Attaque psychique

Auteur : Mari Swa
Publié le 30 novembre 2024

 
attaque psychique

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Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !


J’écris ceci le matin du 27 novembre 2024.

Attaque psychique ou attaque astrale, chaque personne autoproclamée experte en la matière, déterminera de son propre chef de quel type d’attaque il s’agit, et quelles sont leurs différences, s’il y en a.

Moi je définirais une attaque psychique comme celle qui provient d’une personne, d’une entité ou d’un groupe spécifique. Alors qu’une attaque astrale viendrait d’une source plus indéfinie dans les règnes astraux, presque comme si elle provenait de tout l’astral.

Dans la société terrestre super contrôlée et focalisée sur la matière, tout ce qui a trait à l’astral est considéré comme une bêtise, comme s’il s’agissait de thèmes provenant de vieilles idées païennes et attardées, associées à de la sorcellerie et à d’autres systèmes de croyances non scientifiques de personnes ignorantes, et fondées plus sur de la superstition que sur des faits.

Bien sûr, je parle du niveau populaire et officiel de la société terrestre, parce que les gens, les entités qui tirent réellement les ficelles, connaissent très bien tout ce qui se passe dans l’astral, et savent en grande partie comment fonctionnent les choses là-bas, au moins jusqu’aux limites des petits recoins diaboliques de l’astral qu’ils utilisent.

C’est l’une des principales raisons pour lesquelles ils ne veulent pas que la population sache que le côté astral est très réel, car cela réduirait grandement leurs pouvoirs de manipulation sur la société.

Car ils utilisent tout le temps l’astral pour atteindre leurs objectifs, depuis les politiciens de bas niveau jusqu’aux très haut placés. Plus un individu avec du pouvoir est haut placé dans l’échelle sociale, plus il utilise d’horribles rituels ésotériques, astraux et autres.

Si on généralise, les scientifiques, les universitaires, les entrepreneurs de haut niveau et les millionnaires, ne croient pas en l’astral ni en l’ésotérique, et ne s’en servent pas. Mais les milliardaires et les personnes qui dirigent la Terre par dessous la table, eux, oui, ils y croient et ils utilisent tout le temps leur savoir à ce sujet.

Au final, toute la culture et la société officielle de la Terre, au niveau des personnes, sont dirigées par des moyens ésotériques, et le côté astral est utilisé comme une arme pour contrôler et manipuler les gens. Au point où ces derniers finissent par générer et manifester la réalité existentielle que veulent ces contrôleurs, et il s’agit de la Matrice de la Terre telle que nous la connaissons tous.

Bien que l’on puisse expliquer comment la société de la Terre est guidée et contrôlée par d’autres moyens, ces moyens n’entrent pas en conflit avec le sort qui a été jeté à l’humanité par ses contrôleurs, qui ont d’énormes connaissances sur le côté astral des choses. Un envoûtement qui empêche la grande majorité de la population de voir ou de comprendre la réalité au-delà de ce qui se trouve dans sa vie quotidienne intensément matérialiste.

C’est précisément la raison pour laquelle la plupart des gens sur Terre ne reconnaissent pas, et comprennent encore moins, le fait que beaucoup de choses qui leur arrive n’ont pas de causes dites « normales » ou « logiques ».

Ils sont pris au piège dans une compréhension matérialiste matricielle, qui les aveugle et les empêche d’accéder au cadre de réalité plus large qui les affecte tous les jours et ce, beaucoup plus fortement que ne veulent leur faire croire les explications logiques qu’on leur donne sur ces évènements quotidiens.

Par conséquent, ils manquent de connaissances pour détecter et être conscients des choses qui les affectent depuis l’astral, qui pourraient inclure des attaques psychiques et astrales. Et ils ont encore moins la capacité de les affronter, de les arrêter ou de les neutraliser.

Quand les choses tournent mal dans ta vie de manière répétée, comme une série de malchances et de synchronicités indésirables et nuisibles, ou des gens indésirables qui savent mystérieusement où tu te trouves, ou un enchaînement de maladies mystérieuses et illogiques qui t’empêchent de prospérer, ou lorsque tu as l’impression que le monde entier conspire contre toi… alors tu es certainement en train de recevoir une attaque psychique ou astrale.

De même que lorsque tu es focalisé sur un objectif dans ta vie, quel qu’il soit, et que mystérieusement les choses qui ont directement ou indirectement à voir avec cet objectif, tournent mal en permanence, comme si l’univers te disait que ce n’est pas le chemin à suivre, cela peut aussi être une attaque psychique ou astrale.

En effet, il pourrait très bien s’agir d’entités ou de l’énergie des personnes qui sont affectées par ton objectif ou projet, parce que celui-ci va à l’encontre de leurs intérêts, et donc cela n’aurait rien à voir avec l’univers.

Cependant, dans ce cas les choses peuvent être plus complexes, car cela peut aussi être ton intuition subconsciente et inconsciente, ainsi que tes guides spirituels, qui essayent de te dire que l’un ou l’autre de tes plans n’est pas forcément une bonne idée.

Encore une fois, plus tu te connaîtras toi-même, et plus ta focalisation et les raisons pour lesquelles tu as de tels plans et projets seront claires, mieux tu pourras savoir s’il s’agit d’une attaque psychique ou d’autre chose.

Cela pourrait signifier que quelque chose avec beaucoup d’énergie a décidé que, pour une raison quelconque, tu es une menace pour eux, parce que si tu n’en étais pas une, alors il ne serait pas logique de gaspiller leur précieuse énergie en se concentrant sur toi.

Les attaques psychiques et astrales peuvent générer beaucoup de peur chez ceux qui les subissent, parce que l’origine de l’attaque étant inconnue, apparemment la solution l’est aussi.

Cela génère des sentiments de désespoir et d’impuissance chez le sujet – cible, ce qui se traduit par une peur intense et de la désolation, qui en réalité ne font qu’aggraver l’attaque en amplifiant ses effets.

Une fois de plus, le problème réside dans l’ignorance sur la façon dont fonctionne le côté astral des choses. L’inconnu engendre toujours la peur, surtout s’il est perçu comme une menace, de sorte que si l’origine et le motif de l’attaque restent cachés, le sujet – cible va logiquement tomber dans la peur et le désespoir.

Mais cette réaction est aussi basée sur la mentalité de victime, car le malheur de l’individu est dû au fait que cette autre personne, force ou entité maléfique, inflige son pouvoir au petit « pauvre de moi » qui est enfermé dans la perception du monde matériel, et qui est donc sans défense contre les forces astrales complexes qui ont conspiré contre lui.

Je précise que « petit pauvre de moi » est ici une expression rhétorique.

Et ce que tu dois aussi savoir à ce sujet, c’est que dans le cas d’une attaque astrale, la source de l’attaque, l’identité de l’attaquant, n’a au final pas d’importance. Tu n’as pas besoin de savoir ce qui t’attaque, bien que cela puisse être utile dans certains cas, je ne le nie pas, mais en général ce n’est pas nécessaire.

Rappelle-toi que l’astral est une soupe de fréquences comme tout le reste, donc si quelque chose ou quelqu’un t’attaque depuis l’astral, cela signifie que cette entité concentre son énergie sur toi intentionnellement, mais qu’elle ne peut pas t’affecter ni t’atteindre si tu ne corresponds pas vibratoirement à ce que transmet cette entité.

Il est facile de voir les choses de cette manière. Peu importe combien l’agresseur astral peut être intentionnellement concentré sur toi, peu importe la force et la dureté avec lesquelles il peut te transmettre son énergie, s’il n’y a pas de récepteur, il n’y a pas d’effet.

C’est comme un émetteur radio fort et puissant, peu importe qu’il ait une grande puissance d’émission en watts, si du côté récepteur aucun appareil ne règle sa fréquence sur la sienne, il n’y aura pas de communication et il n’y aura aucun effet de l’autre côté. Cela signifie que tu as un contrôle total sur toute attaque astrale qu’ils pourraient lancer sur toi.

Pour que tu souffres des effets d’une attaque psychique ou astrale, tu dois être compatible vibratoirement avec elle, alors demande-toi pourquoi tu es vulnérable à cette chose qui te nuit.

La meilleure défense contre les attaques astrales et psychiques que tu puisses avoir, est de pouvoir contrôler qui tu es de manière concentrée et consciente. Le fait de contrôler ta vibration est, encore une fois, la clé ici.

Comme je l’ai dit plus tôt, ce que tu imagines dans le monde des vivants, ou monde matériel, devient réel et puissant du côté astral. Rappelle-toi que de l’autre côté, les choses ont tendance à s’inverser et les règles à être différentes.

Et, je le répète, en définitive tout est astral, y compris le monde matériel, puisque ce sont la perception et la conscience qui définissent tout. Donc, le fait d’être conscient que tu es, ou du moins que tu peux être, sous l’emprise d’une attaque psychique ou astrale, diminue beaucoup ses effets.

Rappelle-toi que la peur est un grand amplificateur ici. Donc le fait de te parler à toi-même, d’affirmer ton pouvoir, ta force personnelle et l’idée que tu es invulnérable à cette attaque, fonctionne.

Car ces attaques ne relèvent ni de l’illusion ni du récit fantastique, comme le prétend la société de la Terre, qui impose cette idée de manière insistante et convaincante à ses habitants. Rappelle-toi qu’ils veulent bloquer la perception des gens seulement dans ce qui définit le monde matériel.

Utilise ta puissante imagination pour parer ce qui va à ton encontre. Imagine quelque chose qui te plaît et qui fonctionne. Par exemple, le fait d’imaginer une bulle – bouclier dorée de lumière qui crame tout le mal autour d’elle, est particulièrement utile. Mais tu es le seul à savoir ce qui fonctionne le mieux pour toi. Du moment que tu décides qu’une chose fonctionne, que ce soit une amulette, l’image mentale d’un panda en colère, ou n’importe quelle autre chose, si ça marche pour toi, alors ça marche.

Au sujet des amulettes, un symbole est chargé de la signification que lui donne l’inconscient collectif, ainsi que de la signification que tu lui as toi-même assignée, en bien ou en mauvais. Donc, en effet, les amulettes fonctionnent.

Quant à moi, je préfère les pierres et les cristaux, que j’utilise comme des amplificateurs de mon intention et de ma focalisation, parce que je les sens plus personnels, étant donné que chacun d’entre eux est unique, donc qu’ils sont plus propres, dénués d’idées et d’énergies collectives. Je sens qu’ils retiennent uniquement mon énergie et celle de personne d’autre. Ce thème est très vaste et je continuerai à partager avec vous ce que je sais et ce que j’apprends au fur et à mesure à ce sujet.

Quelques mots d’avertissement ici : notre esprit conscient n’est pas aussi fort que notre subconscient et notre inconscient. Je sais que c’est une triste réalité, car cela fait que nous pouvons être vibratoirement compatibles avec des choses non désirées, y compris si nous nous concentrons pour nous protéger nous-mêmes.

Donc, encore une fois, mieux nous contrôlons notre vibration, moins les choses extérieures peuvent nous affecter, et cela inclut aussi bien les attaques astrales que les choses embêtantes de la vie quotidienne.

Ensuite, nous avons un problème supplémentaire : si les entités, astrales ou incarnées, veulent t’atteindre mais que tu as réussi à te défendre efficacement, elles sont assez intelligentes pour chercher patiemment une faiblesse en toi, dans ton bouclier mental, dans ton cœur et même dans ton caractère, pour ensuite l’exploiter à leur convenance.

Par exemple, si elles ne peuvent pas t’empêcher de travailler sur un projet qui est contraire à leurs intérêts, elles peuvent trouver en toi une faiblesse physique qui te rend vibratoirement compatible avec le fait de tomber gravement malade. Et de cette façon, elles peuvent t’empêcher de continuer ton projet, mais cette fois de manière détournée.

La clé pour te défendre contre les attaques astrales ou psychiques est de travailler sur toi-même, sur ton cadre intérieur et sur ta force personnelle de caractère, sans que tu n’aies besoin de prêter attention à ce qui pourrait aller contre toi.

Rappelle-toi que plus tu es grand et puissant, plus tu auras d’entités et de personnes, astrales et non astrales, qui iront contre toi. Mais tu ne peux pas toutes les affronter directement, d’autant plus que ça ne ferait que les nourrir. Alors tout ce que tu dois faire est de devenir plus fort à tous les niveaux.

De plus, rappelle-toi que le concept spirituel selon lequel tu ne peux pas te protéger contre quelque chose sans créer et manifester ce quelque chose, est particulièrement valable dans ce cas.

C’est d’ailleurs aussi une des raisons pour lesquelles ce n’est pas une bonne idée de partager trop de choses dans des conversations occasionnelles avec des inconnus, car tu donnes à ces derniers des indices sur tes faiblesses. Comme le disait le vieil adage durant la seconde guerre mondiale : « Des lèvres trop déliées peuvent faire couler des bateaux ».

Si tu veux te prémunir contre les attaques astrales ou psychiques, travaille sur toi-même, sur ton armure mentale et spirituelle, et ne te concentre pas sur les agresseurs, oublie-les. Il y en aura toujours, mais si tu t’es protégé correctement, cela n’a pas d’importance.

Deviens inarrêtable. La clé c’est toi-même, et non pas quelque chose d’extérieur à toi. Le courage et la résilience sont la clé.

Je continuerai de développer ce thème prochainement, car il est très vaste et important.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 17 novembre 2024 - Collision entre deux grands vaisseaux Taygétiens

Auteur : Mari Swa
Publié le 18 novembre 2024

 

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Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 17 novembre 2024.

Il y a trois semaines, deux de nos vaisseaux principaux qui sont en orbite autour de la Terre, se sont gravement heurtés. Heureusement, personne n’a été blessé.

J’ai attendu de voir les conséquences de cet accident et comment elles évoluaient, avant de rendre cela public. Je me suis aussi demandée si c’était une bonne idée de publier ça, d’autant plus que nous avons un peu honte.

L’accident a été le résultat de plusieurs choses qui se sont mal déroulées et d’erreurs de calcul dues à des défaillances dans les instruments. Manœuvrer de gros vaisseaux spatiaux lourds à grande proximité l’un de l’autre, est toujours très dangereux. Et pour que vous compreniez ce qui s’est passé, je dois vous décrire comment cela s’est produit et vous donner quelques détails techniques.

Comme on peut s’en douter, tous les vaisseaux spatiaux ont un bouclier d’énergie autour d’eux, qui est généré par leurs moteurs. Ce bouclier les protège de tout élément indésirable qui pourrait s’approcher d’eux, y compris d’un autre vaisseau qui s’approcherait de trop près.

Le fait que deux vaisseaux entrent en collision avec leurs boucliers mis en place, ne serait pas si grave, car ils se repousseraient l’un l’autre comme le feraient deux aimants, vu que c’est le même principe. Mais cette répulsion peut aussi les faire bouger avec suffisamment de violence pour causer des dommages internes aux vaisseaux et à leurs équipages. Des dommages qui peuvent être légers ou sévères, en fonction de combien le choc a été direct, de son angle, de sa vitesse et de toutes les autres variantes de ce type.

Le simple fait de soudainement forcer un vaisseau, qui pèse au moins des centaines de milliers de tonnes, à se déplacer de façon brusque et non naturelle, fait que les objets et l’équipage volent dans les airs et se heurtent aux choses qui sont à l’intérieur, en fonction de la gravité du choc là aussi.

Ces scénarios de collisions que je viens de décrire, c’est lorsque les boucliers sont en place. Alors imaginez ce qu’il se passe sans les boucliers.

Il est assez commun que les vaisseaux stellaires taygétiens s’amarrent les uns aux autres, se plaçant côte à côte, pour faire communiquer leurs espaces de hangar à travers leurs portes latérales, avec une plate-forme extensible spéciale, et un toit télescopique pour sceller l’union depuis l’espace extérieur.

De cette façon, leur équipage peut charger et décharger des marchandises, des fournitures, des pièces de rechange, etc., de manière très efficace, en utilisant des véhicules de transport à l’intérieur, par exemple des chariots élévateurs similaires à ceux de la Terre, mais pas les mêmes, ou simplement en marchant d’un vaisseau à l’autre.

L’amarrage côte à côte des vaisseaux est très efficace lorsque deux vaisseaux doivent travailler ensemble, surtout quand l’un d’eux est un vaisseau de maintenance et d’assistance, comme le sont les deux grands vaisseaux taygétiens Saska et Saskech, qui sont presque identiques.

Par exemple, lorsqu’une grosse maintenance est réalisée sur un vaisseau situé loin de chez lui et dans l’espace profond, comme c’était le cas lors de cet incident malheureux.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : je rappelle que notre système solaire et la Terre étant situés à une périphérie de la galaxie, et les Pléiades étant situées au centre de celle-ci, être en orbite terrestre revient pour les Taygétiens à être dans l’espace profond – Fin de la note)*.

Pour que deux vaisseaux s’approchent jusqu’au point de contact et se jumellent l’un à l’autre, les harmoniques de fréquence de leurs boucliers doivent être synchronisés. C’est-à-dire que la fréquence de l’énergie qui est produite par leurs moteurs (et qui englobe tout le vaisseau comme un bouclier)*, doit être la même. Car c’est ce qui permettra aux 2 boucliers de se mêler l’un à l’autre pour ne faire qu’un, lorsque les vaisseaux seront côte à côte.

Avec les harmoniques des boucliers synchronisés et sur la même fréquence, leurs boucliers se touchent et ne font plus qu’un, de sorte que c’est comme si leur approche et leur amarrage étaient réalisés sans bouclier, depuis le point de vue de la manœuvre et des deux vaisseaux impliqués.

Si les deux vaisseaux avaient des boucliers dans des harmoniques de fréquence différents, ils ne pourraient tout simplement pas se toucher ni se jumeler. Comme je l’ai dit plus tôt, ils se repousseraient comme deux aimants.

L’incident :

Il y a environ trois semaines, le vaisseau de maintenance et d’approvisionnement Saska 1 était amarré sur le côté tribord, c’est-à-dire sur la droite du grand cuirassé taygétien Alcyone, car il venait de réaliser sur lui une longue liste de réparations et d’améliorations, qui incluait le remplacement des capteurs arrière, qui sont connectés à l’ordinateur de navigation de l’Alcyone.

Une fois les réparations terminées, les équipages des deux grands vaisseaux taygétiens ont procédé au déjumelage des deux vaisseaux. Les portes des hangars se sont fermées, les grandes brides métalliques se sont ouvertes et les deux vaisseaux ont logiquement commencé à flotter durant leur séparation.

Le problème a commencé parce que l’Alcyone devait s’éloigner du Saska 1 à tribord, vers la droite, mais comme je l’ai dit précédemment, le Saska 1 était justement amarré à sa droite, ce qui fait que l’Alcyone a dû complètement dépasser le Saska 1 avant de changer de direction.

Tandis que les deux grands vaisseaux s’éloignaient lentement l’un de l’autre, le capitaine Gori’el de l’Alcyone a commencé à faire descendre ce dernier. Il a procédé à un déplacement vers le bas pour laisser le grand et lourd Saska 1 lui passer par-dessus, ce qui lui aurait permis de déplacer le vaisseau Alcyone vers la droite quand il en aurait eu besoin, une fois que le Saska 1 aurait été libre de ses mouvements.

Bien que l’équipe de maintenance du Saska 1 ait remplacé l’ensemble des capteurs arrière supérieurs de l’Alcyone, ceux-ci n’étaient pas opérationnels en raison d’une défaillance qui faisait que l’ordinateur de navigation ne les reconnaissait pas. Par conséquent, l’équipage de l’Alcyone n’avait aucun moyen de savoir avec précision ce qu’il y avait au niveau de la partie supérieure arrière, et c’est précisément là que se trouvait le Saska 1 à cet instant.

