L'INTÉRIEUR DU VAISSEAU SADICLÉYA

Partager la page

Auteur : Mari Swa
Publié le 12 septembre 2024

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Je recommande de lire le 1er article portant sur le Sadicléya, avant de lire celui-ci : Le vaisseau spatial Sadicleya)*

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 10 septembre 2024.

Le Toléka a été le vaisseau amiral de Taygeta pendant plus de 80 ans. Sa construction a été achevée en l’an terrestre 1935. Il a rempli de nombreuses fonctions et participé à d’innombrables opérations dans de nombreuses parties de la galaxie, et il mériterait que je lui consacre plusieurs vidéos pour vous raconter ses innombrables aventures, dont beaucoup impliquent la planète Terre.

Étant un vaisseau polyvalent, le Toléka a pu être transformé en yacht pour l’ancienne reine Alenym, lorsqu’elle est arrivée au pouvoir en 2018. Alenym n’a tenu que 6 ans en tant que reine, car c’est un rôle très difficile à remplir. Et avant elle, il n’y avait pas eu de roi ou de reine à Taygeta depuis très longtemps, c’est-à-dire plus ou moins 200 années terrestres. Ce qui se traduit par quelque chose comme 43 années et demi taygétiennes, ou 43 cycles autour du soleil Tau 19 dans le système stellaire des Pléiades M45.

Pourquoi tant de temps sans roi ou reine ? Ça c’est une autre histoire, que je pourrai partager à un autre moment.

Quand Alenym est devenue reine de Taygeta, elle a ordonné la construction du Sadicléya, qui est le premier des croiseurs lourds améliorés de classe Toléka 2. Et aucun autre de cette classe-là n’a été construit jusqu’à présent, étant donné que les chantiers navals de Temmer sont maintenant occupés à construire l’Aldébaran, un nouveau vaisseau de type cuirassé.

Plusieurs niveaux de ponts inférieurs sur les vaisseaux de classe Toléka sont modulaires, ce qui signifie que la coque extérieure peut s’ouvrir et que de grandes zones du vaisseau peuvent être retirées en totalité, pour être remplacées par d’autres avec une autre fonction.

Cela avait été fait pour le vaisseau Toléka en 2018, lorsqu’il avait été modernisé et équipé pour être le yacht de la reine. En effet, deux niveaux de pont à l’avant de la coque inférieure, qui étaient des logements et des dortoirs pour l’équipage, avaient été éliminés et remplacés par deux salles de bal et deux gymnases décorés de murs de fausses briques rouges, pour donner la sensation de ne pas être dans un vaisseau spatial.

Le Toléka avait également été équipé d’une zone de parc inférieur, qui comprend deux cascades sur la paroi rocheuse, de chaque côté du vaisseau, pour masquer sa coque intérieure, et deux piscines qui sont reliées par un chemin d’eau et qui ont de très grandes baies vitrées rondes à moitié immergées, situées de chaque côté du vaisseau, pour voir l’espace pendant que l’on nage. Quelque chose qui m’a toujours semblé un peu effrayant et flippant.

En plus de cela, le Toléka dispose également d’une salle à manger très luxueuse avec un grand escalier orné de statues. Mais comme nous étions très peu de personnes à bord, nous n’avons jamais utilisé cette salle à manger.

Mis à part ce que je viens de mentionner, le Toléka avait reçu très peu d’autres transformations pour le faire passer d’un croiseur lourd militaire polyvalent à un yacht.

En revanche, et pour en revenir au sujet de cette vidéo, le vaisseau Sadicléya a été construit dès le début pour être un yacht. Il n’a jamais été un vaisseau de guerre, ce qui fait que la plupart de ses espaces intérieurs sont très différents de ceux du Toléka. Bien que sa coque ait été construite selon le même concept de classe de vaisseau, avec le même design original.

Tous les ponts inférieurs où la plupart des membres de l’équipage seraient logés dans des cabines individuelles dans un vaisseau normal de classe Toléka, sont conçus sur le Sadicléya pour avoir deux très grandes aires de parc, l’une au-dessus de l’autre.

