Je ne vais pas bien

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Auteur : Mari Swa
Publié le 5 octobre 2024

 

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[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 4 octobre 2024.

Il s’agit d’un sujet plus personnel, donc j’étais assez réticente à l’idée d’écrire ce texte, d’autant plus que je le voyais seulement comme une plainte par rapport à des problèmes physiques, alors que je sais que nous en avons tous. Beaucoup d’entre vous qui m’écoutez ont sûrement d’autres problèmes encore pires, alors de quel droit j’écris cela ? Quel en est le sens ?

Je ne suis pas très douée pour me plaindre, je préfère assumer le problème en l’incorporant, le laisser de côté et aller de l’avant stoïquement. Il y a beaucoup de choses plus importantes à faire dans la vie que de rester centré sur les problèmes du corps physique, qui est fragile et a besoin de beaucoup d’entretien.

Ensuite, il y a un autre point de vue que j’avais besoin de considérer avant de parler de mes vulnérabilités physiques, qui est qu’en tant que reine de Taygeta, je dois maintenir une aura d’invincibilité et de capacité totale pour faire face à n’importe quel défi et obstacle. Après tout, dans ma position, je dois toujours savoir quoi faire par rapport à tout, même quand je ne sais pas.

Mais ensuite, j’ai commencé à voir les choses depuis une autre perspective que celle où nous nous trouvons, celle du corps, pour voir les choses depuis la perspective de l’esprit, de l’âme. Car celle-ci est réellement invincible et prévaut dans sa mission de vie, malgré tous les défis et les limitations auxquels elle doit faire face, y compris l’avalanche de problèmes que le corps physique lui balance.

Alors, j’ai vu dans le fait de partager avec vous, mes amis et mes abonnés les plus proches, ce qui est en train de se passer dans ma vie, comme une opportunité pour vous de pouvoir nous regarder de plus près et comprendre clairement qu’ici nous sommes aussi des personnes, souffrant des mêmes types de problèmes que vous affrontez sur Terre, et que malgré notre haute technologie médicale, les choses ne peuvent pas toujours être résolues comme par magie.

Et cela est à l’opposé de la façon dont le New Age décrit les extraterrestres, affirmant qu’ils habitent dans des royaumes supérieurs, se déplacent dans leur propre merkaba générée par leur Égo excessivement réalisé et par leur auto-satisfaction, ou quelque chose de ce style.

Et pour finir, c’est aussi l’occasion de partager avec vous comment fonctionnent certaines de nos technologies et de nos instruments médicaux.

Comme je l’ai partagé avec vous dans de nombreuses autres vidéos et dans d’autres contextes, je ne peux pas manger de nourriture taygétienne parce qu’elle est végétalienne et donc riche en hydrates de carbone et en sucres.

Depuis que je suis arrivée à bord du vaisseau Toléka quand j’avais 13 ans, j’ai progressivement développé une intolérance sévère aux farines, au gluten, à toutes sortes de pâtes, au pain en général, aux fruits et légumes, ainsi qu’à tous les sucres, parmi une très longue liste.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Je précise, pour qu’il n’y ait aucun malentendu, que ci-dessus Mari ne parle plus de nourriture taygétienne, mais de nourriture en général, incluant celle de la Terre. Car les Taygétiens considèrent que le gluten est un poison et n’en consomment absolument jamais, si bien que pour leur pain et leurs gâteaux, ils font de la farine à base d’algues)*.

Ce qui m’a obligée à adopter un régime riche en protéines et en pratiquement rien d’autre, ou sinon je tombais malade. Ce qui est bizarre, c’est que lorsque je suis arrivée à bord du Toléka, je pouvais manger de tout, et puis j’ai progressivement perdu cette capacité.

Cette alimentation m’allait plus ou moins bien jusqu’à ce que, récemment, je commence à perdre beaucoup de poids, mais vraiment beaucoup. Puis j’ai commencé à ressentir de temps en en temps une douleur très aiguë dans la poitrine et c’est devenu de plus en plus fréquent, à tel point que j’ai même pensé qu’il pouvait s’agir d’un infarctus. Mais il s’est avéré que c’était dû à un faible taux de glucose. Puis j’ai commencé à avoir des périodes menstruelles très douloureuses et abondantes, ce qui m’a provoqué une anémie et tous les problèmes que cela entraîne, y compris le manque d’énergie et la fatigue constante.

Cela a été traité avec succès pendant plusieurs mois grâce à des suppléments de fer et de vitamines naturelles que je reçois de la Terre.