L’équipage de l’Alcyone a mal calculé la taille de son vaisseau, ce qui fait que la descente qu’il avait effectuée pour dégager la voie au Saska 1, n’était pas suffisante. Et pour aggraver les choses, l’équipage a bougé trop tôt le gouvernail à tribord, ce qui a changé le ratio d’aspect du vecteur mouvement entre les deux vaisseaux.

Tous les objets, grands ou petits, lorsqu’ils sont dans un environnement libre, ont tendance à se regrouper entre eux. Cela se produit également dans l’eau par exemple, mais dans l’espace c’est encore plus évident.

Quand l’Alcyone a tourné à droite et n’était pas assez loin sous le Saska, et les deux ayant encore leurs deux boucliers avec les mêmes harmoniques de fréquence, la section de la coque de proue (avant)* du Saska a atteint l’Alcyone et a enfoncé la partie arrière de sa superstructure, causant de graves dommages à la coque dans cette zone.

La partie de la proue super renforcée du Saska s’est écrasée contre la superstructure arrière de l’Alcyone, la détruisant complètement, envoyant de gros débris flottants dans l’espace et créant un événement de dépressurisation dans l’Alcyone, qui a aussitôt scellé la zone en fermant les portes pneumatiques qui entouraient la zone touchée, afin de minimiser les dommages supplémentaires, pendant que les alarmes retentissaient. Heureusement, il n’y avait personne dans cette zone du vaisseau, sinon ils seraient morts instantanément.

Et comme les harmoniques de fréquence de leurs boucliers étaient toujours les mêmes, car les vaisseaux devaient s’éloigner suffisamment l’un de l’autre avant de changer leurs harmoniques de fréquence, la collision s’est produite comme s’ils n’avaient pas eu du tout de bouclier.

Yamil, le capitaine du Saska 1, et son équipage, ont juste pu regarder avec horreur l’Alcyone qui tournait directement vers eux, pendant que retentissaient leurs alarmes de collision imminente. Et ils n’ont rien pu faire car les vaisseaux de cette taille ne peuvent pas être totalement stoppés en un instant.

Comme le Saska 1 a heurté l’Alcyone avec la partie avant de sa coque de proue, qui est super renforcée et qui est probablement la partie la plus résistante de n’importe quel vaisseau, il n’a lui-même subi aucun dommage.

Le capitaine Yamil a envoyé une équipe d’inspection pour inspecter la zone et ils n’ont trouvé que des éraflures. Mais selon les rapports, la zone était déjà éraflée avant l’incident, ce qui fait qu’aucun dommage n’a été signalé et qu’il n’y a pas eu besoin de réparer quoique ce soit sur le Saska 1, qui a continué de fonctionner normalement.

En revanche, l’Alcyone a signalé des dommages graves et la perte d’une grande partie de sa superstructure arrière, si bien qu’il avait été initialement décidé que l’Alcyone devrait retourner à Temmer en boitant, pour y effectuer des réparations exhaustives. Mais les équipes de maintenance, aussi bien celle de l’Alcyone que celle du Saska 1, ont immédiatement fait tout leur possible pour contenir le problème jusqu’à ce qu’il puisse être résolu de façon permanente.

Comme les capitaines des deux vaisseaux continuaient à s’accuser mutuellement d’être responsable de l’incident, j’ai dû mettre en place une réunion de tout le Conseil pour analyser la situation. Il a été constaté que Gori’el, le capitaine de l’Alcyone, et son équipage, ne pouvaient pas calculer la distance exacte qui les séparait du Saska 1, parce que les capteurs arrière supérieurs qui venaient d’être installés, étaient inopérants. Ils ont d’ailleurs été également détruits lors de l’incident.

Avant de virer à tribord, l’Alcyone aurait dû s’éloigner et plonger beaucoup plus, pour s’assurer que le Saska 1 pouvait les dépasser par le haut en toute sécurité. En d’autres termes, ils ont bougé trop tôt. Mais il a été déterminé que le Saska 1 n’aurait rien pu faire pour éviter l’incident.

L’Alcyone, bien qu’endommagé, a continué ses tâches en orbite terrestre moyenne, car il a été décidé de le réparer ici, afin de lui éviter d’avoir à retourner à Temmer.

La semaine dernière, le vaisseau jumeau du Saska 1, le Saskech, est arrivé avec une nouvelle superstructure arrière modulaire pour l’Alcyone, qui a été fabriquée dans le chantier naval de Temmer en suivant les spécifications qui ont été fournies par l’équipage de l’Alcyone et celui du Saska 1. La nouvelle superstructure modulaire est arrivée divisée en sections et à moitié assemblée.

À son arrivée, les équipes de maintenance des trois vaisseaux, l’Alcyone, le Saska 1 et le Saskech, ont installé cette nouvelle section sur l’Alcyone, qui est de nouveau en pleine condition opérationnelle, bien que ses nouveaux capteurs arrière supérieurs restent inopérants en raison d’une défaillance inconnue.

Je sais qu’Anéeka de Temmer avait partagé des informations, par l’intermédiaire de Gosia et de sa chaîne Cosmic Agency, sur la poudre de titane polymorphe, qui peut réparer ou construire un vaisseau entier par elle-même. Cela est vrai, mais en théorie, parce que dans la pratique, les vaisseaux sont encore construits avec des sections modulaires préfabriquées, qui sont soudées entre elles, exactement comme les navires marins humains sont construits. Et après, ces sections modulaires sont recouvertes de cette poudre de titane polymorphe qui se solidifie par la suite. Le titane polymorphe peut s’autoréparer après avoir subi des dommages, mais il y a aussi une limite à cette capacité.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 15 novembre 2024 - Qu'arrive-t-il aux Taygétiens, à ma chaîne YouTube et à moi ?

Auteur : Mari Swa
Publié le 16 novembre 2024

 

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Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 15 novembre 2024.

Avant de continuer, je voudrais préciser que je ne ferai plus de vidéos sur ce qui m’afflige, à moins que cela aille de pair avec un contexte qui puisse vous intéresser, comme c’est le cas ici. Parce que, comme vous pourrez le constater dans ce qui va suivre, ce qu’il se passe avec mon groupe et moi est loin d’être normal. C’est étrange, inhabituel et même pervers.

J’ai beaucoup plus de sujets intéressants à partager avec vous, cependant, je sens que je vous dois une explication sur ce qui est en train de se passer ici en haut.

Vous avez peut-être remarqué que cela fait à peu près une semaine que je n’ai pas écrit de nouveaux textes pour de nouvelles vidéos. Ces derniers jours, j’ai publié une longue vidéo rassemblant les trois parties de mon expérience de cérémonie avec les Urmahs. Et mes amis du CIC m’ont aidée à publier plusieurs shorts vidéo, qui sont des extraits d’anciennes vidéos portant sur des sujets qui peuvent être importants de regarder à nouveau, ou pour les nouveaux abonnés.

Alors, qu’est-ce qu’il m’arrive ?

En fait, j’ai été terriblement malade. Oui, oui, les Urmahs m’ont nettoyée astralement de mon horrible diabète de type 1. Mais juste après, et je veux dire immédiatement après, j’ai commencé à souffrir d’une maladie après l’autre. Des maladies plus « normales ».

D’abord, j’ai attrapé une infection pulmonaire après avoir eu le malheur de respirer des spores. Et Tina (Athéna), Dhor Kàal’el et la petite Yazhi sont aussi tombés terriblement malades avec ces spores.

Ensuite j’ai eu une grippe très grave, qui est encore un peu douteuse, parce que ses symptômes se confondent avec ceux de l’infection pulmonaire. Mais je sais que cette grippe est réelle parce qu’elle affecte encore plusieurs membres de l’équipage ici. Une grippe qui a été importée par les gars (Hashmallim)* qui descendent sur Terre pour aller chercher des provisions.

Entre l’infection pulmonaire et la possible grippe, j’ai eu beaucoup de fièvre et un état de mal-être très fort, qui durent depuis plus d’un mois, y compris une toux horrible. Et puis, simultanément, j’ai aussi attrapé une sorte d’infection de l’estomac sévère, que je n’ai pas encore surmontée.

Maintenant je vais un peu mieux au niveau de la toux, mais il y a quelques jours elle me paralysait. Il m’est impossible de me concentrer pour écrire si je tousse et si je suis tout le temps secouée. Avec une toux comme celle-ci, il est également presque impossible d’avoir de bonnes pensées à partager, de relier des points avec des résultats intéressants, ou d’avoir des réflexions philosophiques profondes à partager.

Avec mes problèmes de diabète, je pouvais encore écrire avec des tuyaux d’intraveineuses qui pendaient à mon bras. Mais avec une toux débilitante et de la fièvre, il m’est impossible d’écrire quoi que ce soit qui ait un contenu significatif.

Donc même si écrire est une activité que j’apprécie, le faire dans ces conditions est presque devenu une torture.

Autant de maladies qui m’attaquent l’une après l’autre, et parfois même en se superposant, c’est loin d’être normal. Je veux dire, n’importe qui peut s’en rendre compte.

On dirait que quelqu’un veut que je sois hors de combat pour toujours, car pour moi c’est une sorte d’attaque spirituelle éthérique, qui inclut de la sorcellerie. Je tiens à souligner que ce déluge de maladies, dont certaines affectent également d’autres membres de l’équipage à un degré ou à un autre, n’est pas normale. Il s’agit d’une attaque systématique et bien organisée contre mon groupe et moi-même.

Certains de mes amis ici m’ont conseillé de ne pas partager tout cela publiquement, à cause du principe qui dit : « Ne laisse jamais tes ennemis te voir saigner ». Cependant, comme ce genre d’attaques spirituelles ne nous arrivent pas seulement ici, mais aussi à vous tous en bas, je vois cela comme une opportunité de vous donner un exemple de ce type d’attaques, que je détaillerai plus en profondeur dans une prochaine vidéo sur le sujet.

Ici, les choses sont comme suit : Tina (Athena) semble avoir presque surmonté son infection pulmonaire, mais elle souffre maintenant de la même infection de l’estomac qui afflige beaucoup d’entre nous ici.

La petite Yazhi se sent un peu mieux, mais elle a encore une horrible toux. Sénètre, la médecin de ce vaisseau, affirme que ses poumons sont toujours infectés par le champignon, ce qui fait qu’elle n’est pas encore hors de danger. Yazhi doit encore recevoir une assistance en oxygène supplémentaire la plupart du temps, car elle a beaucoup de difficultés à respirer. Elle a perdu beaucoup de poids et elle se sent très faible. Elle passe la plupart du temps à l’infirmerie ou dans sa chambre, recroquevillée dans son lit. Elle n’a pas d’énergie pour quoique ce soit d’autre. L’autre jour, je l’ai vue jouer un peu, mais ensuite elle a fini épuisée. Elle n’a jamais été aussi malade de sa vie.

Dhor Kàal’el est aussi très malade, avec les mêmes multiples choses dont je souffre. Quand il est sur le point de surmonter une affliction, une nouvelle apparaît, comme dans mon cas. Et il refuse d’être traité pour surmonter la maladie. C’est son choix, mais cette attitude fait que tout dure plus longtemps que ça ne devrait durer.

Quant à moi, je me remets enfin de mon horrible toux paralysante, et je dis ça sérieusement. Avant, je toussais tout le temps, même la nuit, si bien que je ne pouvais pas dormir et que ça me faisait très mal. Mais maintenant, j’ai une forte infection de l’estomac, qui me donne de fortes douleurs abdominales que je dois supporter, et j’en ai d’ailleurs maintenant pendant que j’écris ces mots. Et je ne peux pas monter un escalier sans être essoufflée. Mais je continue d’espérer que je serai en bien meilleure santé après avoir traversé cette dernière maladie.

Je suis sûre que beaucoup d’entre vous ont remarqué la même chose que moi. À savoir que la médecine de Taygeta n’est pas efficace et ne semble pas très avancée pour faire face à ce type de problèmes, malgré les efforts des trois docteurs de ce vaisseau. Mais comme elles le disent elles-mêmes, nous n’avons pas d’anticorps contre ces maladies qui sont importées de la Terre, et c’est la raison pour laquelle nous avons tant de problèmes.

Je vais vraiment demander de l’aide aux Urmahs cette fois-ci, pour savoir ce qu’il se passe ici et qui nous fait ça.

Comme message final sur le sujet des maladies, je veux signaler que quoi qu’ils nous projettent dessus à partir de maintenant et à l’avenir, quelle que soit la maladie, quelle que soit l’attaque, envers n’importe quel membre de notre équipage, je rends la Fédération Galactique directement et incontestablement responsable.

Et que toute attaque future est le reflet de leur propre lâcheté, car ils n’ont pas le courage de venir ouvertement ou directement nous attaquer, parce qu’ils savent parfaitement que contre la flotte taygétienne et la flotte urmah, ils ne sont pas dignes d’être nos adversaires.

Et je précise aussi que par rapport à ce que j’ai dit plus tôt sur la grippe, je ne valide en aucune façon l’existence des virus tels qu’ils sont décrits sur Terre.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui veulent en savoir plus à ce sujet, notamment sur les exosomes et leur fonctionnement réel, je vous conseille cet article que j’avais rédigé à partir des informations taygétiennes : Le virus du covid 19 n’existe pas. Rappels et mises au point necessaires sur cette fausse pandémie – Eloïse Alcyona – Fin de la note)*.

Enfin, dans cette vidéo je tiens à tous vous remercier pour votre patience. J’aborderai de nouveaux sujets dès que je me sentirai mieux.

Et je veux aussi remercier tous ceux qui ont fait des dons à cette chaîne, et spécialement ceux d’entre vous qui l’ont fait à plusieurs reprises, car vous êtes littéralement les parrains de ma chaîne. Merci beaucoup ! Vous soutenez non seulement ma chaîne, mais aussi toutes les personnes sur ce vaisseau qui dépendent de mon travail.

Et plus particulièrement, vos dons sont mon moyen de subsistance, en plus de me permettre de continuer mon travail avec ma chaîne YouTube, d’autant plus que cette chaîne subit un « Shadow Ban » ou une mise à l’ombre de la part de YouTube. Le nombre d’abonnés grandit à peine et le nombre de vues sur mes vidéos est toujours le même qu’il y a plus d’un an. Ce qui fait que les gains obtenus grâce à la chaîne sont également limités.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui veulent aider Mari et l’équipe du Sadicléya en leur faisant un don, voici le lien : cliquez ici – Fin de la note)*.

Dès que possible, je reviendrai avec des informations intéressantes. Et avec un peu de chance, ce sera dès les prochaines vidéos. Merci encore, je vous aime tous !

C’est tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Les Urmahs m'ont guérie, Parties 1, 2, 3 - Expérience de cérémonie complète

Auteur : Mari Swa
Publié le 11 novembre 2024

 
Les Urmahs m'ont guérie

Cliquez sur une des images miniatures ci-dessous pour l’agrandir

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’ai écrit ceci en fin de matinée et dans l’après-midi du 15 octobre 2024, et je l’ai révisé pour le publier sur YouTube le matin du 1er novembre 2024.

J’ai décidé de ne pas inclure d’images dans cette vidéo, car il n’y a rien que je puisse partager qui puisse ressembler, même vaguement, à ce que j’ai vu. J’ai donc décidé de faire confiance en mon pouvoir d’écriture descriptive, car il est préférable que mon public utilise son imagination, qui lui apportera des représentations beaucoup plus précises que n’importe quelle image que je pourrais ajouter à cette vidéo, qui ne ferait qu’agir au détriment de mon texte soigneusement rédigé et à mes meilleurs efforts de description.

Le fond visuel utilisé pendant que je parle, est donc de la pure décoration et c’est le plus approprié que j’ai trouvé. Les Urmahs sont une espèce incroyablement impressionnante et époustouflante. Aucune image stupide, ennuyeuse et peu convaincante de l’Intelligence Artificielle ne peut leur rendre justice.

Comme la majorité d’entre vous le savent, ma santé s’est détériorée dernièrement. Elle ne s’est pas améliorée et elle est peut-être même en train d’empirer, car j’ai aussi d’autres problèmes qui peuvent ou non être liés à mon diabète de type 1 diagnostiqué, que Sénètre, la chirurgienne de ce vaisseau, est en train de traiter avec un caisson médical sec.

Il semble que mon diabète et mes autres problèmes ont une forte composante éthérique, c’est-à-dire que cela vient du côté des esprits, comme une attaque astrale élaborée. Je dis cela en sachant qu’au final, toutes les maladies proviennent du côté astral des choses, ou y sont générées. Mais ces maladies que je traverse commencent à ressembler beaucoup plus à une attaque astrale générée depuis l’extérieur. Et je me sens généralement très faible et constamment fatiguée.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Lorsque Mari dit que toutes les maladies sont générées dans l’astral, elle veut dire par là que, dans l’univers, tout n’étant fait que d’idées, de pensées, de ressentis, de croyances, et donc de fréquences (qui se matérialisent pour créer le monde physique qui nous entoure), au final tout est éthérique, énergétique… et c’est ce que Mari appelle ici « astral ». Et donc c’est aussi de là que viennent les maladies, c’est-à-dire des idées, des pensées, des ressentis, des émotions, des croyances limitantes, etc. Comme le stipule d’ailleurs le décodage biologique des maladies…

Et lorsqu’une maladie ne provient pas seulement de nos idées, émotions, etc, mais aussi d’attaques d’entités sombres du bas astral, cela ne signifie pas pour autant que dans ce cas nous n’avons aucune responsabilité et que c’est juste quelque chose que nous subissons sans aucune cause intérieure. Car les démons extérieurs ne sont que le reflet de nos démons intérieurs, c’est-à-dire de ce que nous n’avons pas soigné en nous : blessures, traumatismes, etc. Donc une entité sombre va toujours nous attaquer sur une faille déjà présente et causée à l’origine par nous-mêmes, bien souvent non conscientisée, donc non mise en lumière (émotions refoulées, traumatismes non guéris, croyances limitantes, pensées destructrices, etc.).

C’est pour cela que l’on dit que l’ombre fait grandir la lumière, car ces attaques dites « extérieures », ne font que mettre le doigt sur nos failles et nous donne donc l’occasion de les mettre en lumière (donc d’intégrer cette ombre pour la transmuter en lumière) pour les guérir. Et c’est exactement ce qu’a fait Mari, comme vous le découvrirez par la suite…

L’être humain ayant très facilement tendance à tomber dans le déterminisme (croyance que tout vient de l’extérieur, qui pousse à la victimisation, à la résignation et à la passivité. Alors qu’en réalité, tout est intérieur. Et l’extérieur n’est que la manifestation physique de notre intérieur : pensées, ressentis, etc.), ainsi que dans la dualité (c’est soit une origine, soit une autre. Comme par exemple le fait de penser : « la maladie est soit d’origine intérieure soit d’origine extérieure ». Ou : « la maladie est causée soit par quelque chose de matériel, soit par une émotion ». Et cette pensée dualiste fait que la personne est incapable de penser de manière holistique et d’envisager que « c’est les 2 à la fois »), il me semblait donc important d’apporter cet éclairage.

Et donc, quand Mari dit que sa maladie est « causée beaucoup plus par une attaque astrale venant de l’extérieur », ça ne veut pas dire pour autant qu’elle nie la faille en elle (traumatismes non guéris) qui l’a rendue compatible avec ces attaques. Vous verrez d’ailleurs dans ce qui va suivre que c’est en guérissant de cette faille, qu’elle guérira à la fois de sa maladie et de ces attaques.

