel).

Or, plus un moteur est performant, moins il "mettra de temps" à changer les fréquences du vaisseau et de ses passagers, pour qu'elles correspondent exactement à la fréquence de l'espace-temps de destination.

Et lorsque ce processus, qu'ils appellent "égalisation des fréquences", est achevé, le vaisseau et ses passagers se téléportent instantanément dans l'espace-temps de destination, simplement par compatibilité fréquentielle.

En d'autres termes, en devenant incompatibles au niveau fréquentiel avec le lieu de départ, ils en disparaissent (et passent par l'Hyper Espace, ou Éther, qui est le champ d'énergie potentielle, ou rien n'est encore manifesté). Puis en devenant compatibles au niveau fréquentiel avec le lieu et l'époque de destination, ils y apparaissent.

Ou plutôt, pour être encore plus exact, ils ne se déplacent nulle part, ne parcourent aucune distance : ils manifestent littéralement ce lieu et cette époque autour d'eux.

Autrement dit, les voyages par sauts dans l'Hyper Espace fonctionnent sur le principe de la Loi de la Manifestation, mais de manière technologique. 

En effet, la Loi de la Manifestation, que l'on appelle sur Terre de manière erronée "Loi de l'Attraction" (en réalité, rien n'est "attiré vers", car ce concept implique la notion de parcourir une distance, or la distance n'existe pas, c'est une illusion comme le temps), est basée sur ce principe : la personne, en souhaitant quelque chose ou en ayant peur de quelque chose, va de manière consciente ou inconsciente "devenir" sur le plan fréquentiel cette chose, cet être ou cette situation (qu'elle craint ou qu'elle désire), et par compatibilité fréquentielle, elle va donc le ou la manifester "autour" d'elle.

Et cette manifestation sera là aussi instantanée, mais la personne a besoin d'avoir la perception que cette création dans la matière prend un certain temps, donc c'est l'illusion qu'elle aura. Exactement comme le temps SIT ressenti par les passagers du vaisseau qui se téléporte (ou plutôt qui manifeste un autre espace-temps autour de lui) - Fin de la note]*.

Et comme les boucliers d’un vaisseau dépendent directement de la puissance de son moteur, les boucliers du Sadicléya sont aussi beaucoup plus résistants que ceux d’un Toléka 1 normal. Par conséquent, je n’ai plus besoin de cacher dans quel vaisseau je me trouve, car du fait que le Sadicléya soit maintenant mon vaisseau officiel, ajouté à mes nouveaux protocoles de sécurité, je me sens assez protégée ici. 

Alors qu'à l’extérieur le Sadicléya ressemble beaucoup à un Toléka normal, bien que reconnaissablement plus avancé, et même si de nombreuses parties internes sont presque identiques à celles que l’on trouve dans n'importe quel vaisseau de classe Toléka, la majeure partie de son intérieur est très différente.

Le Sadicléya a été conçu autour de l’idée d’avoir un vaisseau qui soit psychologiquement agréable pour un équipage qui travaille seul dans l’espace profond pendant de longues périodes.

Alors que le Toléka avait été conçu pour un équipage important (1800 personnes)* et que nous avions donc en permanence plusieurs ponts de cabines vides, le Sadicléya a deux niveaux uniquement dédiés à l’émulation de villages construits autour de la nature, afin que l'équipage ait la sensation de vivre chez lui à Taygeta, dans des petites maisons entourées de nature.

Cette zone me semble vraiment intéressante, car on y trouve aussi de grandes haies d’arbres qui cachent les parois latérales de la coque du vaisseau, ainsi que des horizons simulés et des émulateurs de nuages naturels, formés par des effets spéciaux, à l'aide de générateurs d’hologrammes.

Et lorsque tout cela est combiné avec les générateurs de climat efficaces que comporte aussi le vaisseau, cela donne aux membres de l’équipage un effet si réaliste, qu'il a l'impression d'être dans son village ou sa ville natale, et cela fait des merveilles sur leurs esprits.

Les générateurs climatiques incluent même des effets de vent et de pluie. Ainsi que des machines climatiques qui peuvent reproduire n’importe quelle saison, d’un été chaud à un hiver neigeux, en utilisant des éléments réels et non pas des hologrammes ou une technologie d’induction de réalité de présence à distance.