Mais il y a deux semaines, j’ai commencé à me sentir très étourdie, surtout lorsque je marchais ou montais les escaliers. Et ensuite, j’ai commencé à m’évanouir et cela m’est déjà arrivé deux fois.

La première fois, je marchais dans le couloir vers ma chambre privée, quand j’ai commencé à me sentir mal et puis à voir en noir et blanc. J’ai à peine réussi à m’asseoir sur le sol et je me suis évanouie.

Tout ce dont je me souviens ensuite, c’est de m’être retrouvée à l’infirmerie du vaisseau dans un lit dans la salle de réveil et avec du sérum intraveineux connecté à mon bras droit. Bien sûr, mes amis et Sénètre la chirurgienne du vaisseau, m’ont dit que je devais manger et me reposer davantage, mieux prendre soin de moi, etc.

Ensuite, j’ai poursuivi mes fonctions à bord du vaisseau et celles de reine de Taygeta pendant quelques jours, jusqu’à ce que je m’évanouisse à nouveau il y a deux jours, le 2 octobre 2024. Et encore une fois, je me suis réveillée dans la même salle de réveil qu’avant et avec plus de sérum intraveineux relié à mon bras.

Encore une fois, Sénètre la chirurgienne du vaisseau, mon équipage et mes amis, m’ont réprimandée et insisté à nouveau pour que je mange plus, car j’ai un faible poids et des problèmes de glucose.

Cette fois, l’autre médecin du vaisseau, qui a une formation médicale humaine, qui s’appelle Anna et qui est la dernière personne à avoir été extraite de la Terre par cet équipage, m’a fait quelques analyses de sang, a demandé à Sénètre certains équipements de laboratoire et des produits chimiques, et elle a effectué un test humain sur mon sang, ici à bord du vaisseau Sadicléya.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Anna est une starseed taygétienne née au Mexique et l’incarnation antérieure de feu Anéeka de Temmer, comme le raconte Mari Swa dans cette vidéo en anglais, qui existe aussi en espagnol sur cette même chaîne :
A Perfect Example of how a Soul becomes Strongly Attached to its past life, a true story – Fin de la note)*.

La mauvaise nouvelle est qu’elle a découvert que mon pancréas ne produit apparemment pas d’insuline ou très peu s’il en produit, et c’est la cause fondamentale de mes problèmes digestifs et de mon intolérance à toute sorte d’aliment qui augmente la glycémie. En d’autres termes, en se basant sur la médecine terrestre, elle m’a diagnostiqué un diabète de type 1 et m’a dit qu’il faudrait m’injecter de l’insuline plusieurs fois par jour, pour toujours.

Bien sûr, cela m’a dévastée, beaucoup effrayée et même mise en colère, et je me demandais : « Pourquoi moi ? ».

Tout cela n’avait aucun sens pour moi, étant donné que j’ai seulement 16 ans, que je me nourris bien, que je fais beaucoup de gymnastique et d’exercice, et que lorsque j’étais enfant sur Terre, ma mère ne me donnait que de la nourriture saine, car elle aimait le fitness et toutes ces choses-là.

Mais même en étant dans cet état, et après avoir pleuré et encore pleuré, j’ai remarqué que Sénètre était assez calme face à tout ça, presque comme si ce n’était pas très important, alors que c’était une nouvelle dévastatrice pour moi.

C’est vrai que j’avais tiré des conclusions hâtives, avant même de parler avec la chirurgienne en chef du vaisseau. Alors, quand j’ai repris assez de forces, je suis allée à l’infirmerie et je lui ai demandé de parler avec elle. Et elle m’a dit que j’oubliais que j’étais sur un vaisseau taygétien et que j’étais membre et reine d’une société interstellaire très avancée, en particulier en technologie médicale. Et donc calmement, elle m’a assuré que je pourrai résoudre mon horrible problème en peu de temps, pour reprendre ses propres termes.

Puis Sénètre m’a expliqué les trois possibilités de mon traitement : la première option serait d’entrer dans un caisson médical sec pour une nuit de 8 heures de sommeil artificiellement induit, pendant que la machine superpose sur mon pancréas l’image holographique de haute énergie de mon mon organe sain, pour forcer ses cellules à se régénérer, et le traitement serait aussi simple que ça. « Alors, « l’insuline pour toujours », non ! » a-t-elle dit en riant.