Et je précise que ce sont les attaques à cet endroit précis qui disparaîtront, avec le comblement de la faille correspondante. Ce ne sont malheureusement pas les attaques en général qui disparaîtront, comme vous le verrez dans les prochaines traductions – Fin de la note]*.

Tôt ce matin du 15 octobre, au moment où je démarrais ma journée, j’ai reçu un appel depuis le pont de ce vaisseau Sadicléya. C’était le roi Urmah Ruhr, qui voulait me parler.

Il m’a dit que comme il était très conscient des problèmes de santé que j’étais en train de traverser, et sachant qu’ils avaient très probablement une genèse astrale, il m’invitait à une procédure de guérison urmah, à bord de son vaisseau spatial, l’Avyon 1.

Il m’a assuré que cela ne me ferait aucun mal, car ce n’était pas une procédure médicale traditionnelle et que, « au pire », je me sentirais beaucoup mieux après. Mais l’Urmah avait l’intention de me nettoyer complètement et de me libérer de tout attachement astral qui pourrait me nuire. Et qu’il fallait que je sois là-bas avec eux, en leur compagnie réelle, donc sans utiliser de dispositif technologique comme celui de la présence à distance.

Comme les Urmahs sont les plus proches alliés des Taygétiens, j’ai accepté, même si je savais que c’était extrêmement impressionnant d’être avec eux. Ruhr a dit qu’il enverrait une navette me chercher, avec Arishah à son bord, mon ami tigre bien connu, qui me guiderait.

Alors j’en ai informé mon équipage et mes amis taygétiens, puis je suis allée dans ma chambre et je me suis préparée pour mon court voyage à bord du vaisseau urmah. J’ai mis une robe blanche simple, lisse, de longueur moyenne, avec des chaussures de petite fille à talons bas, ma cape violette et mon petit diadème.

Peu après, une grande navette urmah, de couleur noir piano et or, s’est approchée du Sadicléya et a demandé la permission d’atterrir dans le hangar principal. À ce moment-là, j’étais déjà dans le hangar avec mes quatre gardes Shinonim et Hashmallim (Forces Spéciales taygétiennes féminines et masculines)*, qui portaient tous leurs équipements et leurs uniformes de gala, avec leurs armures, leurs capes et tout.

Les portes du hangar se sont ouvertes et l’énorme navette urmah, noire et dorée, est entrée en volant et a tourné avec ses moteurs qui grinçaient et sifflaient. Elle a rapidement laissé tomber son train d’atterrissage pendant qu’elle descendait vers le pont, puis elle a ouvert sa rampe avant. Ari et deux gardes lions sont descendus, portant également tout leur équipement félin de gala, suivant un protocole strict.

J’ai marché jusqu’à Ari, je l’ai salué et lui ai fait un gros câlin. J’avais l’impression de prendre dans mes bras un énorme pilier chaud recouvert d’un tapis rayé de couleur tigre, tandis que ses deux énormes gardes attendaient quelques pas en arrière. Ensuite, Ari m’a demandé de le suivre.

Mais alors que je marchais avec lui vers sa navette, il s’est soudainement retourné pour regarder mes quatre gardes, il a levé son énorme patte et a dit : « Non ». Puis il a dit avec sa voix profonde, qui sonnait comme un tonnerre : « Ce soin est seulement pour Mari et elle doit venir seule, vous ne pouvez pas la suivre ».

Mes gardes ont commencé à expliquer qu’ils ne pouvaient pas laisser leur reine seule et que cela irait extrêmement à l’encontre du protocole. La reine ne doit jamais être seule. Ari a répondu avec un profond grognement : « Cette fois-ci non, vous ne pouvez pas nous suivre. Vous devez nous faire confiance, vous nous connaissez et vous savez que nous ne pourrions pas être plus loyaux. Vous devez la laisser aller seule avec nous ou bien il se pourrait qu’elle ne survive pas à ce qui l’afflige ».

Je me suis retournée et j’ai calmement ordonné à mes gardes de reculer, en leur disant que ça irait pour moi. Mes quatre gardes ont appuyé les crosses de leurs fusils d’assaut automatiques sur le sol, tandis qu’Ari me demandait de lui prendre la main. Mais sa main était si grande que la seule chose que je pouvais prendre d’elle était l’un de ses doigts rayés. Je me sentais très petite à côté d’Ari, qui mesure plus de 3m de hauteur.

Nous sommes entrés dans l’énorme navette, qui était très sombre à l’intérieur et lorsqu’Ari m’a assise sur un siège, j’ai eu l’impression d’avoir trois ans et d’être assise dans la voiture de ma mère sans le siège-auto pour bébé. D’autant plus que mes pieds étaient loin de toucher le sol. J’ai aussi trouvé cela assez inconfortable car il y avait un grand trou dans le dossier du siège, conçu pour qu’un gros « chat » puisse y glisser sa queue, et j’avais l’impression que j’allais passer à travers.

Je ne peux nier qu’à ce moment-là j’ai commencé à avoir peur, surtout quand la navette a décollé et qu’elle est sortie du Sadicléya. J’ai regardé par la grande fenêtre de la navette urmah et j’ai vu mon vaisseau blanc, le Sadicléya, et ses deux destroyers escorteurs devenant de plus en plus petits, semblant si insignifiants. Jusqu’à ce que je ne voie plus que leurs lumières stroboscopiques briller par intermittence dans l’obscurité de l’espace.

Moins de 10 minutes plus tard, le majestueux vaisseau amiral urmah Avyon 1 est apparu devant nous et a grossi au fur et à mesure que nous approchions. Et plus nous nous approchions du vaisseau, plus tout ce que je pouvais voir était un immense mur de titane polymorphe argenté et gris, qui s’étendait indéfiniment dans toutes les directions.

Les énormes portes du hangar bleuté se sont ouvertes et notre navette noire est entrée en volant. Dès qu’elle a atterri, je suis descendue de l’énorme siège, j’ai sauté sur le sol et j’ai marché avec Ari sur la rampe en tenant son petit doigt.

C’était la première fois que j’étais à bord d’un vaisseau urmah et ce, sans passer par la technologie de présence à distance. Même l’air était différent, il était comme plus lourd à respirer et il sentait le chat. Les chats ne sentent pas, c’est une odeur difficile à décrire, c’est simplement quelque chose qui t’indique qu’il y a des chats autour de toi.

Tandis que nous marchions, j’ai vu le roi Ruhr, le lion blanc, qui m’attendait en personne à seulement quelques mètres de distance. Il avait lui aussi deux lions inconnus de chaque côté, et un énorme tigre blanc vêtu d’une armure argentée et d’une tunique blanche avec des bords dorés.

Cet énorme tigre blanc était incroyablement impressionnant, car c’est l’Urmah le plus gros, le plus grand et le plus intimidant que j’avais jamais vu. Il semblait mûr, aventurier et expérimenté. Il s’élevait au-dessus de moi, mesurant presque 3 mètres et demi de hauteur et incroyablement musclé. Je n’arrivais même pas à le regarder dans les yeux à cause de son expression faciale puissante. D’autant plus qu’il avait un œil jaune et l’autre bleu ciel, ce qui le rendait encore plus impressionnant.

Ce n’est que quelques jours après mon expérience avec les Urmahs, que j’ai su qu’il s’agissait du très craint, respecté et légendaire général urmah Korkas, ministre de la défense du roi Ruhr et chef de ses forces armées.

Il suffit de regarder ces énormes « chats » pour que tes genoux se mettent à trembler et à se dérober sous toi, même en sachant qu’ils sont amicaux. Ce n’est pas étonnant que personne ne veuille se frotter à eux.

J’ai regardé autour de moi et tout était incroyablement grand. Les mots ne suffisent pas. Et tout était si élaboré, si ornementé. Il y avait des représentations félines gravées partout. Même les simples escaliers en métal dans le hangar avaient des lignes de pattes et des visages de chat. Et tout était décoré avec des rayures de tigre ou des taches de léopard. Sur les côtés, les murs avaient une bande de métal en leur centre, avec des empreintes de pattes gravées, des crânes de félins et des rayures de tigre. Et tout était incroyablement grand.

Je ne peux nier que j’ai commencé à trembler de peur et à sentir beaucoup de froid, même si tous leurs visages étaient très gentils et affectueux. Je me sentais incroyablement vulnérable et petite à côté d’eux.

Je les ai accompagnés jusqu’à un ascenseur, qui a commencé à nous emmener vers les entrailles d’un des vaisseaux urmahs les plus puissants jamais construits, leur vaisseau amiral.

L’ascenseur était noir avec des bords dorés ornementés, et quand il s’est arrêté, nous avons marché dans un couloir qui m’a encore une fois impressionnée par son échelle incroyablement grande. Et avec des ornements partout. Même les lumières sur ses parois de chaque côté, imitaient des torches avec du feu.

Le couloir avait des murs arrondis avec, de chaque côté, des piliers dorés courbés, ce qui me donnait l’impression de marcher dans une cage thoracique. Mais je sentais que tout l’endroit était construit à leur échelle, pas à la mienne, alors je m’y suis sentie incroyablement petite. Et je me répète, mais à ce moment-là j’avais déjà très peur et je voulais partir en courant… mais pour aller où ?

Le couloir s’ouvrait sur un très grand vestibule, sombre et ovale, avec quelques marches allant vers le bas. Ses nombreux piliers avaient la forme de chats allongés (étirés)*, avec des pattes félines sur la partie inférieure et leurs têtes en haut, qui s’arquaient tandis que le toit se courbait. Et ils étaient en or, sur fond de velours noir qui recouvrait les murs.

Au fond de ce grand salon, il y avait une gigantesque statue d’acier foncé représentant un roi urmah assis sur son trône. La statue à elle seule devait avoir plus de 12 mètres de hauteur et elle était très impressionnante, surtout dans cette couleur uniforme de métal sombre.

Et là, Ari et Ruhr se sont retournés et m’ont dit de me détendre et de ne pas avoir peur, avec de belles voix félines et profondes. Je suis restée là pendant quelques instants et soudain le sol s’est ouvert devant moi et un grand monolithe en pierre noire a commencé à émerger du sol, avec un bruit comme si quelqu’un faisait glisser une grande pierre à travers du métal.

Deux tigres femelles sont sorties de derrière le velours noir entre les piliers de félins étirés, avec un tapis violet et deux coussins mauves, qu’elles ont placés avec soin sur la roche monolithique rectangulaire, puis elles se sont éloignées en marchant de dos.

On m’a ensuite demandé de me coucher sur le monolithe, ce que j’ai fait, tout en tremblant de peur intense, me disant que je n’aurais jamais dû accepter tout cela et que cela pourrait être ma fin.

Je me suis couchée sur le monolithe, sur le dos, avec la tête sur les coussins, quand le roi Ruhr d’un côté et Ari de l’autre, se sont approchés de moi, m’ont touché la tête et m’ont dit calmement que je ne devais pas m’inquiéter, que j’étais parfaitement en sécurité avec eux et que, d’ailleurs, je n’avais jamais été autant en sécurité, qu’importe ce que cela signifie.

« Ne crains rien » a dit Ruhr, « et profite simplement du voyage » a-t-il ajouté.

Les deux grands félins se sont éloignés d’environ un mètre et en même temps, entre les piliers de longs chats dorés, d’autres lions et d’autres tigres vêtus d’armures de gala et de masques de guerre dorés, ont marché jusqu’à moi, en alternant un tigre puis un lion, et ainsi de suite.

Ils m’ont entourée en formant un cercle autour du monolithe, tandis qu’un autre groupe de lions et de tigres entrait dans la pièce, en passant également entre les piliers de longs chats. Ils portaient de grands tambours de guerre, qu’ils ont commencé à frapper et frapper avec une force impressionnante, tandis que les lumières s’atténuaient jusqu’à l’obscurité totale.

J’étais là, tremblante, ne pouvant rien voir, quand j’ai entendu les puissants tambours de guerre s’arrêter brusquement d’un coup. Alors, une lumière dorée a commencé à inonder la pièce depuis le monolithe. La lumière dorée provenait du monolithe en dessous de moi. Et j’ai pu voir que j’étais entourée d’au moins 30 immenses lions et tigres urmahs mâles, qui me regardaient tous.

Le cercle le plus proche a fait un pas vers moi et ils ont tous étendu leurs immenses pattes sur moi. Je pouvais sentir leur message télépathique impressionnant, qui disait que je ne devais pas m’inquiéter, que je devais me débarrasser de toute ma peur et leur faire confiance. C’était difficile à faire parce que je me sentais comme une petite créature infiniment fragile, entourée d’innombrables prédateurs Alpha, et qui sait à quel endroit dans les entrailles de leur vaisseau spatial.

Ensuite, tous les Urmahs qui étaient le plus près de moi, ont sorti un sceptre. Ils en avaient tous un identique. Il était long, en or massif et avait également la forme d’un chat allongé, avec quatre pattes sur la partie inférieure et une tête de lion rugissant sur la partie supérieure.

Ils me les ont présentés, ou plutôt ils m’ont présentée moi aux sceptres, comme s’ils voulaient que les lions sur le haut des sceptres me regardent… et puis ils les ont éloignés de moi et ils se sont tous mis à frapper le sol avec ces sceptres, pendant qu’ils commençaient à chanter quelque chose en langue ancienne urmah, avec leurs voix profondes de tonnerre.

Ils frappaient le sceptre sur le sol, ils le retournaient, ils le frappaient de nouveau sur le sol, puis ils le retournaient à nouveau, etc. C’est là que j’ai remarqué qu’il y avait derrière la tête du lion du sceptre, la face d’un crâne de lion.

Ils ont continué à chanter et à fredonner avec leurs voix profondes dans la langue urmah. Alors que les tambours commençaient à sonner de nouveau avec un beau, mais intimidant et profond rythme de guerre, ils ont continué à frapper les sceptres sur le sol et à les tourner à chaque fois, de sorte que, une fois le lion rugissant vivant se trouvait face à moi, et la fois suivante c’était le crâne de lion qui était face à moi. Cela représentait la dualité de la vie et de la mort, je suppose.

Alors la lumière dorée s’est un peu atténuée et les tambours ont cessé. Toute la pièce a commencé à se remplir d’une brume blanche et je ne savais pas d’où elle venait.

Ruhr, le roi Urmah, a commencé à rugir de toutes ses forces, et il a été immédiatement suivi par tous les autres lions et tigres dans la salle. Ils ont tous rugit de toutes leurs forces, formant un son de puissance féline ultra impressionnant et intimidant.

Ça a résonné avec de l’écho dans la grande pièce ovale. Alors, le roi Ruhr a rugi puissamment trois fois consécutives et tous les autres se sont arrêtés et le silence est revenu dans la pièce.

Et puis j’ai commencé à ressentir une vibration apaisante, très agréable, et je pensais que c’étaient des fréquences curatives provenant du type de machine monolithique sur laquelle j’étais allongée. Mais je me trompais.

J’ai soudain réalisé que la vibration super agréable qui m’entourait, venait des « chats » Urmahs eux-mêmes, et pas d’une machine. Ils ronronnaient tous, ou ils fredonnaient si profondément que cela ressemblait à un ronronnement, et d’ailleurs je ne sais pas s’il y a une quelconque différence.

C’était un énorme ronronnement collectif urmah qui m’embrassait. Et tout à coup, je me suis sentie envahie, complètement submergée par toutes sortes d’émotions et j’ai commencé à pleurer et pleurer et pleurer, avec les yeux remplis de larmes, comme cela ne m’était pas arrivé depuis des années.

J’ai fermé les yeux en sentant que la vibration me nettoyait émotionnellement… Et puis quand je les ai rouverts, ou en tous cas je pensais les rouvrir, j’étais seule et me tenais debout, pieds nus, sur un sol blanc et froid sans détails.

J’étais seule et dans un silence total. Un silence si profond qu’il m’a fait remettre en question ma propre existence, étant donné qu’il était absolu et contre nature. J’ai senti que j’étais là, immobile au milieu du néant. J’ai regardé autour de moi et je ne pouvais rien voir car tout ce qu’il y avait était du blanc, qui m’entourait. Tout était d’un blanc solide.

Je me suis retournée plusieurs fois, essayant de déchiffrer où j’étais. Et c’est là que j’ai remarqué que mes cheveux et ma robe se comportaient comme sous l’eau, comme en gravité zéro, car ils suivaient mes mouvements avec fluidité, presque au ralenti.

J’ai regardé autour de moi pour essayer de nouveau de voir où j’étais, cette fois avec un peu de peur, mais je ne voyais toujours rien. J’étais dans un endroit comme nul autre, si on pouvait appeler ça un endroit. La seule chose que je pouvais voir qui ne faisait pas partie de moi, c’était le sol et seulement celui qui entourait directement mes pieds nus, rien d’autre. Et cela ressemblait à de la glace opaque inégale. Et puis je me suis demandée où étaient passées mes chaussures.

Avant que je commence à m’inquiéter de mon étrange emplacement, j’ai remarqué au loin une pâle lumière bleu électrique, qui devenait progressivement de plus en plus forte. Ce petit point de lumière diffuse allait en grandissant, et c’était la seule chose qui n’était pas moi ni la petite portion du sol autour de mes pieds nus.

Toute mon attention était concentrée sur cette lumière, qui s’intensifiait de plus en plus, et qui était aussi en mouvement. J’ai alors commencé à voir une figure bleue, lumineuse et déformée, qui se déplaçait vers moi, mais je n’éprouvais pas de peur, même si je ne pouvais pas distinguer sa forme réelle. Elle était déformée comme par un mirage dans un brouillard épais et toute la lumière du lieu où je me trouvais, semblait maintenant provenir de cette créature. Tandis que la blancheur totale devenait noire absolue, à l’exception de la figure de lumière bleue.

J’ai alors eu l’impression de flotter dans les airs. Je ne pouvais plus sentir le sol sous moi. J’ai regardé en bas et tout ce que je pouvais voir, c’était mes pieds illuminés par l’étrange figure bleu électrique. Et puis soudainement, la créature est arrivée là où je me trouvais. C’était un immense lion bleu lumineux et sa crinière était faite de flammes bleues.

Il avait des yeux blancs pénétrants et se déplaçait avec beaucoup d’agilité et de grâce, comme s’il était sous l’eau. Je suis restée là, à flotter, complètement paralysée, mais je ne pouvais pas déterminer si j’avais peur ou non. Il s’est déplacé autour de moi plusieurs fois, inspectant clairement qui et ce que j’étais.

Je ne me suis jamais sentie aussi observée de toute mon existence, car toute l’attention de la créature était dirigée sur moi. Elle a continué à inspecter chaque partie de moi avec ses yeux blancs pénétrants, depuis mes doigts d’orteils et de mains jusqu’à mes cheveux, et avec la plus grande attention angoissante.

Puis la créature s’est placée en face à face avec moi. Elle a pris ma petite tête entre ses énormes griffes lumineuses et elle s’est rapprochée de moi en silence, me regardant directement et à très courte distance. Son expression était calme et aimante, extrêmement rassurante. Cependant, j’ai commencé à trembler et à pleurer de nouveau violemment.