Sur le pont le plus inférieur, situé juste au-dessus de la batterie principale et des annulateurs de gravité, qui se trouvent le long de la quille ou du fond du vaisseau, il y a un lac considérablement grand, avec des berges très réalistes. Je veux dire que les bords du lac ne sont pas en lignes droites, ce qui aurait fait artificiel. Et autour du lac, il y a un très beau parc avec une petite forêt, qui est entouré de grands arbres ficus, plantés très près les uns des autres, de manière à former une haie dense de chaque côté et à cacher très efficacement les parois de la coque du vaisseau, pour donner la sensation et l’illusion d’être dans la nature à l’air libre, et non pas à l’intérieur d’une grande canette d’acier flottant dans l’espace.

À l’intérieur de cette zone, il y a plusieurs petites constructions avec des balcons et des porches qui s’avancent sur le lac. Ces constructions sont comme des cabanes, qui peuvent être utilisées par l’équipage pour avoir la sensation de passer la nuit dans une forêt, sur une planète.

Et la plus grande d’entre elles, qui a une terrasse donnant directement sur le lac, est la salle à manger dont nous nous servons aujourd’hui, et où nous avons l’impression de manger dans une sorte de restaurant dans les bois. Cela nous change de la salle à manger stérile, type centre commercial, qui était dans l’atrium central du Toléka et dans laquelle nous mangions.

Devant cette zone et au même niveau, nous trouvons une grande cloison qui sépare cette zone de la suivante, qui est une plage de sable, réplique parfaite d’une des plages de la planète Temmer, avec du sable contenant des cristaux de quartz polis, des pierres d’améthyste plus grandes et des galets de plein de couleurs. Et sur le rivage, des vagues d’eau salée avec de l’écume frappent le sable.

À l’extrémité la plus lointaine, à la proue du vaisseau, vers l’avant, le mur de la cloison est conçu pour donner au spectateur l’illusion de regarder au loin vers l’horizon d’une vaste mer. Et il est complété par la technologie de création d’hologrammes, qui fonctionne à l’intérieur de murs transparents pour donner cette illusion. De plus, cette cloison à l’avant se courbe vers le haut pour se fondre avec le toit sans angle droit, pour favoriser encore plus l’illusion d’être à l’air libre.

Sur le pont suivant, juste au-dessus, se trouve la deuxième zone de parc du vaisseau. Cette fois, il comprend deux zones citadines, avec des rues, de l’éclairage, des bâtiments et des maisons. L’une de ces deux zones est comme une ville typiquement taygétienne, avec son architecture traditionnelle arrondie, presque incrusté dans la nature qui l’entoure, et avec des routes sinueuses en briques rouges et des sentiers de gravier.

La seconde zone citadine, à l’arrière de la première, est une reproduction de plusieurs blocs d’une ville humaine typique de la Terre. Elle comporte des immeubles d’appartements, des maisons, des magasins, des immeubles de bureaux, et même un petit centre commercial, avec de l’éclairage partout et des graffitis sur certains murs.

À l’intérieur du Toléka, il y a deux petits immeubles d’appartements, avec un bout de rue humaine, et on m’avait dit que c’était principalement à des fins d’entraînement, pour familiariser les cadets taygétiens avec la façon dont sont conçues les villes et villages humains, et avec les modes de fonctionnement des choses normales du quotidien sur Terre, comme par exemple les boutons et poignées de portes, les cadenas, etc.

Mais la zone citadine humaine qui se trouve à bord du Sadicléya est beaucoup plus élaborée que celle du Toléka, car là tu as réellement l’impression de marcher dans des rues de la Terre, à part le fait qu’il manque les gens, bien sûr.

De plus, toutes ces zones, y compris le lac, la forêt et la plage, sont entièrement équipées de la toute dernière technologie de Taygeta génératrice de climats, qui peut vous fournir n’importe quels climat et température souhaités, lorsque vous vivez une expérience dans l’un de ces niveaux. Et pour encore plus de réalisme, vous pouvez programmer cette technologie afin d’obtenir une dynamique changeante dans le climat, et même des saisons.

Cela signifie que nous allons expérimenter l’hiver ici pour la première fois depuis des années (note d’Éloïse Al’Cyona : dans le Toléka, ils avaient une température constante de 22 degrés toute l’année)*, étant donné que nous avons programmé la saison d’hiver de façon à ce que nous la vivions en même temps que ceux qui habitent dans l’hémisphère Nord de la Terre, afin d’accompagner la majorité d’entre vous ici bas.

D’après ce qu’on m’a dit, les générateurs de climat sont assez bons pour produire de la neige et geler le lac suffisamment pour l’utiliser pour patiner sur la glace, ce qui me manque beaucoup, même si je ne l’ai pas fait souvent quand je vivais à la surface de la Terre.