Et si cela ne résolvait pas le problème, je devrais m’injecter une solution spéciale contenant des cellules souches compatibles, à nouveau par voie intraveineuse, et ensuite entrer dans le caisson médical sec, où l’image holographique superposée pourrait régénérer mon organe endommagé, en utilisant cette fois-ci les cellules souches.

En dernier recours, et seulement dans le cas où aucun des deux précédents ne fonctionnerait, je devrais alors me mettre dans un caisson médical humide jusqu’à ma récupération complète, étant donné que cette machine peut résoudre presque n’importe quel problème médical, mais à condition que l’état du patient soit stable.

Le problème avec cette troisième option, c’est que la procédure prend jusqu’à trois mois (en temps terrestre)*, et Taygeta a déjà une reine dans un caisson médical, Alenym. Ce qui fait que je ne peux pas me permettre de rester dans un caisson médical aussi longtemps, car je me réveillerais dans un monde devenu très différent. Donc cette dernière n’étant pas une option pour moi, il faut que les deux premières procédures fonctionnent.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Le temps n’est pas quelque chose d’extérieur. À l’instar de la distance et du volume, le temps n’est qu’une illusion créée par la Source elle-même pour avoir un certain type d’expérience, plus particulièrement dans le monde matériel. Le temps est donc uniquement une perception interne et subjective, individuelle et collective.

Ce qui fait que cette perception varie d’un monde à l’autre, en fonction des accords de perception du peuple qui l’habite. Ainsi, le temps à Taygeta est perçu différemment de comment il est perçu sur Terre (où la sur-stimulation cognitive toujours croissante des êtres humains et la surcharge mentale qui en résulte, entraîne une perception du temps de plus en plus rapide, et c’est évidemment voulu et calculé par la Cabale, pour que nous perdions le contrôle de nos vies et nous empêcher ainsi d’agir contre elle), si bien que la perception de 4,6 jours sur Terre équivaut à la perception d’1 jour à Taygeta. Comme si les Taygétiens avaient des journées si longues, qu’elles durent 4 jours et demi en perception de temps terrestre.

Par contre, lorsqu’ils sont en orbite terrestre, les Taygétiens ont la même perception du temps que la nôtre, à 5mn près, non seulement parce qu’ils se calent sur nos horaires terrestres, mais aussi parce qu’ils entrent dans nos accords de perception. Ce qui fait que si Alenym était restée en orbite terrestre, elle aurait mis 3 mois à guérir totalement dans son caisson médical humide. Mais étant rentrée à Taygeta dans son caisson à bord du vaisseau Toléka, elle va y rester encore plusieurs mois (en temps terrestre).

Et donc, si Mari se mettait dans un caisson d’immersion à bord du vaisseau Sadicléya, en orbite terrestre, elle se réveillerait 3 mois après, donc début 2025. Mais pour elle, c’est une durée déjà bien trop longue durant laquelle il n’y aurait plus de reine, ni à Taygeta ni en orbite terrestre, et où il pourrait se passer beaucoup de choses qui influenceraient négativement notre ligne de temps, sans qu’elle n’ait la possibilité de les contrecarrer ou les modifier – Fin de la note]*.

Un autre problème qui m’empêche d’entrer dans un caisson médical humide de récupération complète est que j’ai 16 ans et donc que je ne suis pas encore complètement développée en tant que femme.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Contrairement aux femmes de la Terre, dont la croissance ralentit après les 1ères règles et s’arrête vers l’âge de 14-16 ans, les femmes taygétiennes continuent de grandir et de se développer jusqu’à l’âge de 21 ans)*.

Et donc, si j’entre dans ce type de machine, celle-ci imposera à mes cellules la génétique entièrement programmée et pleinement développée qui se situe entre 20 et 21 ans pour les femmes taygétiennes. En d’autres termes, mon corps sauterait artificiellement d’une fille de 16 ans à une femme adulte de 21 ans. Donc je passerais à côté de ma vie et de mon expérience de croissance de 17 à 21 ans, et ça je ne le veux pas.

Alors, comme je ne voulais pas perdre plus de temps, cette même nuit, qui était celle du 2 au 3 octobre, donc il y a 2 nuits, Sénètre m’a placée dans un caisson médical sec. C’est une capsule blanche sur un grand support central, vissée au sol de la zone médicale du vaisseau, avec un lit étroit à l’intérieur et un couvercle en verre incurvé.