J’ai senti son message qui était que je devais pleurer autant que je le voulais, car tout ce que je faisais était de nettoyer les émotions refoulées qui me faisaient du mal. Il m’a parlé par télépathie, mais ici je dois utiliser des mots. Il a dit :

« Intéressant, très intéressant de voir une âme féline urmah vivant dans un fragile et minuscule corps féminin lyrien, rempli de problèmes. Que fais-tu là-dedans ? Tigresse ! Il paraît certain que tu voulais te lancer un défi d’incarnation, mais tu n’avais pas besoin de le rendre si difficile. Tu as été amenée ici, car tu fais partie de la famille et nous, nous prenons soin des nôtres, même au niveau spirituel. Tu restes et seras toujours une Urmah, et tu finiras par revenir à nous sous ta forme authentique, une fois que tu auras accompli ta mission de vie compliquée ».

Puis j’ai clairement ressenti le message mental suivant. Il m’a dit que j’irai parfaitement bien, que ce n’était pas encore le moment pour moi de demeurer dans le monde des esprits et que je serai une reine prospère, car je régnerai sur Taygeta aussi longtemps que je vivrai et jusqu’à ce que je meure en étant grand-mère.

Ensuite, il a continué à m’inspecter et m’a dit : « Il semble que tu as un fort attachement éthérique à l’idée que tu as perdu ta vie sur la Terre, que tout ce que tu aurais pu vivre là-bas a été tronqué, donc tu abrites en toi beaucoup de tristesse refoulée et même de colère.

Ton attachement à la vie que tu n’as jamais pu avoir sur Terre, fait que les problèmes que tu as expérimentés dans les lignes de temps où tu as réussi à vivre plus longtemps sur Terre, passent à travers ces lignes de temps et arrivent jusqu’à ta vie actuelle ici… En d’autres termes, sache que tes maux ne sont pas les tiens, ils appartiennent à d’autres versions de toi qui ne sont pas toi, et à des événements et des situations que tu n’as pas vécus, et que tu n’es pas destinée à vivre ».

Le lion bleu a continué : « Tu devrais t’éloigner de l’idée que ta vie sur Terre aurait été meilleure, plus paisible et plus facile que la vie que tu as aujourd’hui, car ta mission n’a jamais été d’être sur Terre pour longtemps. Ta mission a toujours été destinée à être menée en dehors de cette planète.

Tu es aussi pleine de ressentiment, parce que tu as perdu ta mère et que tu te sens profondément coupable. Mais les choses se sont passées ainsi pour une raison et elles n’auraient pas pu se passer autrement.

Tu dois t’éloigner de toutes ces pensées et attachements, maintenant que je viens de couper tous tes attachements à des choses nuisibles et à des événements qui viennent d’autres lignes de temps ».

Le lion bleu a continué télépathiquement : « Ce qu’il s’est passé dans d’autres lignes de temps ne te concerne pas. Ne prend pas la charge de poids qui ne t’appartiennent pas ».

Et là je l’ai reconnu. Il était le même lion que la gigantesque sculpture en métal sombre au centre de la salle ovale urmah dans laquelle je me trouvais. Tout du moins si je m’y trouvais encore, car je ne pouvais rien voir d’autre que le magnifique lion de lumière bleue, avec sa crinière de flammes. Ce doit être l’esprit d’un ancien roi urmah.

« Qui est ce lion bleu éthérique ? » me demandais-je en continuant à pleurer. Et j’ai aussi commencé à réaliser qu’après tout, le chat cosmique était une entité réelle.

Et je ne peux pas m’arrêter de pleurer et pleurer pendant que j’écris ces mots.

Puis j’ai brièvement fermé les yeux en pleurant, et quand je les ai rouverts, le lion bleu avec sa crinière enflammée était parti, je ne sais pas où, et de nouveau j’étais seule sur le sol, ne pouvant rien voir autour de moi. Rien. J’étais totalement entourée par une lumière blanche brumeuse et j’ai de nouveau remarqué que ma robe bougeait comme si j’étais sous l’eau, mais je pouvais respirer. Et je suis restée là dans le silence complet, tandis que je me tournais et regardais tout autour de moi pour essayer de comprendre où j’étais.

Quand, à quelques mètres de moi, j’ai remarqué un chat domestique jaune, un de ces chats classiques avec des rayures orange. Le chat se reposait allongé sur son ventre, les pattes avant repliées vers l’intérieur et il me regardait directement. J’ai salué le petit chat et il a répondu avec un petit miaulement, ouvrant sa petite bouche rose.

J’ai marché vers le chat jaune et il s’est levé et s’est éloigné un peu de moi, pour que je ne puisse pas le toucher, et il s’est retourné pour me regarder une fois de plus. Je me suis de nouveau dirigée vers lui et il a recommencé à s’éloigner avec sa queue dressée et faisant un crochet, comme font tous les chats. Et puis il s’est retourné pour voir si je le suivais.

Okay, j’ai compris, il voulait que je le suive et c’est ce que j’ai fait. J’ai commencé à marcher avec le chat à environ deux ou trois mètres derrière lui et la lumière blanche a commencé à s’éclaircir lentement, et tout à coup j’ai pu commencer à voir où je me trouvais à nouveau.

Le brouillard s’est dissipé pour révéler que j’étais une fois de plus couchée sur un lit médical dans la salle de réveil du Sadicléya, observant la chambre blanche de l’infirmerie, simple et ennuyeuse, en forme de boîte, et avec ses bouches d’aération rectangulaires, si différentes de celles des Urmahs.

J’ai entendu un bip électronique et j’ai réalisé que j’étais de retour sur mon vaisseau, et que ce son alertait tout le monde que je m’étais réveillée.

Je ne sais pas vraiment ce qu’il s’est passé, ni ce que je dois retirer de tout ça, car je n’ai pas reparlé aux Urmahs depuis cet événement, mais cela s’est simplement produit.

Je suis profondément bouleversée et je ne peux pas m’arrêter de pleurer. J’ai le sentiment que cela a changé ma vie, alors même que je pensais bien connaître l’astral.

Je ne sais pas qui ou quoi est-ce lion bleu en flammes, mais il semblerait que je me sois retrouvée en face à face avec le chat cosmique. Je ne sais pas.

Je me sens épuisée et sans énergie, surtout émotionnellement. Je ne sais pas vraiment ce que j’ai vécu. Tant de questions, si peu de réponses. Tout ce qu’ils m’ont dit c’est que les Urmahs avaient rendu mon corps inconscient à l’équipage du Sadicléya après que, ce que je ne sais pas comment nommer, se soit achevé. Et ils ont dit qu’il faudrait me permettre de dormir autant que j’en avais besoin, et que je me réveillerais sans aucun problème.

Conclusions :

22 jours exactement se sont écoulés, et je pense que c’est un temps plus que suffisant pour tirer quelques conclusions.

Cette expérience forte et transformatrice que j’ai eue avec les Urmahs n’est pas pour tout le monde. C’est pourquoi j’ai beaucoup hésité à la publier, au moins jusqu’à ce que l’expérience elle-même ait mûri dans mon esprit et en ma personne.

J’ai dû réfléchir aux conséquences du fait de publier quelque chose comme ça, mais de toutes façons ce n’est pas une chaîne YouTube normale. C’est aussi pourquoi tant de jours se sont écoulés entre le jour de mon expérience, le 15 octobre, et le jour où j’ai publié les vidéos à ce sujet.

Bien que pour les humains sur Terre, ce que m’ont fait les Urmahs était un rituel, je suis en total désaccord avec ce mot, car je considère qu’il est chargé de choses terribles de la Cabale, ou qu’il est au moins relié au fait d’invoquer des choses qui ne sont pas bonnes. Laissons cela de côté. Mais il est vrai qu’il n’y a pas d’autre mot sur Terre pour décrire ce qu’il s’est passé là-bas, je le sais.

Les Urmahs ne sont pas des Lyriens, ce sont des félins, et par conséquent, leur conception de la réalité diffère beaucoup de la nôtre, plus encore de celle des humains de la Terre. Leur gamme de perception de la réalité quotidienne, telle qu’elle est perçue par leurs sens corporels normaux, est beaucoup plus large, ce qui signifie qu’elle inclut des aspects que nous considérons comme appartenant aux royaumes astraux. Mais pour eux, ces aspects sont simplement une réalité tangible et objective, plus que normale.

Cela signifie que la façon dont nous définissons le monde des vivants en tant que Lyriens, diffère beaucoup de la façon dont les Urmahs le décriraient, et que nous n’avons que quelques aspects qui se superposent et pour lesquels nous nous correspondons, y compris en tant qu’espèces différentes.

Depuis notre compréhension et notre point de vue lyriens, les Urmahs sont beaucoup plus spirituels et éthériques, et vivent physiquement au moins partiellement dans ce que nous appelons « le monde des esprits », qui est juste la vie quotidienne pour eux.

Une chose qui les caractérise beaucoup, c’est que tu ne peux quasiment pas leur demander de l’aide, ce sont eux qui doivent venir vers toi, surtout pour ce genre de choses. Je n’ai pas demandé d’aide, j’ai été invitée par eux, peut-être parce que ça leur convenait que je guérisse de ce qui m’affligeait.

Comme ils l’ont dit, je suis censée faire partie de leur famille, parce que je suis une âme urmah dans un corps lyrien, chose que je savais déjà bien avant cet événement. Je suis une graine stellaire urmah dans un corps lyrien taygétien, et cela m’amène à dire quelque chose d’important :

Le phénomène des graines stellaires (starseeds) ne se produit pas seulement sur Terre, car cela fait partie de l’immigration naturelle des âmes, qui ont une expérience après l’autre dans d’innombrables civilisations et races de différentes génétiques à travers tout l’Univers.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : De plus, il faut savoir que les Taygétiens et les Urmahs étant très amis et compatibles en fréquences, chacune de ces 2 races s’incarne très souvent dans l’autre race. Ce qui est d’ailleurs mon cas, car je suis « actuellement » une starseed Urmah et aussi Taygétienne – Fin de la note)*.

Cependant, aujourd’hui je suis Lyrienne et je n’ai aucun problème avec ça, je suis heureuse dans cette peau, sauf pour la collection de maux que j’ai accumulés, mais ça c’est autre chose.

Il semble que les Urmahs m’ont emmenée dans une sorte de pièce d’invocation où ils communiquent avec leurs guides spirituels, ou peu importe comment vous voudrez les appeler. Ils ont réussi à me mettre dans une transe puissante, qu’ils ont provoquée en utilisant leurs sons naturels, c’est-à-dire qu’ils n’ont utilisé aucune sorte de technologie. Ils ont procédé comme ils l’ont fait pendant des milliers d’années, ou peut-être même plus, avec la bonne vieille méthode, de manière naturelle.

Maintenant je crois que ce que j’ai vu durant cette transe, était au moins partiellement mon interprétation de cet être. Par exemple, comme me l’a fait remarquer l’un de mes amis, le lion éthérique était bleu électrique, et il se trouve que c’est ma couleur préférée. Bien que je n’aie pas vraiment une couleur préférée, car cela dépend de quel objet, créature ou autre. Je les aime toutes et elles sont toutes complémentaires dans mon esprit.

Alors l’interprétation que j’ai faite, et même le nom « le chat cosmique », que j’ai utilisé encore et encore, viennent aussi de moi, car j’adore ce concept. Et pour moi, ce que j’ai vu pendant que j’étais dans l’astral, était en effet un chat cosmique, ou LE chat cosmique, bien que les Urmahs n’aient pas un tel concept.

Il semble que cet esprit urmah a ouvert mon inconscient, a tout lu et me l’a exposé. Et ce qu’il m’a fait voir, correspond assez à la façon dont le diabète est interprété sur Terre dans les médecines alternatives, c’est-à-dire qu’il provient d’une forte culpabilité, qui manifeste une incapacité à profiter des bonnes choses de la vie. Comme un fort ressenti de ne pas mériter de profiter pleinement des douceurs de la vie, qui se traduit par l’incapacité du corps à manger des douceurs (aliments sucrés)*, et par bien plus de choses encore.

Dans mon cas, cela venait du fort sentiment de culpabilité que je ressentais d’avoir perdu ma mère et ma vie appréciée sur Terre, parce que je m’en voulais d’avoir mal fait les choses et d’avoir commis une terrible erreur. Et d’ailleurs, sur Terre je profitais de la vie, comme je peux le voir à travers les centaines de photos et d’images que j’ai encore, où je suis toujours à sourire et à rire, avec ma mère qui n’est jamais loin de moi.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Cela correspond totalement à l’interprétation du décodage biologique des maladies de Christian Flèche, qui associe le diabète de type 1 aux croyances limitantes et ressentis émotionnels suivants :

🌀 « L’amour est dangereux, je ne veux pas le faire entrer à l’intérieur de moi. Difficulté à gérer, à vivre, ou à obtenir de la douceur dans ma vie. Le diabétique recherche de la douceur dans ses liens de sang, dans sa famille, et souvent dans toutes ses relations, et en même temps, il en a peur ».

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : Mari ayant perdu sa maman par « sa faute », elle s’est peut-être sentie « dangereuse » car faisant du mal à sa maman, et elle s’est punie en se coupant de l’amour et de la douceur, au point où son pancréas s’est arrêté de produire lui-même de la douceur, c’est-à-dire du sucre, donc de l’insuline.

🌀 « Diabète de l’enfant : Se croire l’enfant perdu de la famille.
Diabète de l’adulte : Je suis coupable d’avoir perdu la relation avec un enfant. »

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : Mari ayant développé ce diabète à mi-chemin entre l’enfance et l’âge adulte, on peut dire qu’elle « entre dans les 2 cases ». Et effectivement, Mari a perdu son unique famille : sa maman (puisque son père semble n’avoir jamais été présent dans sa vie).

Quant à sa culpabilité d’avoir perdu sa relation avec un enfant, ça peut être sa maman, qu’elle a, sans le vouloir, abandonnée dans une autre ligne de temps, comme on abandonnerait un enfant.

Mais aussi, il ne faut pas oublier que dans une ligne de temps parallèle, il existe / a existé une autre Mari Swa, qui s’appelait Méritaten Swaruu (Méritaten étant un prénom purement extraterrestre, dont le diminutif est Mari), qui a vécu sur Terre en Step Down, où elle a été reine d’Égypte, et qui a été la mère de notre chère Sophia Yazhi Swaruu, avant de se faire tuer en Écosse par la tribu de Tuatha Dé Danann (Reptiliens), pendant qu’elle campait dans la nature avec sa fille Sophia, alors âgée de 7 ans. Cette dernière leur a échappé en se cachant dans la forêt, puis elle a quitté la Terre à bord du vaisseau Suzy de sa mère et elle a ensuite voyagé dans le temps jusqu’à notre ligne de temps pour rejoindre l’équipe du vaisseau Toléka en orbite terrestre, en septembre 2019. Je raconte tout ça dans cette vidéo : Bon anniversaire Yazhi & Mari ! – Une partie de l’histoire des Swaruu

Donc dans une ligne de temps parallèle, Mari (Méritaten) a perdu/abandonné un enfant (Sophia Yazhi Swaruu) en se faisant assassiner. Or, Mari prenait peut-être aussi sur ses épaules le poids de ce traumatisme qui ne lui appartenait pas. Comme le lui a dit le Lion bleu, qui lui a expliqué qu’elle prenait aussi les culpabilités de ses autres Soi d’autres lignes de temps.

🌀 « Une étymologie symbolique du mot « diabète » peut être : « dia » = diviser et « beith », en hébreu = la maison. La maison est coupée en deux, je suis exclue affectivement, séparée de la maison (famille). C’est injuste. Je suis à l’extérieur et la douceur est à l’intérieur. Les autres sont restés à la maison et moi je suis dehors. »

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : On retrouve ici le ressenti d’injustice et de colère de Mari d’avoir été séparée, coupée de la Terre, de sa maison et de sa maman. « La douceur, l’amour, est resté à l’intérieur de la maison, et moi je suis coupée de cette maison et de cette douceur » aurait pu exprimer l’inconscient de Mari lorsqu’elle était encore en proie à ce conflit intérieur. Et sa biologie aurait reflété cela en supprimant le sucre (insuline) du sang (famille), comme pour le mettre en dehors, et en devenant incapable de faire rentrer la douceur en elle (manger des aliments sucrés). Et au niveau comportemental, cela s’est traduit chez Mari par une discipline extrême et une tendance à ne pas profiter des douceurs de la vie.

➡️ Ces extraits de décodage du diabète de type 1 sont issus du livre « Encyclopédie des correspondances symptômes-émotions » de Christian Flèche, que vous pouvez commander ici dans cette section : Biodécodage – Lectures conseillées

➡️ Et pour faire une séance avec un thérapeute en décodage biologique afin de guérir d’une maladie ou simplement d’un blocage émotionnel, ce qui peut se faire en une seule séance, du moment que l’événement Programmant est conscientisé et libéré émotionnellement, comme l’a fait ce Lion bleu éthérique avec Mari, allez sur ce lien : Biodecodage – Praticiens – Fin de la note]*.

Au sujet de l’horrible erreur que j’ai commise, pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, en quelques mots : à 13 ans, j’ai été assez stupide pour jouer à l’héroïne et prendre un vaisseau spatial avec lequel j’ai sauté dans le temps de façon irresponsable. Comme je n’avais aucune idée de ce que je faisais, tout ce que je savais faire était d’appuyer sur ces boutons que j’avais vu ma mère actionner auparavant. Et c’est comme ça que je me suis perdue et que je n’ai plus jamais revu ni ma mère, ni mon monde (la Terre dans cette autre ligne de temps)*.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui ne connaissent pas cette histoire, je vous conseille de regarder ces 3 vidéos de Mari Swa, que j’ai traduites et doublées en français. À regarder toutes les 3 et dans l’ordre chronologique, sinon vous ne comprendrez rien :

1) Extraterrestres vivant parmi les humains (partie 01)

2) Extraterrestres vivant parmi les humains (partie 02)

3) Comment Mari Swaruu est arrivée ici – Fin de la note)*.

Cette rencontre avec le guide spirituel urmah, que j’appellerai toujours « le chat cosmique », m’a fait comprendre la genèse de mon problème de santé, car il a exposé en détail ce qui était dans mon inconscient.

Vingt-deux jours après cet événement avec le chat cosmique, mon diabète de type 1 a disparu comme s’il n’avait jamais existé, à tel point que je peux me gaver de chocolat et mon taux de sucre dans le sang revient à la normale deux heures après.

Cependant, je suis pleinement consciente de la façon dont les cellules fonctionnent et de combien le sucre est nocif pour elles. Je suis aussi bien consciente du fait que les cellules se fatiguent simplement de produire des hormones quand on abuse d’elles, l’insuline dans ce cas.

Je suis très reconnaissante envers la chirurgienne de ce vaisseau, Sénètre, et envers Kara et Anna, nos deux autres docteurs, pour avoir essayé de toutes leurs forces de me soigner du mieux qu’elles ont pu. Elles m’ont placée dans des caissons médicaux secs taygétiens et m’ont remplie par voie intraveineuse de cellules souches pour guérir mon pancréas. Et j’ai supporté cette torture durant plusieurs semaines, où elles me piquaient et m’examinaient constamment, en plus de m’injecter en permanence dans les bras du sérum en intraveineuse et d’autres choses.

Mais malgré tous ces efforts et cette torture, elles ne pouvaient pas me guérir, peut-être parce que la composante psychologique et éthérique qui manifestait mon problème était trop forte. Dans ce cas, il fallait effectivement l’intervention des Urmahs.

La technologie médicale, aussi avancée soit-elle, ne pourra jamais guérir quiconque si la véritable cause de la maladie est spirituelle et amène le mental à manifester et remanifester constamment la même chose.

Cela me fait penser que ce serait une bonne idée de faire une vidéo comparant la vision de la médecine depuis le point de vue de l’humain terrestre, le point de vue taygétien, et enfin celui des Urmahs, car ils sont tous assez différents.