(Note d'Éloïse Al'Cyona : En effet, l'équipage est en majorité originaire des planètes Erra et Temmer, car les 2 autres planètes, Procyon et Dakote, sont peu habitables. Or, si Temmer est une planète faite uniquement d'îles, avec des plages magnifiques, des forêts de palmiers, des mers turquoises, et un climat tropical toute l'année, Erra est en revanche une planète beaucoup plus froide, avec de grandes forêts de conifères, des lacs et des montagnes, et des saisons très contrastées, avec des étés à 25 degrés max et des hivers pouvant descendre jusqu'à - 80 degrés)*.

Le vaisseau a aussi deux zones de parc, et celle qui est au niveau inférieur comprend même un petit lac avec des poissons. L’autre a des piscines et une plage artificielle, avec du sable, des palmiers et tout, en plus d'une machine à faire des vagues. Et tout cela est combiné à des cycles de lumière qui émulent un soleil et émettent le même type de rayonnement qu’une étoile naturelle (étoile = soleil)*. Ce qui produit sur l'équipage la sensation très réaliste de passer une journée à la plage.

Les cabines et les chambres privées du Sadicléya sont 50% plus grandes que celles du Toléka. Et les salles des machines qui étaient près des quartiers principaux de l’équipage, ont été déplacées, libérant l’espace au milieu du vaisseau, où des petites zones de parc naturel ont été établies, ce qui ajoute une touche paisible à l'ensemble.

Et ce qui est vraiment bien, c'est que le vaisseau est majoritairement automatisé, ce qui fait que les zones du parc naturel n'ont besoin que d'une maintenance minimale par un membre de l’équipage.

Pour résumer, il s’agit d’un vaisseau tout neuf, qui a été parfaitement pensé et conçu pour être une grande plate-forme pour les opérations dans l’espace profond et pour un petit équipage de moins de 100 personnes.

Cependant, l'équipage du Sadicléya demeurera restreint (30 personnes environ)* et composé des mêmes membres originaux de l'équipage du vaisseau Toléka, sauf la reine Alenym, son conjoint Khila et leur personnel proche, qui navigueront dans le Toléka de retour à Temmer. Je n’accepterai pas de nouveaux membres d’équipage, ni pour le moment, ni à court terme.

Le vaisseau Aigle Vigilant, ou Aigle pour faire court, escortera le Toléka jusqu'à son retour à Temmer, pour sa sécurité. Mais il reviendra ici, après que son équipage ait pris deux semaines de repos et que certains problèmes techniques aient été résolus dans le port spatial, directement par son fabricant. Il n’y a rien de vraiment problématique, juste quelques problèmes électriques.

Le vaisseau spatial Sadicléya, mon nouveau vaisseau amiral, restera en orbite terrestre basse et sera escorté par le vaisseau Hyades à seulement quelques mètres de distance sur son côté bâbord, et par le vaisseau Astérope sur son côté tribord, ainsi que par les vaisseaux Alcyone et Saska 1 un peu plus loin.

Maintenant, je vais continuer mon bon travail à bord du Sadicléya, en tant que nouvelle reine Taygétienne, en tant que représentante du Conseil d’Alcyone ici, et en tant que youtubeuse, parce que j’adore parler avec vous tous. Et malgré tout cela, je dépends toujours de la Terre, de sa nourriture et de ses ressources pour ma subsistance, comme vous le savez.

Comme dernière note, reliée à ce sujet, le CIC m’a informée que les adresses mails que certains d’entre vous ont fournies lorsque vous avez fait vos dons, ne fonctionnent pas. Les membres du CIC m'ont dit que lorsqu'ils envoient un message de remerciement, le mail leur est renvoyé. D'ailleurs, veuillez aussi vérifier votre dossier spam s'il-vous-plaît.

De plus, comme nous en sommes à la moitié du déménagement, il peut y avoir un léger retard dans les mails de remerciement. D'autant plus que beaucoup d’ordinateurs ont dû être déconnectés et emmenés à leurs nouveaux emplacements. Mais quand vous entendrez cette vidéo, nous aurons déjà commencé à nous mettre à jour avec les remerciements.

Bon, ce sera tout pour aujourd'hui. Comme toujours, merci d'avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l'ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d'amour.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al'Cyona. Tous Droits Réservés ~

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