Je m’y suis allongée, sur le dos et toute étirée, et le couvercle de verre est descendu en m’enfermant à l’intérieur de la machine. Quand le couvercle s’est refermé, toutes les lumières extérieures se sont éteintes, et tout ce que je pouvais voir était l’intérieur de la capsule se reflétant sur la vitre, avec une lumière bleue électrique brillant très faiblement à l’intérieur.

Puis j’ai commencé à avoir sommeil, j’ai fermé les yeux et je me suis évanouie jusqu’au lendemain matin. Quand je me suis réveillée, j’avais Sénètre, Anna et Kara, qui est la troisième médecin à bord, qui me regardaient et qui m’ont aidée à me lever du lit.

Et là, malheureusement, j’ai eu un petit malentendu et une légère querelle avec un autre membre notoire de l’équipage, qui avait très mal choisi son moment pour remettre sur le tapis d’autres problèmes, étant donné que je me réveillais à peine d’un sommeil induit par le caisson médical.

Elles m’ont dit de ne rien manger ce jour-là, qui était hier, et que je pouvais me sentir libre de faire ce que je voulais pendant quelques heures, avant de retourner dans la zone médicale pour faire des analyses supplémentaires et voir comment je guérissais.

Je suis donc retournée à la zone médicale plus tard ce jour-là, qui était hier, et Sénètre a pris des lectures du scanner du caisson médical et d’autres analyses sanguines.

Je déteste vraiment les aiguilles, ça fait très mal et pendant toutes ces procédures, on n’a pas arrêté de m’en planter, comme si les médecins avaient une sorte d’obsession avec les aiguilles, car ils les adorent et moi je les déteste.

Puis nous avons eu les résultats, et bien qu’ils montraient une infime amélioration dans mes cellules pancréatiques, ce n’était pas suffisant. Par conséquent, Sénètre m’a dit que nous devrions répéter la procédure encore une fois la nuit suivante, mais cette fois-ci avec les cellules souches.

Donc hier soir, elles ont de nouveau piqué mon bras avec le sérum intraveineux rempli de cellules souches, qu’une autre machine avait cultivées et développées pour moi. Et cette fois, elles m’ont obligée à dormir dans la capsule pendant 12 heures, pendant que mes gardes me surveillaient depuis l’extérieur de la salle médicale.

Le lendemain, c’est de nouveau Sénètre, Kara et Anna qui m’ont réveillée, et encore une fois, elles m’ont fait les mêmes tests. Elles m’ont fait une prise de sang cette fois-ci au bras gauche, car mon bras droit était et est toujours connecté par intraveineuse à la machine, y compris maintenant pendant que j’écris ces mots dans ma chambre, où elles ont apporté la machine pour me permettre d’écrire.

Je me sens comme une passoire de cuisine avec toutes ces piqûres que j’ai reçues et ça m’est intolérable.

Encore une fois, elles m’ont apporté les résultats des analyses et même s’il y avait une amélioration, celle-ci n’était pas encore suffisante, si bien que je devais de nouveau me mettre dans le caisson médical sec, recevoir plus de cellules souches en intraveineuse et dormir encore 12 heures de sommeil induit.

Le problème est que si le caisson médical sec ne résout pas rapidement ou pas assez bien mon problème de pancréas, j’aurai cette angoisse de savoir que j’ai besoin d’entrer dans un caisson médical humide pour ma récupération complète et d’y demeurer tout le temps nécessaire.

Cependant, il y a encore de l’espoir, car si je reproduis durant plusieurs nuits cette procédure avec des cellules souches dans le caisson médical sec, cela peut être suffisant car l’effet cumulé peut résoudre le problème. Même si nous ne pouvons pas savoir à l’avance combien de temps en dureront les effets et quelle stabilité ils auront dans le temps.

Taygeta et la Terre ne peuvent pas se permettre d’avoir une autre reine dans un caisson médical humide.

Voilà, c’est donc ce qu’il s’est passé jusqu’à présent. Et après ma deuxième nuit dans le caisson médical sec, je me sens toujours pareil, et même faible, étant donné que je n’ai rien mangé depuis avant-hier, parce que je suis nourrie par ce qui est injecté dans mon bras.

Comme me l’ont souligné Nai’Shara et ensuite Sénètre, je dois aborder les raisons psychologiques pour lesquelles j’ai manifesté ce problème physique. Entre autres choses, mon problème de santé est lié au fait de ne pas profiter de la vie, de ressentir de fortes culpabilités inconscientes et des difficultés d’indépendance, ainsi que beaucoup de regrets par rapport aux énormes pertes que j’ai subies dans ma vie, principalement celle de ma mère, que j’ai laissée derrière moi dans une autre ligne de temps et pour qui je suis très inquiète.