Maintenant, je dois dire que les Urmahs m’ont guérie de mon horrible diabète de type 1, mais pas de toutes les autres choses dont je souffre, y compris l’infection pulmonaire causée par les champignons microscopiques, dont je souffre encore, ainsi que d’autres membres de l’équipage qui ont également été gravement touchés, comme Dhor Kàal’el et la petite Yazhi.

Mais nous ne pouvons tout simplement pas demander aux Urmahs de nous guérir de cela aussi, parce que comme je l’ai dit plus haut, c’est eux qui doivent proposer ce genre d’aide. Et dans ce cas, une infection, aussi ennuyeuse et dangereuse soit-elle, est un agent pathogène invasif étranger, donc je suppose que c’est plus physique et plus facile à résoudre avec de la technologie médicale.

Avec les Urmahs, je constate qu’on ne peut jamais ordonner à un chat de faire quoi que ce soit. Le félin doit vouloir coopérer, et cela vaut aussi bien pour les grands félins que pour les petits.

En conclusion, j’aime ce que les Urmahs ont fait pour moi et comment ils m’ont soignée. Je leur en serai éternellement reconnaissante. Ce fut une expérience qui a changé ma vie, déjà du simple fait d’être en leur présence, là-bas avec eux à bord de leur vaisseau.

Leur vaisseau est très différent du nôtre, car il reflète leur culture et leur mentalité, et où nous pouvons voir que pour eux, tout est chat, tout a un rapport avec les félins et tout est toujours centré sur eux, car les Urmahs sont une espèce Alpha extrêmement fière.

Je ne vois rien de mal à cela, je ne les trouve pas égocentriques, étant également extravertis et empathiques avec tout le monde. Ils sont si fiers et affectueux que cela contamine tous les autres qu’ils appellent amis. Je suppose que si tu es un lion ou un tigre de trois mètres de haut et membre d’une race interstellaire dominante, il est facile d’avoir un Ego sain et bien nourri. Cela est compréhensible.

En parlant de la procédure qu’ils ont effectuée sur moi, que je suis encore réticente à l’idée d’appeler « rituel » comme vous pouvez le voir, vous avez dû remarquer qu’elle a été réalisée exclusivement par des lions et des tigres. Car il s’agissait d’une démonstration de pouvoir (pour intimider les entités du bas astral qui attaquaient Mari sur cette faille)* qui requérait la présence des deux plus grandes et fortes espèces félines urmahs.

Les espèces félines urmahs plus petites, comme les panthères et les léopards, entre autres, avaient comme disparu du vaisseau et je ne les voyais nulle part. D’ailleurs, ça m’a manqué de ne pas voir le petit Kiraï-Kaï-Kotsée, le jeune léopard cadet des communications, que nous connaissons tous de par ses farces, comme lorsqu’il met sa patte devant la caméra de celui qui est en train de parler par visio-conférence. Je m’amuse toujours beaucoup en plaçant une patte de léopard devant le visage d’Arishah ou le mien dans mes vidéos, comme le fait Kiraï-Kaï-Kotsée dans la vraie vie quand je parle à Ari, qui a beaucoup de patience avec lui.

Une autre chose que l’on peut relever, est que tous les participants étaient des mâles, probablement dû à la nécessité à ce moment-là, de faire une démonstration de force et d’être au maximum de leur puissance en tant que race et culture urmahs.

Et au final, je ne sais pas qui était le petit chat orange, mais j’interprète sa présence comme celle d’un guide, qui m’a sortie de ma transe et m’a ramenée dans le monde matériel tel que je le connais.

Et comme dernier commentaire : les Urmahs ont gardé mes chaussures, ils ne me les ont pas rendues et j’ai un peu honte de leur demander de les récupérer, si elles existent encore. Je ne sais pas s’ils les ont simplement égarées ou s’ils les gardent comme souvenirs.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 8 novembre 2024 - Inondations en Espagne - Carotte (Trump) - Nouveaux projets à Temmer

Auteur : Mari Swa
Publié le 9 novembre 2024

 
Nouvelles Spatiales du 8 novembre 2024 - Inondations en Espagne, Carotte (Trump), Nouveaux projets à Temmer

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 8 novembre 2024.

Avant de continuer, je voudrais dire que je me sens la plus censurée dans ce genre de vidéos, car je ne peux tout simplement pas parler librement, ni dire tout ce que je sais, ici sur YouTube, ce qui est très frustrant pour moi.

La première nouvelle d’aujourd’hui : en même temps que je publiais mes vidéos sur le déluge, où j’évoquais la possibilité que le déluge biblique universel, ou plutôt mondial, soit arrivé, non pas une seule fois, mais plusieurs fois, et que le dernier ait eu lieu il y a seulement 200 ans, une terrible inondation se produisait dans la zone de Valence en Espagne. Et il y a eu aussi une réplique à Barcelone, Gérone, Castille-La Manche, en Andalousie, en France et ailleurs. Et maintenant l’Italie vient de s’ajouter… Il suffit de suivre le bateau.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Je n’ai pas traduit cette vidéo de Mari Swa où elle émet l’hypothèse qu’un déluge créé artificiellement aurait pu avoir lieu il y a 200 ans et aurait englouti la Tartarie. Mais la voici pour ceux qui parlent anglais. Et elle existe aussi en espagnol sur cette même chaîne. Vous pouvez activer les sous-titres en français : Did the last Global Deluge happen less than 200 years ago? – Fin de la note)*.

J’embrasse tous les starseeds qui m’écoutent et qui traversent ce moment terrible. Nos cœurs sont avec vous. Vous êtes forts et résilients, vous êtes des héros, vos propres héros.

Comme je l’ai mentionné dans mes vidéos sur le déluge, il y a des preuves partout dans le monde qu’il y a eu non seulement plusieurs inondations gigantesques, mais aussi des flux de boue d’une telle ampleur, qu’ils ont enterré ou à moitié enterré des villes entières et ce, assez récemment.

Bien que cette ou ces inondations puissent être la conséquence de véritables catastrophes naturelles, comme la chute d’eau de la planète Tiamat après sa destruction, il y a un autre aspect explicatif ou une autre possibilité, que j’étais sur le point d’inclure dans la vidéo en question, et je ne l’ai pas fait, et maintenant je m’en veux de ne pas l’avoir fait.

Transformer le climat en arme n’est pas quelque chose de nouveau, c’est juste que ce n’est pas vraiment du domaine public. Et les gens qui sont conscients que le climat est manipulé, savent rarement qu’il est aussi utilisé comme une arme.

Pourtant, de nombreux gouvernements reconnaissent ouvertement que le climat est modifié, en semant des nuages dans le ciel et via d’autres techniques, y compris dans les pays du tiers monde. Il est donc assez naïf de supposer que les gouvernements ne se servent pas des dernières versions de cette technologie de manipulation du climat comme d’une arme, d’autant plus qu’ils peuvent très facilement nier les faits par la suite.

De ce fait, toutes ces villes qui ont de toute évidence été inondées et enterrées avec de la boue, pourraient aussi l’avoir été suite à des attaques délibérées, dans lesquelles le climat est utilisé comme une arme, comme nous venons de le voir en Espagne.

La manipulation artificielle du climat existe officiellement sur Terre depuis au moins les années 1930. Elle a probablement été utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, et l’a été avec certitude pendant la guerre du Vietnam.

Mais comme je l’ai mentionné à d’innombrables reprises auparavant, l’Histoire de la planète Terre est très différente de la version officielle. Donc il est facile de supposer que la manipulation climatique avancée et que l’utilisation d’armes climatiques existaient bien avant les années 1930, mais entre les mains des contrôleurs de la Terre.

La haute technologie en général, existe sur Terre depuis des milliers d’années et ils font juste croire que tel ou tel élément de celle-ci est nouveau et récemment développé, quand cela leur convient. Il n’est donc pas si fou de considérer la possibilité très réelle que les armes climatiques aient été délibérément utilisées lors de la dernière réinitialisation sociale qui, selon les preuves, a eu lieu il y a seulement 200 ans.

Et donc oui, ce bateau plein d’antennes et d’équipements étranges, que la plupart d’entre vous ont vu au large de Valence, en Espagne, est totalement relié aux inondations. Et il y aurait beaucoup plus à dire à ce sujet, mais ici je me sens vraiment bâillonnée.

Alors, Carotte (Trump)* a gagné. Je n’aime pas parler de politique terrestre, parce que je la vois très différemment de la façon dont la plupart des gens la voient. Et elle génère en eux beaucoup de passions illogiques dans lesquelles je ne veux pas m’immiscer.

La seule chose que je peux dire, c’est que je le vois comme le mal le moins pire des deux. Cependant, je le considère comme la marionnette d’un mécanisme mondial qui contrôle les deux camps et qui les fait s’affronter uniquement comme une pièce de théâtre, dans le cadre de l’expérience humaine, mais tout est contrôlé depuis en haut.

Comme l’a dit Mark Twain, je cite : « Si le vote faisait une différence, ils ne nous laisseraient pas faire ». Notez au passage qu’il y a un débat sur le fait qu’il ait réellement dit cela.

Et comme quelqu’un d’autre l’a dit : « Les pouvoirs existants ne laisseraient jamais aux roturiers décider qui sera au pouvoir ».

Depuis mon point de vue, tout est du cinéma. Ils causent un problème pour vendre au public une solution, et la politique ne fait pas exception. C’est une distraction pour les gens.

Donc vous pouvez relier tous les points et voir qui est réellement au pouvoir et contrôle la situation de vos vies.

Les contrôleurs de la Terre aiment attaquer la population par vagues. Ils serrent la corde autour du cou des gens pendant quelques années, puis ils la desserrent quelques années de plus, pour leur donner de l’espoir et un faux sentiment de contrôle, pour ensuite la resserrer à nouveau et beaucoup plus à chaque fois, afin que les gens acceptent tous les changements et les règles qui vont à leur encontre. Parce que si on les leur imposait tous en même temps, ils ne les accepteraient pas.

Ils utilisent aussi des tactiques de peur à grande échelle contre les gens, qui retournent ainsi à leurs instincts et réactions primaires, basés sur la survie pure, et qui les font s’éloigner de leur esprit rationnel, jusqu’à provoquer des psychoses de masse. Dans ce cas, les masses réunies toutes ensemble peuvent commettre des choses horribles, qu’elles ne feraient jamais en temps normal et qu’un citoyen ne ferait jamais en étant seul.

La plupart des gens supposent encore à tort que ce que les masses croient, est forcément vrai, car ils n’ont pas la force de penser par eux-mêmes. Et comme l’a dit George S. Patton, je cite : « Si tout le monde pense de la même façon, alors il y a au moins quelqu’un qui ne pense pas », fin de la citation.

Moi je préfère dire que : « Si tout le monde pense de la même façon, alors personne ne pense ».

Je ne suis favorable à aucun politicien terrestre, car je suis très consciente de tout ce qui se cache derrière eux et du jeu malsain de la Fédération Galactique.

Donc tout ce que je souhaite, c’est que cela entraîne au moins quelque chose de positif pour la population. Et je m’arrêterai là au sujet de Carotte.

Autres nouvelles : j’ai proposé la construction à Temmer, dans la ville de Toléka, de quatre ponts, de deux nouveaux hôpitaux, un au Nord de la ville et un au Sud, ainsi que d’un autre gratte-ciel en forme de feuille pour abriter une nouvelle bibliothèque publique et centre de données.

J’ai également proposé la construction d’un nouveau musée, consacré aux voyages spatiaux taygétiens, qui sera situé dans l’espace adjacent au siège de l’Académie Spatiale.

Et de l’autre côté du bâtiment de l’Académie Spatiale, j’ai également proposé la construction d’un nouveau bâtiment dédié à l’hébergement, au soutien et au divertissement des cadets spatiaux, où il y aura des chambres, des salles de conférence, des réfectoires et un centre de loisirs.

Toutes ces propositions de construction ont passé l’inspection publique et la population de la ville de Toléka les a toutes acceptées, sauf une : un des 4 ponts. Cela est dû au fait qu’il serait construit sur une zone de mangroves du fleuve, qui est un lieu de nidification pour les canards pygmées, une espèce très jolie qui ne se trouve pas sur Terre. Les adultes de cette espèce grandissent rarement plus qu’un petit pigeon.

Quand j’ai planifié ce pont, tout ce que j’avais pour me guider étaient des hologrammes hyper précis de la zone, ici sur le vaisseau Sadicléya, et cette mangrove n’y était pas incluse. De toutes façons, je suis très heureuse de voir que les habitants de Taygeta sont aussi respectueux de la nature.

Et maintenant, quelques commentaires au sujet d’une vidéo précédente, dont certains points sont à éclaircir, car ils avaient alimenté des spéculations.

Quand je suis allée à Temmer en civil, en utilisant la technologie de communication d’immersion totale, je suis entrée dans la ville de Toléka par les arches inférieures de l’entrée secondaire du Grand Salon du Haut Conseil, puis j’en suis ressortie par un véhicule APC.

En fait, mes amis m’ont physiquement transportée depuis la salle d’immersion totale jusqu’au véhicule, sans que je m’en rende compte, car ils ne savaient pas comment me sortir de l’immersion et ne savaient pas comment m’ouvrir une sortie.

La salle d’immersion est assez proche de la section avant du hangar principal du vaisseau (où sont garés différents véhicules)*, donc c’était assez facile pour eux de me transporter jusque là-bas. Il n’y a aucun mystère ici.

Quant au fait que j’avais des gardes du corps pendant que j’étais en immersion, et même un véhicule APC (véhicule militaire blindé)*, c’était uniquement pour des raisons de protocole d’entraînement pour mes deux amies et gardes du corps Shinonim, Kassia et Alia.

De plus, même si je n’avais pas besoin de protection, c’était pratique pour moi, car je ne savais pas comment gérer un grand groupe de personnes autour de moi et comment m’en éloigner de manière diplomatique.

Maintenant, je prévois une deuxième incursion secrète dans la ville de Toléka, mais cette fois complètement seule, sans personne d’autre avec moi. Et cette fois avec un nouvel appareil, un bloqueur ou suppresseur de fréquence, pour que la population taygétienne ne puisse pas me détecter avec ses lunettes de soleil spéciales lorsque j’utilise la technologie d’immersion. Parce que c’est comme ça qu’ils ont finalement découvert ma couverture et m’ont identifiée.

Cette fois, j’entrerai par un endroit prédéterminé de la ville et je ressortirai de l’expérience d’immersion totale en utilisant le même endroit, contrairement à la première fois, où je me suis éloignée arbitrairement sans penser que je devais retourner à mon point d’entrée.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 25 octobre 2024 - Nouveau port spatial - Plus d'infos sur l'Australie - Ma santé et ma date d'anniversaire

Auteur : Mari Swa
Publié le 26 octobre 2024

 
Nouvelles Spatiales du 25 octobre 2024 - Nouveau port spatial, plus d'infos sur l'Australie, ma santé & ma date d'anniversaire

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 25 octobre 2024.

La première nouvelle d’aujourd’hui : la première partie de l’agrandissement du port spatial de la ville de Toléka a été achevée hier après plusieurs semaines de construction. Cette extension permettra au port spatial de Toléka City de gérer simultanément jusqu’à trois ou quatre gros vaisseaux de transport supplémentaires, aussi grands qu’un vaisseau de classe Toléka. En plus des surfaces d’atterrissage habituelles de la première partie originale du port stellaire, qui fonctionne depuis des décennies sans avoir besoin d’amélioration.

Cette extension était nécessaire, car l’intérêt des Taygétiens pour les voyages spatiaux s’est accru ces dernières années.

Hier, j’ai assisté à l’inauguration officielle des opérations de cette nouvelle deuxième partie, où j’ai signé l’achèvement de la construction et accueilli le premier vaisseau de transport. Il avait attendu l’autorisation d’atterrir pendant plusieurs heures, en survolant simplement les prairies, à l’Ouest du port stellaire. Il s’agissait d’un grand ferry de transport moderne qui faisait des trajets réguliers de Temmer à Erra, et vice versa, et il mesurait environ 300 mètres de long.

Je suis allée à Temmer, en utilisant la technologie de présence à distance, pas moins de trois fois, hier, pour remplir mes devoirs en tant que reine de Taygeta. Et le problème du glissement temporel entre la planète Terre et Temmer m’a paru plus que jamais évident.

En effet, lors de ma troisième visite de la journée, quand j’ai signé le début des opérations de la nouvelle partie du port stellaire, l’événement entier m’a pris environ 25 minutes, mais à bord du vaisseau spatial Sadicléya, qui suit l’horaire de la Terre, plus de 2 heures s’étaient écoulées.

La deuxième nouvelle concerne ma santé : mon diabète de type 1 a disparu, comme s’il n’avait jamais eu lieu, comme s’il n’avait jamais existé. J’ai bénéficié d’une intervention urmah très puissante et peu commune pour me guérir de cela, et ça a fonctionné. Je ne veux pas en dire trop ici aujourd’hui, parce que je prépare une série d’au moins trois vidéos, où je vais raconter avec beaucoup de détails ce que j’ai vécu, côte à côte avec nos magnifiques amis poilus, qui sont les seuls responsables de ma guérison.

Je suis désolée Docteur Sénètre. Merci pour tous tes efforts et ton dévouement, ainsi que pour toutes tes aiguilles, mais je n’ai jamais vu ton caisson médical sec fonctionner sur moi.

Je tiens également à remercier tous ceux qui ont fait des recherches sur le diabète de type 1 et qui ont réussi à me faire parvenir leurs informations d’une manière ou d’une autre. Merci de vous être inquiétés et de m’avoir aidée, vous êtes un groupe incroyable et je vous aime beaucoup. Maintenant je n’ai plus besoin de vos suggestions pour le diabète, merci. Parce que comme je l’ai dit à l’instant, les chats Urmahs ont résolu le problème pour moi.

Je lutte actuellement contre d’autres problèmes de santé, comme une infection pulmonaire (causée par le mildiou qui a poussé sur les sièges d’une des voitures terrestres garées dans le hangar du vaisseau)*, des règles très douloureuses, et un poids corporel trop faible pour ma taille. Mais ça passera, donc je dois juste être forte pendant un moment.

Si vous me suivez depuis un certain temps et que vous avez toujours veillé à mémoriser mes informations, ce problème de diabète chez moi n’était pas nouveau. C’est juste que, jusqu’à présent, il n’avait tout simplement pas de nom, parce que pour la médecine taygétienne, le diabète en tant que tel est pratiquement inexistant ou associé à d’autres problèmes.

De ce fait, tous mes problèmes alimentaires, mes intolérances et mes symptômes qui étaient dus au diabète, sont passés pratiquement inaperçus comme tels pendant plus de 2 ans. Jusqu’à ce que la docteur Anna, qui a une formation en médecine de la Terre, ait finalement mis toutes les cartes sur la table, les ait reliées entre elles, et m’ait diagnostiqué un diabète.

Passons au sujet suivant. Je vais remettre mon anniversaire au 8 mars, qui est ma date originelle et qui est astronomiquement correcte. Comme vous le savez, je ne suis pas née sur Terre (mais dans un vaisseau voyageant dans l’espace profond)*, donc pour trouver ma date d’anniversaire, nous avons fait un calcul mathématique permettant de trouver l’équivalent en temps terrestre d’une date stellaire, et cela correspondait au 8 mars. Donc l’autre date que l’on m’a assignée par la suite, le 8 mai, n’est pas exacte. Je n’aurais jamais dû accepter qu’on la change, car ce changement avait été fait simplement pour que mon anniversaire ne tombe pas le même jour que l’anniversaire de Yazhi Sophia, qui est aussi née un 8 mars en temps terrestre. Mais les choses sont comme elles sont, donc nous partageons la même date d’anniversaire et puis c’est tout.