Cette technologie de climat artificiel à bord du Sadicléya, comprend aussi des lampes solaires située dans la partie supérieure, qui donnent l’illusion d’être sous la lumière directe du soleil, avec des compositions migratoires pour imiter la transition du soleil à travers le ciel, afin de produire des ombres et des effets similaires.

Ces lampes solaires émettent également les longueurs d’onde de rayonnement exactes qui sont nécessaires pour imiter une étoile réelle (étoile = soleil)*. Ceci afin que les plantes, qui se trouvent en dessous, produisent leur photosynthèse correctement et efficacement, mais aussi pour que le reste d’entre nous puissions générer notre vitamine D si nécessaire.

En plus de ces zones remarquables à bord, le Sadicléya est également équipé de salons dans la zone de proue (à l’avant)*, et dans l’un d’entre eux se trouve le piano à queue qui était à bord du Toléka et que nous avons ramené ici avec nous. Ce sont les zones que nous utilisons le plus quand il y a une fête ou quelque chose à célébrer.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : ce magnifique piano a queue avait été sauvé in extrémis de la destruction par les Taygétiens durant la 2nde guerre mondiale, lorsque l’immeuble où il se trouvait a été bombardé et menaçait de l’engloutir sous ses décombres. Les Taygétiens l’ont fait passer de cet immeuble au Toléka grâce à un rayon tracteur. Le même type de rayon qui permet d’abducter des gens, car il agit comme un portail)*.

L’atrium du Sadicléya est également plus grand que celui du Toléka, plus arrondi et avec une configuration plus conviviale.

Contrairement aux informations initiales erronées reçues durant sa construction, le Sadicléya est en réalité 30% plus grand qu’un croiseur lourd de classe Toléka 1.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : je rappelle que le Toléka mesure 1734m de long, soit quasiment 2km)*.

Ses zones de hangar sont plus spacieuses et pratiques pour y stationner de grands vaisseaux spatiaux de chasse à l’intérieur, ainsi que pour y concevoir une petite piste de course tout le long de ses côtés, juste pour le divertissement.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Mari nous avait dit qu’elle aimait décompresser de sa journée en conduisant à toute vitesse des véhicules à moteur de la Terre sur des pistes de course aménagées exprès dans le Sadicléya, avec Dhor Kàal’el, qui partage cette passion)*.

Sous le hangar principal, il y a un autre grand espace : le hangar de service où sont réparés les vaisseaux stellaires et leurs moteurs.

Et sous cette zone du hangar de service, le Sadicléya est également équipé d’un niveau agricole plus grand que celui du Toléka, au cas où nous voudrions planter nos potagers, en plus des arbres fruitiers. Pour le moment, cette zone est seulement en attente, prête, mais pas encore utilisée.

De plus, au niveau de sa partie supérieure, le Sadicléya a une bosse particulièrement allongée par rapport à celle d’un Toléka normal, qui abrite un solarium transparent très grand pour pouvoir regarder les étoiles et avoir l’impression d’être dans l’espace, mais avec des vêtements normaux.

Par rapport à la première série de classe 1, ce vaisseau de classe Toléka 2 comprend d’innombrables améliorations techniques. Et les améliorations sont très notables, depuis les portes pneumatiques améliorées et plus denses qui ne se coincent pas, jusqu’à l’électricité entièrement sans fil dans tout le vaisseau. On peut clairement sentir qu’il s’agit d’une autre génération de vaisseaux.

Une autre amélioration très importante par rapport aux anciens Tolékas classe 1, c’est l’élimination des réservoirs d’eau qui étaient situés dans la partie supérieure de la coque, qui ont toujours été à l’origine de problèmes et même d’inondations, comme cela s’est produit pour la première fois sur le vaisseau Ritol il y a quelques années, et plus récemment sur le Toléka, il y a quelques mois. Les réservoirs d’eau principaux sont maintenant en bas, où ils ne devraient plus causer de problèmes.

Je voulais inclure dans ma vidéo au moins quelques images reproduisant l’intérieur du Sadicléya, mais elles ne sont pas prêtes, car je viens juste d’écrire ce texte. J’espère pouvoir bientôt vous transmettre quelques images illustratives.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

En ligne sur le site : 1 Utilisateur  💥 0 Utilisateurs sur cette page.