Et c’est également lié au fait de subir trop de stress au quotidien. Comme me l’a fait remarquer Nai’Shara, j’assume trop de responsabilités beaucoup trop grandes pour mon âge. D’autant plus qu’il y a seulement 3 ans, j’étais encore une petite fille de 13 ans, heureuse et vivant sur Terre avec sa maman, et que maintenant je dois m’occuper d’une civilisation entière (Taygeta)* et de toute la politique qui l’entoure, en plus de prendre sous ma responsabilité d’autres civilisations en difficulté (notre système solaire et la Terre)*.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Je trouve que les analyses de Nai’Shara et Sénètre réjoignent totalement ce qu’en dit le décodage biologique des maladies de Christian Flèche, comme vous pourrez le constater dans les extraits de son encyclopédie des correspondances symptômes – émotions, que j’ai mis en images ci-dessus. En plus d’apporter aussi un point de vue en lien avec le rapport au père, sachant que Mari a un père, mais qu’elle semble n’avoir jamais ou très peu été en contact avec lui.

Pour commander l’encyclopédie des correspondances symptômes-émotions de Christian Flèche, cliquez sur ce lien – Fin de la note)*.

D’accord, je comprends tout cela, mais je peux et je ferai ce travail, parce que personne d’autre ne peut le faire. J’aime mon travail en tant que reine de Taygeta et tout ce qu’il implique. Ce problème de santé est juste une chose de plus que mon âme doit affronter et transcender pour accomplir sa mission dans ce monde des vivants, et c’est ce que je ferai. Je ne compte pas descendre du trône, ni me défaire de mes responsabilités.

Donc ne prenez pas tout cela comme un signe de faiblesse, car je triompherai quoi qu’il arrive ! Voyez-y un signe de puissance et de force de caractère, dont je veux fermement croire, et je sais, être dotée.

Être reine de Taygeta me plaît, et je continuerai d’assumer mon travail et mes responsabilités du mieux que je peux.

Et pour terminer, permettez-moi d’être parfaitement claire avec ceci, avant que beaucoup d’entre vous ne commencent à dire des choses : non, ce n’est pas parce que j’écris trop pour mes vidéos, étant donné que l’écriture est l’une des rares distractions privées que j’ai, et j’adore ça.

Alors non, je ne vais pas arrêter d’écrire et de faire des vidéos quotidiennes comme je l’ai fait jusqu’à présent, parce que cette condition médicale ne m’empêchera pas d’accomplir ma mission de vie.

Je vous tiendrai au courant dans des futures vidéos de Nouvelles Spatiales et je vais continuer à faire du bon travail.

Ce sera tout pour aujourd’hui, car mon bras droit me fait mal lorsque je le bouge pour écrire et déplacer la souris de l’ordinateur, à cause de l’horrible aiguille qu’il y a à l’intérieur.

Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

MESSAGE DE GOSIA POUR MARI SWA, SUITE À SA VIDÉO DU 5 OCTOBRE 2024 INTITULÉE « JE NE VAIS PAS BIEN »

« Bonjour les amis ! Voici un message pour Mari :

Mari, grâce à l’expérience que m’ont apportée ce travail de divulgation depuis 6 ans et demi, et ma vie d’avant, je sais qu’il y a une légère différence entre ÊTRE ou se sentir fort, et DEVOIR être fort. La plupart du temps, nous opérons dans ces deux camps à la fois, c’est pourquoi il est difficile de sentir la différence et il est facile de tomber dans le piège qui pourrait entraîner que nous tombions malades, par exemple.

Quand je me sens forte, je sais que je le suis et je continue simplement à faire ce que je fais. Presque sans effort, et avec la satisfaction de le faire. Et je le concilie avec le fait de profiter de la vie.

Mais il arrive un moment, et cela nous arrive à TOUS (toi y compris, Mari), au cours duquel ce que nous portons sur les épaules, même si nous sommes forts, peut nous faire glisser vers la zone où cette charge devient si lourde, que nous cessons d’apprécier notre force comme une qualité naturelle de notre caractère, parce qu’elle se transforme en effort où nous finissons par « devoir être fort ».

Naturellement, c’est dans cet effort que nous montrons cette force, oui, mais à mon avis, nous devons être vigilant et repérer lorsque cet effort devient si exigeant qu’il transforme notre qualité naturelle d’être fort, en « devoir être » fort pendant trop longtemps.