En passant à d’autres sujets, je peux à présent ajouter une ou deux choses à ce que j’ai dit dans ma récente vidéo sur ce qu’il se passe en Australie. Notre agent sur le Viéra nous a informés que les Alfratiens transportaient beaucoup de représentants de leur race de la Fédération Galactique, ainsi que d’autres représentants de d’autres races stellaires non révélées, pour qu’ils assistent à une série de réunions de haut niveau, qui ont eu lieu le week-end dernier dans les installations de la Fédération Galactique au centre de l’Australie.

Si de telles réunions se déroulent sur Terre, cela signifie que les représentants de la Terre, qui seraient donc les Seigneurs suprêmes de la Cabale, assistent aussi à ces réunions. Et nous avons la confirmation qu’au moins l’un d’entre eux était là-bas en Australie le week-end dernier. Un homme d’Angleterre avec un chapeau doré, si vous voyez de qui je parle. Vérifiez vous-mêmes les déplacements qu’il a faits, ce n’est pas un secret.

Bien que nous ne sachions pas encore pourquoi tant de navettes volantes et de vaisseaux de transport ont été utilisés le week-end dernier, nous avons maintenant une bien meilleure idée de ce qu’il a pu se passer là-bas le week-end du 18 au 20 octobre 2024.

Et bien sûr, même si nous avons demandé des informations pour savoir plus précisément ce qu’il s’était passé, car après tout, la semaine dernière les Alfratiens ont frôlé notre flotte taygétienne avec leurs vaisseaux pas moins de cinq fois en une nuit, la Fédération Galactique locale du Viéra a simplement répondu qu’il s’agissait d’un trafic de routine qui avait été trop concentré dans cette zone, durant une courte période de temps.

Ils disent « une courte période de temps », alors que pour nous, cela a duré toute la nuit.

Sur un autre sujet, je pense avoir été mal interprétée quand j’ai dit que les gens ne devraient pas regarder de mauvaises nouvelles dans les médias terrestres, qui ne concernent pas des lieux proches de là où ils vivent, ou toute autre nouvelle qui pourrait les affecter directement ou indirectement. Je me suis également sentie un peu mal interprétée quand j’ai dit qu’il ne fallait pas aider par le biais d’organisations et de mécanismes officiels.

Bien sûr, vous pouvez aider si vous le voulez, mais ce que je veux dire c’est que vous devez être très prudents avec l’organisation officielle à laquelle vous donnez vos ressources, car beaucoup de ces organismes ne font que garder l’argent pour eux, ou bien ils le détournent vers des affaires politiques, et cet argent finit généralement dans les poches de toutes sortes d’oligarques.

Un autre problème est que les médias mentent fondamentalement, comme tout le monde le sait, en créant un problème de toute pièce, ou en prenant un problème réel et en l’exagérant, comme une stratégie politique manipulatrice pour drainer les ressources des membres de la population humaine qui ont bon cœur et sont inquiets.

Rappelez-vous que la narration de tous les conflits, guerres et catastrophes est très contrôlée et filtrée pour qu’ils puissent monopoliser la vérité, et je pense que j’en dis déjà trop pour YouTube.

Je ne voulais pas dire que vous ne devriez jamais regarder le mal, parce que ça c’est un concept du New Age, qui prétend faussement que si vous ne prêtez aucune attention à ces choses-là, elles ne seront pas dans votre réalité.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Mon voyage en civil à Temmer

Auteur : Mari Swa
Publié le 24 octobre 2024

 
MON VOYAGE EN CIVIL

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 23 octobre 2024, heure interne du vaisseau.

Comme je l’ai décrit récemment dans mon numéro 47 des Nouvelles Spatiales, j’ai été à Temmer dans le cadre de mon travail de routine et de mon rôle de reine de Taygeta. Pour des raisons de sécurité, je ne suis pas allée à Temmer physiquement, mais seulement en utilisant la technologie de présence à distance. Cependant, pour l’objectif de mon travail, c’est parfait car c’est comme si j’étais là-bas. Cette technologie est si avancée, que toute l’expérience vécue par l’utilisateur, ainsi que par les personnes qui sont de l’autre côté, est presque aussi bonne que si on avait réellement voyagé jusque là-bas et qu’on y était physiquement.

Après avoir rempli mes devoirs de reine, j’ai décidé d’essayer une idée que m’ont suggérée certains de mes amis du CIC, voyant surtout cela comme une bulle d’air frais qui m’aiderait à me détendre et à me déstresser de mes problèmes de travail et de santé.

Le principe était que je porte des vêtements taygétiens simples, comme ceux que porterait n’importe quelle fille de 16 ans, que je mettrais des lunettes de soleil et qu’ensuite je marcherais innocemment dans les plus beaux endroits de la ville de Toléka, juste pour profiter. Et avec un peu de chance, personne ne me reconnaîtrait.

Juste après avoir quitté la salle de présence à distance, ici sur le vaisseau Sadicléya, je suis retournée dans ma chambre privée et j’ai mis des vêtements agréables, confortables et normaux de fille taygétienne, qui ne sont pas si différents de tous les vêtements modernes normaux de la Terre. Je suppose que c’est parce qu’il y a un nombre limité de modèles que l’on peut faire avec du tissu pour couvrir les corps lyriens.

J’ai mis une robe simple, beige, brodée et de longueur moyenne, avec un peu de blanc. Je me suis coiffée avec une longue barrette argentée, pour avoir une belle queue de cheval plate. J’ai mis des chaussures de p’tite jeune à talons plats, assorties à ma tenue. Et comme bijou, juste un collier fin, mais j’y ai laissé un petit indice de qui j’étais, car il était prolongé d’une petite couronne en argent en pendentif.

Habillée comme une civile taygétienne, j’ai rejoint à nouveau mes deux gardes du corps Shinonim (Forces Spéciales taygétiennes féminines)*, Kassia et Alia, également habillées comme des filles en civil, et à qui j’ai demandé de me suivre à plusieurs mètres de distance et de rester autant que possible hors de la vue des gens, pour ne pas que leur présence trahisse qui je suis. Et toutes les trois nous sommes entrées une fois de plus dans la salle de présence à distance.

Quand nous sommes arrivées et avons ouvert la porte, la pièce était déjà allumée et prête. Cela m’a toujours fascinée, parce que d’un côté de la porte, tu es dans un passage hautement technologique à l’intérieur d’un vaisseau spatial, et de l’autre côté, tu te retrouves dans une belle ville paisible, sous la lumière du soleil, à 440 années-lumière de la Terre.

Mais ce n’est pas un portail complet, comme ceux qui te permettent de passer réellement d’un endroit à un autre. Cette technologie-là est seulement un portail de données informatiques, où la seule chose qui passe d’un lieu à l’autre, est de l’information. Là ce sont les ordinateurs, situés à chaque extrémité, qui se synchronisent pour générer l’illusion que tu es physiquement là-bas, tandis que les gens qui se trouvent réellement là-bas, ont aussi l’illusion de te voir parmi eux dans ce lieu, et tout cela avec un réalisme extrême.

Nous sommes entrées dans la pièce et tout à coup nous étions dans la ville de Toléka. Notre point de départ était juste en dessous des grandes arches se trouvant à l’entrée secondaire du Grand Salon du Haut Conseil, car du fait que ces arches soient recouvertes de lierre, il y avait moins de probabilités que quelqu’un remarque que nous apparaissions soudainement par une porte lumineuse qui se volatilisait juste après.

Je suis passée la première, tandis que mes deux gardes du corps me suivaient de loin, partout où j’allais. Mais l’idée était que je les oublie et que je me comporte comme si j’étais complètement seule. C’est donc ce que j’ai fait.

J’ai regardé d’un côté puis de l’autre, pour choisir dans quelle direction aller en premier, et comme la rue qui fait face au Salon du Haut Conseil mène à la route qui longe la plage, je suis allée dans cette direction.

J’ai descendu la rue, car le Salon du Haut Conseil est sur une petite colline, et ça m’a fait très bizarre de sentir une pente, car cela faisait des années que je n’avais pas senti de pente sous mes pieds, étant donné que ça n’existe pas à l’intérieur des vaisseaux. Puis le terrain est devenu plat et j’ai commencé à marcher dans l’une des rues les plus célèbres de la ville de Toléka, celle qui continue le long de la plage.

Elle est remplie de grands palmiers qui servent à amortir le vent, mais qui s’arrêtent quand la rue passe juste à côté de l’eau, environ 5 ou 6 mètres plus bas.

Je suis restée là, à contempler l’océan calme et turquoise, et à profiter de la brise tout en observant les oiseaux marins surfer dans le vent. J’ai regardé les rochers en bas et j’ai remarqué que certains d’entre eux étaient transparents. Cela fait partie de ce qui caractérise cette côte, car ses rochers sont en majorité en cristal de quartz et d’améthyste. Les rochers que je regardais n’étaient pas parfaits comme le verre. Ils ressemblaient plutôt à des quartz sales recouverts d’eau, de boue et d’excréments d’oiseaux.

C’est alors que je me suis retournée et que j’ai vu un petit groupe de personnes s’approcher de moi et j’ai commencé à devenir un peu nerveuse. Mais elles sont simplement passées à côté de moi tout en continuant à parler entre elles. À l’exception du couple qui était à la fin du groupe : les deux m’ont regardée et m’ont adressé un timide « Bonjour », que je leur ai gentiment répondu par un sourire.

Je regardais le groupe pendant qu’il s’éloignait et je me demandais si les deux derniers m’avaient reconnue, ou s’ils étaient simplement gentils. Me disant que c’était la 2ème possibilité la plus probable, j’ai senti une vague de confiance et j’ai commencé à marcher à un rythme plus rapide en suivant la plage, où j’ai croisé plusieurs personnes qui ne se sont même retournées pour me regarder, ce qui m’a semblé fascinant.

Je me suis tournée vers ma gauche et j’ai vu une large rue qui mène à la ville et qui passe entre les très hauts bâtiments qui définissent une grande partie de la ligne de la ville. Ce sont des gratte-ciels dont le design est inspiré de la nature, car ils ressemblent à des feuilles géantes, collées au sol et torsadées, se terminant par une pointe très effilée. D’après ce que j’ai compris, la torsion des gratte-ciels est là pour minimiser l’impact du vent sur eux.

En continuant à marcher dans cette direction, j’ai commencé à me sentir un peu intimidée par la taille de tous les gratte-ciels qu’il y avait là, et j’ai décidé de ne plus regarder vers le haut, parce qu’ils commençaient à me donner quelque chose que je pourrais appeler « vertige inversé ».

La base de tous les bâtiments était recouverte de lierre, qui semblait faire son maximum pour atteindre et recouvrir toute l’immensité de la construction.

Quand j’ai de nouveau regardé vers le haut, j’ai pu remarquer que tous les bâtiments de cette rue avaient une couleur verte distinctive, aussi bien la structure du bâtiment lui-même, que les fenêtres, dont les vitres étaient teintes en vert. Ici, ils aiment tout peindre en vert, avec une touche de beige.

Quand je suis enfin arrivée au centre, il y avait déjà beaucoup de gens qui marchaient autour de moi, s’occupant de leurs affaires et m’ignorant, moi et mon attitude touristique. Mais ce qui m’a le plus frappée, c’est que contrairement à n’importe quel centre urbain très fréquenté de la Terre, les gens de Temmer prennent les choses avec une facilité et une tranquillité enviable. Personne ne semblait stressé et personne ne courait comme à l’heure de pointe.

Tous les gens prenaient leur temps pour aller faire ce qu’ils avaient à faire et ce, en toute tranquillité, comme s’ils avaient du temps pour tout. Même les véhicules dans les rues se déplaçaient très lentement et en silence, car ils sont tous complètement électriques, mais pas comme sur Terre, étant donné qu’ils retirent leur énergie directement du réseau électrique aérien sans fil de la planète (énergie libre)*, ce qui fait qu’ils ne sont jamais à court d’énergie et qu’ils ont une autonomie illimitée.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Si ce sujet vous intéresse, j’ai traduit et doublée en français ces 2 vidéos de Mari Swa :

1) Véhicules électriques sur Terre

2) Véhicules électriques à Taygeta 

– Fin de la note)*.

Mais d’un autre côté, si je portais un regard critique sur ces véhicules tandis que je les observais passer à côté de moi dans les rues, je trouvais qu’il leur manquait clairement un design, car ils ressemblaient tous à des wagons miniatures de train ultra-modernes, recouverts de vitres teintées et arrondies.

J’ai aussi remarqué autre chose : toutes les petites pièces des véhicules qui ne sont pas recouvertes de vitres teintées sont blanches. Mais en plus d’être tous monochromes, c’est-à-dire une structure blanche recouverte de verre teinté sombre, leurs formes varient très peu. À l’inverse des machines volantes et des vaisseaux taygétiens, qui débordent de design.

En parlant de cela, j’ai aussi remarqué que la majeure partie du trafic dans les parties centrales de la ville de Toléka, est aérienne. Et les engins volants passent gracieusement en silence entre les gigantesques gratte-ciels en forme de longues feuilles verticales et torsadées.

Une autre chose que je voudrais partager au sujet de la ville de Toléka, c’est que j’étais au centre en milieu de journée et il y avait un silence incroyable. La plupart des sons provenaient des gens qui passaient, de leurs voix, de leurs conversations et de leurs rires. De temps en temps le bourdonnement provenant d’un véhicule qui passait. Et le chant des oiseaux marins, qui se pourchassaient les uns les autres dans le ciel.

J’ai marché sur de larges trottoirs et avenues avec beaucoup de passage, et tout était si ordonné que cela m’émerveillait. Tout était si bien rangé, propre et plein de vie. Et devant chaque bâtiment, il y avait des jardins soigneusement arrangés, remplis de fleurs colorées de toutes sortes.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Je rappelle que si Mari Swa porte un regard si neuf et émerveillé sur la capitale de sa propre planète, c’est parce qu’elle a passé la majeure partie de sa vie sur Terre et dans des vaisseaux, et qu’elle n’a finalement pas beaucoup vécu à Taygeta – Fin de la note)*.

J’ai fini par arriver à un grand croisement de rues, avec un grand jardin circulaire au milieu et une grosse fontaine en son centre. Celle-ci avait la forme d’une demi-sphère enfoncée, d’où jaillissait une colonne d’eau très haute, bruyante et soignée, qui rafraîchissait toute la zone, avec un léger arc-en-ciel apparaissant sous la douce lumière du soleil de Taygeta.

Ensuite, je me suis tournée vers la droite et j’ai vu un bâtiment très grand, différent des autres, avec un dôme jaune clair au sommet, et sur sa façade, de grandes colonnes très séparées, entre lesquelles il y avait des fenêtres noires d’une seule pièce. Le bâtiment était énorme et impressionnant, d’autant plus qu’il était tout seul à cet endroit et à une certaine distance des gratte-ciels.

Et là, j’ai vu que toutes ces fenêtres noires sur le devant, entre les colonnes, étaient en fait des écrans immenses. Soudain, ils se sont illuminés pour montrer des images de haute résolution en 3D et des vidéos de vaisseaux spatiaux en orbite autour d’étranges planètes lointaines. Chaque écran devait mesurer plus de 10 étages de hauteur.

Je suis restée là pendant de longues minutes à regarder ces vidéos et photos en 3D qui étaient présentées sur les fenêtres de ce bâtiment, jusqu’à ce que trois passants, deux femmes et un homme, viennent soudainement me parler et me dire : « Bonjour, vous devez être nouvelle ici, ce bâtiment est notre Académie Spatiale ». Tout ce que j’ai réussi à dire était : « Oh, wouahou, merci ! ».

Et puis ils ont continué : « Et elle, c’est notre nouvelle reine », pendant qu’ils regardaient en direction du bâtiment. « Hey, tu lui ressembles ! Et beaucoup ! Hahaha ! ». J’ai tourné la tête rapidement, alarmée, et à ma grande surprise, mon visage était là-bas sur ce bâtiment et se déplaçait sur ces écrans géants. J’ai senti mon cœur battre la chamade et pomper avec force lorsque j’ai pensé en un éclair : « Oh, punaise, ils m’ont démasquée ! ».

J’ai pu voir qu’il s’agissait d’une série de petits clips créés à partir d’une de mes interviews plus ou moins récentes, alternés avec des images des vaisseaux Toléka et Sadicléya, avec la Terre en arrière-plan.

Les trois personnes se sont tournées vers moi et l’homme m’a demandé : « Qu’est-ce qui t’arrive ? Ça va ? Tu as l’air un peu nerveuse. Est-ce qu’on peut t’aider pour quelque chose ? Es-tu perdue ? ».

J’ai juste répondu que si, j’allais bien, que je visitais la ville et que j’observais tous les merveilleux détails. Puis nous nous sommes dit au revoir et ils sont partis.

J’ai senti que mes pieds étaient un peu fatigués, alors j’ai marché jusqu’à un banc de parc en pierre grise et je me suis assise dessus pendant un moment, en profitant de mon environnement. J’étais assez sûre que personne ne m’avait reconnue jusqu’à maintenant, quand un jeune couple qui passait par là, a couru jusqu’à moi et les deux se sont écriés : « Mais, mais, c’est… c’est la reine Mari Swa Première !! ».

Je me suis rapidement levée et je ne savais pas si je devais nier ou simplement accepter que ma couverture avait finalement été découverte, donc tout ce que j’ai réussi à dire a été un timide : « Bonjour », et je leur ai fait un geste de la main, tout en enlevant mes lunettes de soleil.

Alors ils ont commencé à me demander comment j’allais, comment était la Terre et ce que ça faisait de vivre sur un vaisseau si loin de chez soi pendant si longtemps. Ils étaient tous les deux gentils et amicaux, alors j’ai commencé à parler avec eux. Mais ensuite, de plus en plus de gens ont commencé à se rassembler autour de moi.

J’ai dû leur demander comment ils avaient su que c’était moi, et ils m’ont répondu que comme la technologie de présence à distance devenait de plus en plus populaire à Taygeta, les gens avaient fabriqué un petit dispositif en forme de lunettes de soleil, qui les aidait à voir si la personne devant eux était vraiment là ou si elle utilisait le système holographique.

Oh ! Ils m’avaient donc démasquée parce que n’importe qui avec ces lunettes pouvait voir que je n’étais pas là en personne. Mince, je ne savais pas qu’ils avaient développé ça !

Je suis restée là, dans un groupe d’une trentaine de personnes et tout le monde a été très gentil. Ils m’ont demandé comment j’allais, car ils savaient tous que ma santé était fragile. Et ils m’ont recommandé de manger plus, parce que j’étais très mince. Ils s’accordaient tous à dire que je faisais très jeune. Ils ont dit qu’ils adoraient le travail que je faisais et qu’ils me respectaient beaucoup. Ils semblaient tous très excités de me voir me promener parmi eux, même s’ils savaient que j’étais là en utilisant la technologie à distance.

Puis je me suis retournée et j’ai vu, pas très loin, un véhicule étrange, plus carré et avec de grandes roues tout terrain. Un véhicule que j’ai reconnu comme étant un véhicule taygétien de transport militaire léger, ou APC pour son sigle anglais, ou transport blindé de personnel, pour sa traduction en français.

Quand je me suis retournée pour le voir, il m’a fait des appels de phare et ses portes en ailes de mouette se sont ouvertes. Kassia et Alia en sont descendues et m’ont fait des gestes avec les mains pour me signifier que le temps était écoulé et qu’il fallait partir.

J’ai dit au revoir et demandé pardon. Pardon à toutes les personnes rassemblées autour de moi. Je leur ai envoyé des baisers, car elles avaient l’air de ne pas vouloir que je parte. Nous nous sommes tous salués et dit au revoir. Ils étaient tous très affectueux.

J’ai grimpé à l’intérieur de l’APC taygétien, et je me suis assise pendant que Kassia et Alia le conduisaient, avançant dans les rues vers une ruelle plus ou moins étroite entre les gratte-ciels, et lorsqu’apparemment personne ne regardait, Alia a appuyé sur quelques interrupteurs au-dessus du pare-brise de l’APC et nous sommes sorties de la présence à distance.

Je pensais que j’allais me retrouver dans la salle que nous utilisons pour la présence à distance, qui est située derrière le pont du CIC sur tous les vaisseaux de classe Toléka, mais à ma grande surprise, j’étais toujours dans l’APC, et l’APC lui-même n’était pas dans la salle de présence à distance, mais à l’intérieur du hangar inférieur du vaisseau Sadicléya et il se déplaçait parmi d’autres véhicules à roues taygétiens et humains stationnés. Le véhicule blindé était réel et il avait également été en présence à distance. Ma seule pensée a été : « Wouahou ! Ça non plus je ne m’y attendais pas ! ». En fait, la salle spéciale n’était plus nécessaire car le véhicule lui-même était équipé du système de présence à distance.

Enfin, Alia qui conduisait, a fini de garer l’APC et nous en sommes descendues. Mon aventure en incognito à Temmer était terminée. Wouahou, quelle expérience ! Je ne m’attendais pas à ce que ça se termine comme ça et je me suis beaucoup amusée !

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 20 octobre 2024 - Que se passe-t-il sur Terre en Australie ?

Auteur : Mari Swa
Publié le 21 octobre 2024

 
Nouvelles Spatiales du 20 octobre 2024 - Que se passe-t-il sur Terre en Australie

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 20 octobre 2024, heure interne du vaisseau.

Bien que cela fasse longtemps que nous avons conscience des informations que je vais vous transmettre dans cette vidéo, je n’avais pas vraiment de raison de mentionner tout cela jusqu’à présent. D’autant plus que je pensais, jusqu’à hier soir, que ce n’était pas un sujet assez long pour en faire une vidéo, donc j’attendais aussi de pouvoir recueillir plus d’informations.

Nous nous préparions à passer une bonne nuit, d’autant plus que plusieurs d’entre nous étions malades, surtout Yazhi et moi.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : En effet, Yazhi, Athena, Dhor Kàal’el et Mari souffrent depuis plusieurs jours (et même plusieurs semaines, au moment où je fais cette traduction) d’une infection pulmonaire et d’une forte fièvre, à cause de l’inhalation de champignons microscopiques, aussi appelé mildiou, qui ont poussé sur les sièges de l’une de leurs voitures humaines garées dans le hangar du vaisseau et avec lesquelles ils mènent certaines opérations sur Terre.

Dans l’une de ses vidéos récentes, Gosia a expliqué que c’est parce que cette voiture avait besoin d’une réparation au niveau des câbles et que c’est Mari qui l’a faite, car elle est très douée dans ce type de mécanique. Tellement douée qu’un jour elle a pris l’initiative de monter entièrement de A à Z, à la main, un ordinateur humain, qui fonctionne très bien et qu’ils ont ensuite répliqué en plusieurs exemplaires, pour s’en servir pour avoir accès à notre internet. Chose qui est impossible avec leurs ordinateurs holographiques ultra puissants, qui n’ont pas d’interface avec notre Internet.

Pour en revenir à la voiture, étant donné que Mari a eu besoin d’entrer dans la voiture pour faire cette réparation au niveau des câbles, elle est restée quelques temps à inhaler ces spores de champignons. Et comme ils proviennent de la Terre, la biologie des Taygétiens n’y est pas immunisée.

Et comme Athena, Dhor Kàal’el et Yazhi sont venus la voir, ils ont aussi inhalé ces spores, donc ils sont aussi tombés malades. Surtout Yazhi, qui est carrément entrée dans la voiture pour jouer sur les sièges, n’en faisant qu’à sa tête quand Dhor Kàal’el lui demandait d’en sortir parce que ce mildiou était potentiellement dangereux, lui répondant en riant qu’elle était invincible. Il semblerait que pour cette fois, elle se soit surestimée…]*.

Et donc, pile au moment où le quart de jour de ce vaisseau, équipe dont je fais aussi partie, se retirait pour dormir, des alarmes de collision ont commencé à sonner, les lumières des couloirs sont devenues rouges et l’Intelligence Artificielle du Sadicléya a recommandé de sauter à la condition 1, ce qui correspond en gros à l’alerte rouge pour les navires humains.

Même si j’avais mal partout et que Yazhi se trouvait dans le secteur médical, nous avons tous couru vers le pont pour voir ce qu’il se passait. Tous les autres vaisseaux de la flotte taygétienne, que vous connaissez déjà, étaient également en alerte rouge, s’attendant à une collision.

Et voici donc ce qu’il s’est passé : des Alfratiens (encore appelés Centauriens)*, ou en tous cas c’est l’identité qu’émettaient les transpondeurs de leurs vaisseaux, ont soudainement accumulé un grand convoi de vaisseaux stellaires petits et moyens, pour la plupart des cargos, qui ont commencé à sortir de la Terre en grand nombre, sans obéir aux protocoles de proximité de la Fédération Galactique. Ils s’approchaient beaucoup trop de toute la flotte taygétienne, qui orbite la Terre en formation serrée (à seulement 450 ou 500km de la Terre, ce qui est extrêmement près)*, à l’exception des vaisseaux stellaires Alcyone et Sasca 1, qui sont maintenant beaucoup plus haut, en orbite moyenne.

Nous sommes une flotte de grands vaisseaux spatiaux synchronisés entre eux, qui suivent une orbite terrestre préétablie et assignée par la Fédération Galactique, et nous nous déplaçons à près de 8 km par seconde. Nous sommes nombreux et nous pesons, donc ce sont les Alfratiens qui doivent changer de cap pour ne pas passer de façon dérangeante aussi près de nous.

Pourtant, ils sont sortis de la planète Terre en grand nombre et sont passés à très grande vitesse tout autour de nous. Et certains d’entre eux sont passés à seulement 2 kilomètres ou moins, ce qui, à l’échelle orbitale, a fait qu’ils nous ont frôlés, car il y avait à peine la longueur d’un bateau, c’est-à-dire la longueur d’un vaisseau, qui nous séparait de leurs vaisseaux.

De nouveau, les Alfratiens nous posent problème, car ils n’ont aucune idée de ce qu’est le respect et ne suivent pas le protocole de la Fédération Galactique, alors que nous savons qu’ils ont été réprimandés pour cela plusieurs fois, mais cela a visiblement été inutile. Et je n’ai pas besoin de vous rappeler la propension de ces pilotes Alfratiens pour boire de l’alcool et s’écraser avec leurs vaisseaux.

J’en profite pour apporter quelques précisions sur les Alfratiens, avant que beaucoup d’entre vous ne se fassent de fausses idées : si je représente toujours les Alfratiens comme des latino-américains, c’est parce que la plupart d’entre eux ressemblent à cela. Étant donné que la majorité des Alfratiens proviennent de la Terre et qu’ils sont le résultat d’un mélange de toutes les races Lyriennes qui se trouvent sur Terre.

Cependant, il y a aussi beaucoup d’Alfratiens à la peau blanche et aux yeux bleus, ou d’aspect asiatique, ou avec une peau plus foncée, ainsi que toutes les combinaisons imaginables.

Et quand je ne parle pas très bien des Alfratiens, je parle seulement de leur culture et de leur façon de se comporter ici en orbite terrestre, pas de leur apparence.

Comme beaucoup de gens le disent, il semble qu’ils soient encore plus humains que les humains de la Terre.

Je peux aussi argumenter que les Alfratiens ne sont pas une seule et même espèce, mais plutôt de nombreuses races Lyriennes mélangées, dans une structure politique qui a été concoctée par la Fédération Galactique, et qui ont été entraînées pour être les sous-fifres ou les sbires de cette dernière. Mais je ne doute pas du fait qu’il y ait aussi des sages parmi eux, même si je n’ai encore rencontré aucun d’entre eux.

Pour en revenir au sujet d’aujourd’hui, après cette alerte de collision, notre flotte taygétienne a continué à faire le tour de la Terre une fois de plus, et 90 minutes plus tard, nous nous approchions à nouveau du même endroit, qui est juste au-dessus de l’Australie. Et bien que nous leur ayons envoyé des messages répétés pour qu’ils restent éloignés de notre flotte lourde et densément peuplée, ils nous ont simplement ignorés à nouveau.

Une fois de plus, les alarmes de risque de collision ont commencé à sonner et toutes les lumières de l’intérieur sont redevenues rouges, tandis que nous nous approchions de la zone de trafic intense des Alfratiens, qui était remplie de vaisseaux en mouvement. Cette fois, certains quittaient la planète et d’autres y entraient, dans un désordre complet.

Ces vaisseaux ressemblaient à des vaisseaux de charges et de transports standards de la Fédération. La plupart d’entre eux étaient de forme discoïdale, mais certains étaient aussi ovales, en forme de cigare et de boîte, comme dans les films de science-fiction.

Tous les vaisseaux de notre flotte taygétienne ont alimenté leurs boucliers avec plus d’énergie, au cas où nous n’aurions pas autant de chance cette fois-ci. Et tout ce que nous pouvions faire était d’espérer passer entre les vaisseaux alfratiens sans incident. Et c’est au cours de ce deuxième passage, que nous avons pu voir et détecter avec nos instruments que tout ce trafic inhabituel d’Alfratiens, entrait et sortait de l’Australie centrale.

La zone centrale de l’Australie a très peu d’habitants, si tant est qu’il y en ait, je n’ai pas les chiffres exacts, parce que la grande majorité de la population se trouve amassée sur les côtes, principalement dans ses quelques grandes villes et zones urbaines.

Comme beaucoup d’entre vous le savent, en particulier ceux qui m’écoutent depuis là-bas, une grande partie de l’Australie est divisée par des clôtures artificielles très longues, soi-disant pour contrôler la faune. Enfin, c’est la version officielle qui est donnée pour justifier l’existence de ces clôtures. Mais en réalité, ils les ont mises pour que les gens aient beaucoup de difficultés à traverser ces zones.

Ces clôtures n’ont pas de sens, car elles nuisent beaucoup à la faune sauvage, alors que d’autres espèces réussissent à les traverser, comme les lapins qui creusent tout le temps des tunnels sous elles. Nous sommes assez convaincus du fait que ces clôtures sont plus une façon de contrôler les gens, comme des barrières discrètes qui empêchent l’accès à certaines zones. Même s’il est peut-être légal de passer par-dessus, je ne sais pas, je n’ai pas la réponse pour le moment.

En effet, les vastes régions centrales de l’Australie abritent de grandes installations de la Cabale terrestre, à la surface et souterraines, qui sont exactement du même type que celles qui se trouvent dans le désert du Nevada (la fameuse Zone 51)*, si vous voyez ce que je veux dire.

Sans parler de toutes les vieilles légendes tribales de la région, qui mentionnent des créatures étranges, certaines ayant l’apparence de reptiles humanoïdes, ainsi que des ouvertures menant vers l’intra-Terre, et un nombre incalculable de cas de personnes ayant disparu dans certaines zones et montagnes qui ont été signalées comme spécialement dangereuses.

Après l’Antarctique, où le trafic spatial est intense et qui est donc en permanence rempli de vaisseaux entrant et sortant de la planète, l’Australie centrale est peut-être en ce moment la zone où il y a le plus d’activités de vaisseaux de la Fédération Galactique.

Nous ne savons pas ce qu’il se passe là-bas, d’autant moins que nous ne sommes pas autorisés à nous approcher suffisamment, ni avec des vaisseaux de chasse, ni avec des drones, étant donné que l’Australie centrale, comme l’Antarctique, sont des zones d’exclusion aérienne imposées par la Fédération Galactique elle-même et pas seulement par les gouvernements humains.

Cependant, je reconnais que je ne sais pas si une partie de l’Australie centrale est une zone d’exclusion aérienne officielle du point de vue du gouvernement humain de la Terre. Je suis pratiquement sûre que ces soi-disant clôtures de contrôle de la faune sauvage sont en réalité une façon de contrôler et de limiter les mouvements des humains, en particulier des citoyens australiens.

Le trafic intense des vaisseaux alfratiens au-dessus de l’Australie a duré le temps que nous fassions trois autres orbites complètes autour de la Terre. Et ils nous ont quasiment heurtés à chaque fois que nous sommes passés au-dessus de l’Australie, et ensuite ils ont tous disparu.

Cela a fait que n’avons pas dormi de la nuit, nous attendant à une catastrophe à chaque nouvelle orbite, même si les dégâts auraient été pour eux, car nos boucliers étaient à leur maximum, donc leurs vaisseaux ne nous auraient pas touchés.

Ce qu’ils faisaient là-bas avec un aussi grand nombre de vaisseaux, cela reste inconnu, car la Fédération Galactique a tendance à ne pas répondre à nos questions, parce qu’ils aiment argumenter que nous n’avons pas besoin de savoir la plupart de ces choses. Mais nous, ce n’est pas ce que nous pensons. Ils sont tout sauf transparents.

Nous ne pouvons donc que spéculer sur ce qu’il se passait là-bas. Cela avait l’air d’être une sorte de changement de garde ou quelque chose comme ça, car il n’y avait pas seulement un exode, puisqu’il y avait autant de vaisseaux qui descendaient que de vaisseaux qui remontaient. Donc, le scénario le plus probable est que la Fédération Galactique a eu une réunion ou une série de réunions avec les Seigneurs suprêmes de la Cabale de la Terre, en utilisant ses bases centrales en Australie.

Ils préparent peut-être quelque chose pour l’Australie, mais normalement ça signifie que cela affectera la planète entière.

Comme vous le savez, l’Australie est une des régions de la Terre les plus contrôlées, étant donné qu’elle a un système de gouvernement très tyrannique. Il semblerait qu’ils soient en train de concocter quelque chose là-bas.

Il devrait y avoir eu beaucoup d’observations d’OVNI dans la nuit australienne du 19 au 20 octobre 2024, mais ces observations ont dû être principalement concentrées en Australie centrale, où il n’y a pas beaucoup de gens qui observent.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 18 octobre 2024 - Ma santé - Taygétiens malades à bord du Sadicléya - Mon travail de reine à Temmer

Auteur : Mari Swa
Publié le 19 octobre 2024

 
Ma santé, Taygétiens malades à bord du Sadicléya, Mon travail de reine à Temmer

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 18 octobre 2024.

La première nouvelle d’aujourd’hui : les Antariens signeront le traité d’Alcyone le dimanche 20 octobre 2024, si l’on prend une référence de temps terrestre. Ils le feront avec le roi Ruhr comme guide. Le traité sera signé en mon absence, étant donné que ces derniers jours je ne me suis pas sentie bien. De toute façon, il n’y a pas grand-chose à discuter, c’est le simple protocole qui consiste à accueillir les Antariens dans notre groupe. Mais j’aurais aimé être là-bas avec eux et avec les autres membres du Conseil Pléiadien d’Alcyone.

C’est juste que je me suis sentie très faible ces derniers jours, surtout hier quand je suis sortie du caisson médical sec après avoir reçu ma thérapie énergétique avec des cellules souches. Et pour dimanche, je m’attends à avoir encore peu d’énergie. Je mange à peine et j’ai besoin de beaucoup dormir, ce qui n’est pas facile non plus, avec toutes les douleurs que j’ai partout.

En plus de mon problème de diabète de type 1, plusieurs personnes ici sont tombées malades, comme si elles avaient développé une sorte d’infection pulmonaire ou bronchite, que nous pensons être due à la respiration accidentelle de spores de champignons, que nous avons détectés dans certains de nos véhicules à roues.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Les Taygétiens ont à bord de leur vaisseau, dans un grand hangar, toutes sortes de véhicules et d’engins volants de la Terre, tels que des voitures, des jeeps, des camionnettes, des hélicoptères, des avions de chasse, etc, avec lesquelles ils effectuent leurs missions sur Terre et dans l’atmosphère terrestre, afin de passer inaperçus – Fin de la note)*.

Parmi les personnes qui sont tombées malades jusqu’à présent, il y a Dhor Kàal’el, Tina (Athéna) et la petite Yazhi, qui a eu hier une terrible fièvre. Et bien sûr, moi. Et c’est exactement ce dont je n’avais pas besoin en ce moment, en plein milieu de mon traitement difficile pour le diabète.

Bien sûr, vous pourrez dire que nous devrions nettoyer plus souvent les véhicules qui ont été utilisés pour descendre sur Terre. Mais le véhicule en question est censé être propre, d’autant plus qu’il n’est pas descendu sur Terre depuis un certain temps. Cependant, ces petits champignons blancs poussent facilement dans les véhicules stockés (sur Terre on appelle ça du mildiou)* et peuvent être très dangereux pour nous. Et si vous tombez malade à cause d’eux, cela peut prendre des semaines pour guérir, donc il faut faire très attention avec ça.

Quant aux autres nouvelles, même si je me sens mal, je me suis rendue plusieurs fois à Temmer à Taygeta, en utilisant la technologie de présence à distance. Étant donné que j’étais censée superviser et approuver le projet d’expansion des chantiers navals au sud de la ville de Toléka, où sont construits la plupart des vaisseaux spatiaux de Taygeta, grands et petits.

Au sud et au nord de la ville de Toléka, il y a de vastes étendues plates de prairies, ce qui est adéquat, car la destruction de la nature y serait minime. De ce qu’on m’a dit, cette zone est constituée essentiellement de mauvaises herbes et de broussailles. Ce qui fait que même les grands ruminants sauvages pénètrent rarement dans cette zone, qu’ils n’aiment pas, car c’est trop sec et plein de bouts de bois emmêlés et de grands buissons secs.

Les ingénieurs de Taygeta devront enlever la couche supérieure du sol jusqu’à ce que le soubassement rocheux soit exposé, puis aplanir l’ensemble de cette zone en utilisant de la roche liquide, qui est beaucoup plus dure et résistante que le béton artificiel fait par les humains. La zone entière doit être préparée de telle sorte que le sol puisse supporter le poids très lourd de plusieurs grands vaisseaux spatiaux, par exemple les croiseurs lourds de classe Toléka.

Tant que j’étais là-bas, je suis également allée voir l’avancement de la construction du deuxième destroyer léger de classe Hyades, auquel j’ai déjà officiellement assigné la tâche de venir ici en orbite terrestre basse, pour remplacer probablement l’Aigle Vigilant vieillissant.

J’ai dû lui assigner cette tâche à l’avance, parce qu’il y a d’autres endroits où l’on a besoin de vaisseaux de cette classe. Par exemple, ils sont nécessaires pour patrouiller tout le périmètre autour de Taygeta et ses planètes, et aussi pour protéger l’ensemble des Pléiades ou amas stellaire M45, dans le cadre des accords du Conseil d’Alcyone.

Il y a 14 nouveaux vaisseaux en construction à l’heure actuelle dans les chantiers navals de la ville de Toléka et cela pourrait être vu comme le signe d’une sorte de paranoïa taygétienne, qui craignent d’être envahis. Je dis « ils » et pas « nous », parce que moi je vois les choses depuis une perspective légèrement différente, étant donné que je suis plus proche de l’endroit où ce problème à sa racine : la Terre et ses contrôleurs de la Fédération Galactique.