Comme je l’ai déjà dit, et de par mon expérience, « être » et « devoir » être fort, sont souvent interchangeables, et on peut même apprécier de passer de l’un à l’autre.

Mais si je ne donne aucun répit à mon esprit et à mon corps par rapport à ce pour quoi je veux et j’ai besoin d’être forte, je peux finir par m’effondrer sous le poids de toutes ces choses pour lesquelles je dois être forte. Et dans ce cas, je n’en tire plus aucun avantage, car ce n’est plus qu’une charge qui me crée du stress et, par conséquent, des problèmes de santé.

C’est là que l’on finit par se dire à soi-même : « Je suis tellement fatiguée de devoir être forte… ». On s’effondre et on pleure. Car on est fatigué de cette responsabilité et de cette pression.

C’est pour ça que chaque fois que je ressens la pression cumulative de ce pour quoi « je dois être » forte, au lieu de l’être de manière naturelle grâce à la force innée de mon caractère, j’essaie de m’offrir des moments de récupération émotionnelle, quoi que ce soit qui détend mon esprit et me met en contact avec la simplicité du moment, que ce soit une longue et amusante journée ou demi-journée passée à l’air libre, un délicieux repas, un moment avec des êtres chers, de la musique, n’importe quoi !

Beaucoup d’entre nous sommes, ou « devons être » forts, jusqu’à ce que nous ne le soyons plus du tout. Anéeka de Temmer (décédée de stress à bord du Toléka en novembre 2022)* avait toujours été forte, et Yazhi avait même dit il y a des années qu’Anéeka était forte par nature et que rien ne l’affectait, jusqu’à ce qu’elle cesse totalement de l’être. Donc, était-elle forte par nature ou « devait-elle » l’être ?

Il s’agit probablement d’une combinaison des deux, mais c’est la partie « devoir être » qui doit faire l’objet de vigilance, car c’est là que le stress et la maladie se faufilent. Et « se faufiler » est le terme adéquat, car il est très difficile de détecter le moment où ce pour quoi nous nous pensons suffisamment forts, nous en demande trop.

Anéeka avait pour habitude de dire : « La Cabale ne se repose pas, alors pourquoi devrais-je le faire ? ». Eh bien, probablement pour que tu puisses continuer à être la douleur dans le cul de la Cabale pendant les années à venir… et non pour que ton travail soit interrompu, peu importe où tu te trouves maintenant, Anéeka !!!

Mari, tu viens de devenir reine. Il n’y a pas si longtemps, tu t’amusais avec Yazhi à glisser sur du savon étalé sur le sol du vaisseau, et tout à coup tu te retrouves submergée par une quantité de responsabilités et de pressions que l’on peut à peine imaginer.

Nous savons tous que tu es forte et déterminée par défaut, simplement parce que ton âme est ainsi, et toi-même tu le sais. Mais cette force ne doit pas te tromper en te faisant croire que tu es indestructible, comme ce fut le cas pour Anéeka, comme c’est le cas aussi pour moi parfois, et comme c’est le cas de beaucoup d’entre nous.

Certes, tu es plus forte la plupart de tes amis Taygétiens, mais la quantité de tâches que tu as sur les épaules, à mon avis, entre dans la catégorie « devoir être » forte pour Taygeta, et pas seulement l’être naturellement.

Fais simplement attention à la petite voix intérieure qui te dit : « Oh j’ai besoin d’être forte pour tant de choses ! Je le serai, je le ferai, je peux le faire ». Cela t’indique qu’à ce moment-là tu te forces. Alors veille à t’apporter un temps de récupération émotionnelle et vas-y calmement. Avec constance, mais calmement. Et ensuite continue…

C’est donc mon message pour toi, Mari, en ce moment, et aussi pour vous, l’équipage taygétien, pour que vous preniez soin de Mari et que vous vous assuriez qu’elle prenne du temps pour s’offrir de petits ou de grands plaisirs simples dans sa routine quotidienne. Ne laissez pas son courage et son esprit jeune, fort et idéaliste vous faire croire que rien ne peut lui arriver, à elle ou à l’un d’entre vous, du fait de trop forcer.

Nous tous, nous aimons ce que nous faisons et notre travail, mais c’est précisément cela qui exige que nous trouvions aussi le temps de nous détendre.

Guerrière reposée, guerrière durable !

Plein de câlins guérisseurs pour toi, Mari 😊✨💚

Gosia. »

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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