Le problème est que, bien qu’il y ait des milliers de Taygétiens travaillant sur la construction de ces nouveaux vaisseaux, et qu’ils sont plus nombreux qu’ils ne l’ont jamais été auparavant, ce ne sont pas eux qui les piloteront. Donc il semble que nous allions manquer de nouveaux équipages, y compris de nouveaux cadets. Parce que je les ai déjà tous assignés à tous les vaisseaux qui sont ici en orbite de la Terre. Et il n’y a plus d’autres nouveaux cadets, étant donné que la population totale de Taygeta est seulement d’environ 38 millions d’habitants, et que la plupart d’entre eux ont d’autres intérêts qui n’ont rien à voir avec les voyages spatiaux.

Par ailleurs, en allant dans la ville de Toléka, j’ai pu voir que la reconstruction après le cyclone qui a frappé toute la région il y a quelques mois, était terminée. Toutes les structures endommagées ont été reconstruites, tout est propre et la vie dans la capitale de Taygeta est revenue à la normale. Le soleil brille et le climat est chaud et agréable, comme toujours.

Et la dernière fois que je me suis rendue à Temmer en utilisant la technologie de présence à distance, ma dernière tâche en tant que reine de Taygeta a été d’aller constater sur place la nouvelle augmentation du rendement agricole, car toutes les plantations sont maintenant abondamment fertilisées avec des excréments de grands ruminants.

Mais je suis repartie de Temmer sans avoir obtenu de réponse à l’une de mes questions les plus importantes, qui est la suivante : d’où sortent-ils tous ces excréments de ruminants, alors qu’il n’y a pas de bétail à Taygeta ? Est-ce que ça veut dire qu’ils doivent aller dans la nature pour aller chercher ces excréments et les ramener ? Je me demande.

Et ces excréments de ruminants ne sont pas simplement jetés dans les plantations. Ils sont pulvérisés dans une machine, où ils sont mélangés avec de l’eau, avant d’aller nourrir directement les plantations. Un peu comme ce qui se fait en aquaponie, mais d’une façon adaptée à la terre sèche.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Définition Wikipédia de l’aquaponie :

C’est un système de production alimentaire durable qui unit la culture de plantes et l’élevage de poissons.

Les plantes sont parfois cultivées sur des billes d’argile, et peuvent être irriguées en circuit fermé par de l’eau provenant d’un aquarium où sont élevés les poissons.

Des bactéries aérobies présentes dans le substrat, transforment l’ammoniaque contenue dans leurs déjections en nutriments directement assimilables par la végétation. L’eau, ainsi purifiée, retourne ensuite dans l’aquarium.

Le mot « aquaponie », traduction de l’anglais « aquaponics », est un mot-valise formé par la fusion des mots « aquaculture » (élevage de poissons ou autres organismes aquatiques) et « hydroponie » (culture des plantes par de l’eau enrichie en matières minérales – Fin de la note]*.

L’aquaponie est d’ailleurs la méthode privilégiée pour cultiver des aliments à base de plantes à bord de grands vaisseaux comme les croiseurs lourds de classe Toléka et Sadicléya, car elle augmente considérablement leur indépendance par rapport aux lignes d’approvisionnement et leur temps d’autonomie dans l’espace profond.

Le problème est que tout le monde ne peut pas vivre en ayant une alimentation végétalienne, et cela rend les équipages comme le mien très dépendants de la Terre. Nous avons conscience que cela peut éventuellement être un problème lorsque nous devrons rentrer chez nous, car notre nourriture pourrait être alors difficile à trouver, mais dans mon cas, je ne prévois pas d’aller ailleurs, parce que la Terre est aussi ma maison et que j’en dépends.

Et à ce sujet, je tiens à remercier tous ceux qui me soutiennent de toutes les manières possibles, en particulier ceux qui me parrainent moi et mon équipe avec leurs dons répétés. La seule chose que je peux vous dire est MERCI. Vous faites toute la différence en nous permettant de rester ici en orbite. Merci. Je vous aime tous très fort.

Et je veux aussi remercier ceux qui laissent des messages minuscules avec leurs dons, en particulier ceux qui partagent avec moi leurs idées et suggestions sur la façon de traiter mes problèmes de santé. Toutes vos suggestions sont traitées et examinées, y compris par Sénètre la chirurgienne de ce vaisseau, pour évaluer comment elles pourraient tous nous aider. Merci encore une fois.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Si vous voulez faire un don à Mari et à l’équipe du Sadicléya : cliquez ici – Fin de la note)*.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

Nouvelles Spatiales du 13 octobre 2024 - Ma santé - Lettre ouverte aux Taygétiens - Comment j'écris mes textes - Situation actuelle

Auteur : Mari Swa
Publié le 14 octobre 2024

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci les matins du 11 et du 13 octobre 2024.

S’il vous plaît regardez cette vidéo jusqu’à la fin. Je ne dis pas cela pour bénéficier d’un algorithme de YouTube, ni rien de ce style. J’insiste pour que tout le monde regarde cette vidéo dans son intégralité, afin d’éviter que les gens ne tirent des conclusions hâtives sans avoir toutes les données. Comme cela est arrivé récemment avec ma vidéo dans laquelle je partageais que ma santé n’était pas bonne.

Parce que j’ai constaté que beaucoup de gens, aussi bien sur Terre qu’en dehors de la planète, ont commencé à relier ma mauvaise santé au fait de créer des vidéos quotidiennes, ce qui n’est certainement pas le cas.

Je me suis rendue compte que sur les réseaux sociaux, certaines personnes ont commencé à organiser le public, dont font partie beaucoup d’entre vous, pour que les gens s’unissent entre eux et insistent sur le fait que je devais arrêter de faire des vidéos, ou en tout cas, que je devais en faire moins, soi-disant parce que cela me fatigue et me rend très malade.

Certaines personnes peuvent s’organiser ou provoquer ce genre de mouvements sur les réseaux parce qu’elles sont sincèrement inquiètes pour moi, et je n’en doute pas. Mais d’autres personnes utilisent ma mauvaise santé pour justifier le fait qu’elles veuillent m’empêcher de travailler, car je vais contre leurs intérêts. En effet, beaucoup de gens auraient avantage à ce que je ferme ma bouche ou même que je disparaisse complètement.

Je ne suis pas Swaruu de Erra et je ne suis pas Anéeka de Temmer. Ma dynamique de travail est différente, tout comme ce qui délimite mon cadre personnel, ainsi que mes valeurs et surtout, mon éthique. Par conséquent, je sais ce que je fais. Je n’agirai pas et ne finirai pas comme elles.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Quand Mari parle d’éthique, elle ne dit pas que Swaruu de Erra et Anéeka de Temmer n’en avaient pas. C’est même tout le contraire, car elles étaient toutes deux dotées d’une très grande éthique, de beaucoup d’empathie et de très belles valeurs. Mais le problème est qu’elles étaient trop dans le sacrifice de soi et qu’elles ne posaient pas assez de limites dans leur travail de divulgation (qu’elles ont assumé quotidiennement pendant des années, en plus de tout le travail qu’elles avaient à accomplir à bord du vaisseau). Or, c’est ce qui a en partie été à l’origine de leur épuisement moral et physique, et de leurs problèmes de santé, qui ont fini par les conduire au décès.

En effet, si les Taygétiens ont globalement un organisme plus puissant, performant et endurant que celui des humains de la Terre, avec un système nerveux beaucoup plus dense et totalement symétrique à droite et à gauche, si bien qu’ils sont parfaitement ambidextres, qu’ils récupèrent beaucoup plus vite après un effort et cicatrisent 10 fois plus vite ; en plus de leurs tissus musculaires, qui sont également beaucoup plus denses, si bien qu’une femme taygétienne, même petite et menue, est aussi forte qu’un homme musclé de la Terre, et qu’un homme taygétien peut déplacer une voiture à mains nues sans problème, ils ont aussi le revers de la médaille, notamment au niveau de leur système nerveux.

En effet, celui-ci étant plus dense et performant que le nôtre, cela les rend aussi très sensibles et vulnérables au stress (d’autant plus qu’à Taygeta, ils ne sont pas habitués à en ressentir beaucoup), si bien qu’une trop grande exposition au stress peut littéralement finir par les tuer et ce, en peu de temps, même s’ils sont très jeunes et en très bonne santé.

Alors que les humains de la Terre, du fait d’avoir un système nerveux moins dense, asymétrique et avec moins de connexions, ont l’avantage d’être très résistants au stress (même s’ils peuvent aussi finir par en tomber malades et en mourir, mais cela prend souvent de longues années). Si bien que les Taygétiens disent qu’à ce niveau nous sommes comme « cuirassés » et plus adaptables à des conditions de vie hostiles – Fin de la note]*.

Encore une fois, je ne suis pas comme mes prédécesseures, car je suis beaucoup plus forte, surtout mentalement. Alors, s’il vous plaît, ne me mettez pas dans le même sac, et je dis ça principalement pour les gens qui les critiquaient à l’époque.

Non seulement j’aime écrire et partager toutes sortes de choses avec vous tous, mais c’est aussi l’une des rares distractions personnelles que j’ai et que je ressens comme un souffle d’air frais par rapport à tous mes devoirs de reine de Taygeta. Le fait d’écrire ne me rend aucunement malade, car je le fais à mon propre rythme et je prends le temps. Et le fait de créer des vidéos me rend encore moins malade, étant donné que c’est la partie la plus simple de ce travail.

Comme vous pouvez le voir, mes vidéos sont très simples, avec très peu d’images et de décorations internes, sauf si le thème l’exige. Ceci est dû au fait que je mets l’accent sur l’information, que je rédige comme si je parlais, et non pas sur quelque chose de divertissant à simplement regarder. Parce que mon contenu est destiné aux personnes qui ont de gros cerveaux et qui sont diplômées avec mention de l’Université Cosmique des Starseeds Théoriciens du Complot, si vous voyez ce que je veux dire.

Les images dans la plupart de mes vidéos ne sont que des décorations, c’est pourquoi j’utilise les mêmes encore et toujours. Ce qui importe vraiment c’est ce que j’écris, et je le fais de la manière la plus naturelle possible, simplement en parlant, comme dans un podcast.

Cela signifie également qu’il peut y avoir des erreurs dans mon texte, étant donné que je convertis mon texte en audio à peine quelques secondes après avoir terminé d’écrire. Donc ce n’est pas parfait, bien que j’essaie de faire de mon mieux pour corriger mon texte avant de le convertir en audio.

Il n’y a tout simplement pas assez de temps dans une seule matinée pour écrire de 1500 à 3000 mots, puis les corriger soigneusement à la perfection, puis les convertir en fichiers audio, et ensuite faire une vidéo avec ces fichiers pour la publier le lendemain. Mais créer mes vidéos quotidiennes me demande peu d’efforts, car ce qui est difficile c’est l’écriture elle-même, l’organisation et la création du contenu écrit, pas la vidéo en elle-même. J’adore écrire et j’écris autant que je le souhaite, mais c’est difficile pour l’esprit.

Mes amis du C.I.C m’aident aussi beaucoup, surtout avec leurs belles couvertures de vidéos, qu’ils créent eux-mêmes, et avec les deux mini vidéos qu’ils publient tous les mercredis (une en anglais et l’autre en espagnol)*, qui sont des extraits de vidéos plus anciennes et qui font revivre les informations pertinentes pour les nouveaux abonnés, en plus de me permettre d’avoir deux jours de repos au niveau de ma chaîne YouTube.

Les vidéos ne me rendent pas malade et si vous, vous avez l’impression qu’une vidéo par jour c’est trop, peut-être que ça l’est pour vous, mais pas pour moi, parce que c’est mon rythme de travail et c’est ma capacité de production, et je n’ai aucun problème avec ça. Je sais ce que je fais et d’ailleurs, je pourrais même augmenter ma production, mais je ne le ferai pas, parce que je veux aussi avoir un peu de vie, si vous me le permettez.

Alors, les sous-fifres ou les sbires de la Fédération Galactique sur Terre et hors de la planète : non, je ne flancherai pas et je n’arrêterai pas de faire des vidéos. Et ceux d’entre vous qui souhaitent que je cesse de faire autant de vidéos parce que vous êtes sincèrement inquiets, merci du fond de mon cœur, ce que je viens de dire ci-dessus n’est pas pour vous.

En réalité, ce qui me rend malade est très compliqué et inclut la pression que j’ai en tant que reine de Taygeta, je ne le nie pas. Cela implique aussi beaucoup de pression émotionnelle. Cependant, j’aime mon travail et mon rôle de reine. Je suis tout à fait capable, comme je l’ai prouvé maintes et maintes fois, et je continuerai de le faire comme l’une des missions et l’un des buts de ma vie.

Ce que je vais dire maintenant est une note ou une lettre publique ouverte à mes amis Taygétiens, qui sont ici avec moi sur le vaisseau Sadicléya.

Je suis pleinement consciente d’être la deuxième plus jeune personne à bord, après la petite Yazhi Sophia, mais s’il vous plaît, arrêtez de me traiter comme une enfant. Je porte une grande responsabilité sur mes épaules en tant que reine, qui doit veiller aux intérêts de tous et de toute la civilisation taygétienne, ainsi qu’aux intérêts d’autres civilisations qui sont également impliquées, comme celle de la Terre. J’ai prouvé que je suis non seulement capable de jouer mon rôle, mais aussi d’être beaucoup plus mature et responsable que beaucoup d’autres personnes qui ont plusieurs fois mon âge.

Je comprends que vous me verrez toujours comme une enfant, comme une adolescente, et je vous remercie de prendre soin de moi. Mais s’il vous plaît, aidez-moi seulement quand et où je vous le demande, et pas seulement quand et où vous pensez que j’en ai besoin.

De plus, bien que j’aie conscience que vous êtes tous surchargés et même accablés par le travail, j’en ai assez que vous me chargiez de vos responsabilités quand cela vous convient, attendant de moi que je résolve quasiment tout parce que je suis reine, et qu’ensuite vous me traitiez comme si j’avais 9 ans, quand cela vous convient aussi. Pardon Yazhi, je ne veux pas t’offenser.

Je sais que jusqu’à récemment, je jouais encore avec Yazhi aux poupées et à glisser sur du savon étalé sur le sol du vaisseau. Je sais que je n’ai que 16 ans, mais s’il vous plaît, traitez-moi comme une adulte, parce que je fais des choses d’adulte et je les fais très bien. Quand bien même il se trouve que j’aime toujours mes jeux vidéo et mes activités sportives, l’un n’empêche pas l’autre. Je vous aime tous, mais laissez-moi faire mon travail du mieux que je le peux. Je sais ce que je fais.

À propos de ma santé. Sénètre, la chirurgienne de ce vaisseau, m’a placée dans un caisson médical sec plusieurs fois depuis ma vidéo intitulée « Je ne vais pas bien ». Depuis lors, elle a continué de m’injecter des cellules souches spécialement fabriquées et conçues pour moi, avant de me placer dans le module médical et ce, durant plusieurs nuits, qui ont duré chacune entre 15 et 17 heures.

Et bien que je me sois rétablie à 35%, ce pourcentage baisse beaucoup chaque fois que je mange, ce qui signifie que mon métabolisme est en très mauvais état et que mon horrible diabète de type 1 ne se résout pas comme Sénètre l’espérait et l’avait prévu. Et tous mes symptômes ne se sont pas améliorés non plus.

Sénètre me donne seulement deux options, et aucune d’entre elles n’est bonne ou confortable pour moi. Ce qui est médicalement recommandé en cet instant, c’est que je démarre une récupération complète, c’est-à-dire la restauration de tout mon corps, dans un caisson médical humide, pendant au moins deux mois.

Comme il a déjà manqué une reine à Taygeta, Alenym, qui est dans un caisson médical humide après avoir subi une attaque très élaborée contre sa vie, je ne peux pas me placer moi aussi dans un caisson médical humide, parce qu’il n’y aurait alors personne pour assumer mon rôle, et encore moins à mon goût.

Alenym est dans un caisson médical humide depuis plus de 3 mois, qui est le temps maximum nécessaire pour la restauration complète du corps. Mais le problème est qu’elle n’est plus ici près de la Terre, elle est maintenant à Temmer, et il y a un glissement temporel considérable entre la planète Temmer et la Terre, avec un rapport de 4,6 / 1. Ce qui fait que les 3 mois ne se sont pas encore écoulés pour elle là-bas. Donc selon nos calculs, nous pouvons espérer qu’elle sortira de son caisson médical vers le milieu de l’année 2025. L’écart qui est causé par le glissement temporel fait que pour chaque jour sur Temmer, 4,6 jours passent sur Terre.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Autrement dit, la perception du temps à Taygeta est beaucoup plus lente que sur Terre, et d’ailleurs cette perception diffère en fonction de chaque planète et des accords de perception des peuples qui y vivent. Ces glissements temporels d’un monde à l’autre sont donc quelque chose de normal et naturel. Et c’est pour cette raison que les différentes races de la Fédération Galactique ont souvent du mal à toutes se synchroniser pour participer à une réunion. Mais là où c’est moins naturel et plus négatif, c’est que sur Terre cette perception du temps est de plus en plus rapide, et que cela est dû à la sur-stimulation cognitive que subit l’humanité au quotidien, ce qui est calculé et voulu par la Cabale pour que nous ayons de moins en moins le contrôle de nos vies, et donc que nous soyons de plus en plus soumis. En 1985, pour chaque jour passé à Taygeta, 2,4 jours s’écoulaient sur Terre. Mais depuis 2018, la perception du temps sur Terre s’est considérablement accélérée, à tel point que ce rapport entre Taygeta et la Terre a presque doublé, en passant de 1 jour / 2,4 jours à 1 jour / 4,6 jours – Fin de la note)*.

Ma seule autre option est d’entrer dans un caisson médical sec, deux ou trois fois par semaine, avec une thérapie intraveineuse complète de cellules souches pendant le sommeil artificiellement induit, le tout étant une torture.

C’est vraiment horrible de vivre tout ça, mais je préfère la torture que de quitter mon poste de reine de Taygeta et toutes mes autres responsabilités, y compris celles de ma chaîne YouTube, car je sais très bien que personne d’autre ne fait ce type de travail.

Sénètre, qui n’est pas tout à fait d’accord avec moi, espère qu’avec la thérapie du module sec avec des cellules souches deux à trois fois par semaine, mon métabolisme et mes organes endommagés pourront se rétablir progressivement et complètement, comme si je me trouvais dans un caisson médical humide, bien que cela prendra probablement beaucoup plus de temps que trois mois.

Je ne peux pas m’offrir le luxe de passer plusieurs mois dans un module humide, car je me réveillerais dans un monde très différent.

Mes conseillers les plus proches m’ont conseillé de ne pas parler de mes faiblesses, car ceux qui s’opposent à moi en profitent. Mais pour moi, partager cela n’est pas un signe de faiblesse, bien au contraire.

Malgré tout ce que je dois traverser, la torture et tout, je continuerai ici à mon poste en tant que reine de Taygeta et en tant que Youtubeuse depuis un vaisseau spatial.

Je ne suis pas faible et je vais guérir sans avoir besoin de renoncer aux multiples devoirs que je m’auto-assigne. Je sais que la vie est dure et je ne vais pas prendre le chemin facile et confortable pour m’en sortir. Que ce soit dur ou non, j’irai dans la direction qui est nécessaire. Ce qui doit être fait, sera fait. Je ne vais pas m’arrêter.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~