Gosia face caméra :

« Bonjour les amis ! Surprise surprise, aujourd’hui je vais partager avec vous une vidéo assez différente, assez… personnelle. Et donc je vais partager avec vous certaines choses de ma vie… Et dans quel but je fais cette vidéo ? Pourquoi j’ai décidé de la faire ? Et pourquoi je veux vous parler un peu de ma vie personnelle ?

En fait, je me rends compte que le fait de divulguer et de partager ces connaissances que nous transmettent les Taygétiens, m’amène à devoir aussi vous parler un peu de qui je suis.

Bon, honnêtement, je me sens un peu comme un candidat à la présidence, sachant que certaines histoires circulent sur moi et que j’ai envie de partager avec vous des aspects de ma vie pour clarifier les choses, pour que ceux d’entre vous qui sont peut-être un peu confus par rapport à certaines choses qu’ils auraient vu circuler sur les réseaux à mon sujet, puissent mettre un peu plus de contexte autour de tout ça.

Et là je fais surtout référence à cette fameuse chanson que j’ai composée il y a 1 an et que tout d’un coup les gens ont découverte… et ils sont étonnés, alors que ça fait quelque temps que ce vidéo clip est sur ma chaîne musicale de YouTube. Et certains d’entre vous n’arrêtent pas de me demander encore et encore des explications sur la signification de cette chanson et de ce vidéo clip…

Et moi je ne voulais pas forcément entrer dans ce genre de choses, ni partager avec vous des bouts de ma vie que je considère comme personnels, car je pensais que ça n’avait aucun rapport avec ce que nous faisons Robert et moi avec cette divulgation Taygétienne. Et effectivement, ça n’a aucun rapport.

Mais, j’ai finalement décidé de partager avec vous des choses sur moi, sur qui je suis, pour que vous puissiez avoir un peu plus de contexte.

Parce que sinon, si je ne le fais pas, les spéculations vont continuer, et parfois quand on ne donne pas le contexte, quand les choses sont sorties de leur contexte, c’est là que des spéculations se forment et je voudrais donc stopper toutes ces spéculations et ces doutes.

Voilà… Alors bienvenue dans la vie un peu plus personnelle de Gosia, et vous pourrez ainsi parvenir à vos propres conclusions, par exemple sur comment cette composition musicale et ce clip s’articulent avec ma vie.

Je vais maintenant partager quelques photos de moi et nous allons commencer avec cette première photo.

Bon, moi je suis née en Pologne, en août 1977. Et ça c’est moi, bébé. J’ai environ 1 an.

Quand j’ai eu 22 ans, je suis partie de Pologne et je suis allée aux Etats-Unis, pour participer à un programme d’échange de fille au pair, pour s’occuper d’enfants. Ça avait toujours été mon rêve d’aller à New York. Et là sur cette photo, je réalise ce rêve, je suis très heureuse. Là j’ai 22 ans.

Et bon, j’ai fait ce travail pendant environ un an, en m’occupant d’enfants. Et ensuite, je suis restée aux Etats-Unis pendant environ deux ans. Et… je fais un résumé au fur et à mesure, ok ? Pour ne pas trop allonger cette vidéo.

Ensuite… ici sur cette photo, devinez où je suis ? Après les Etats-Unis, je suis allée en Australie, où j’ai vécu trois ans en étudiant. J’ai fait des études de religion comparée. On étudiait et on comparait, de manière assez neutre, les différentes philosophies, les mouvements spirituels et les religions du monde entier. Et j’ai passé trois ans dans ces études, là-bas en Australie.

Sur cette photo j’ai terminé mes études, j’étais très heureuse. Et bon, la vie m’a ensuite menée jusqu’au Costa Rica. Quand j’avais environ 28 ans, je suis allée vivre là-bas au Costa Rica.

J’y ai vécu cinq ans et demi. Les 2 premières années, euh… je n’ai pas fait grand-chose. Mais au final, je me suis un peu ennuyée du fait de ne pas faire grand-chose et j’ai ressenti le besoin de me lancer dans un projet créatif. Parce que j’ai toujours été très créative, à faire des choses et à créer des projets. J’ai toujours eu besoin d’être occupée par un travail ou un projet qui me plaise.

Et donc, à ce moment-là, j’aimais beaucoup la mode gothique. Car j’étais assez rockeuse à cette époque-là. Alors, j’ai eu l’idée d’ouvrir une boutique, une boutique alternative. C’était un peu… Ici vous pouvez voir le design de cette boutique que j’ai dessiné moi-même. J’ai tout conçu et peint moi-même jusque dans les moindres détails. Et j’avais des designers de mode alternative qui vendaient leurs créations dans ma boutique.

La boutique s’appelait Marilyn Boutique. Ici sur cette photo, vous pouvez la voir. Ça c’était l’entrée sur le côté, dans un centre commercial.

Et à cette époque, comme je l’ai dit, j’étais assez rockeuse, j’aimais la musique rock, la musique métal, tout ça. Et c’était normal. On n’était pas dans les années 70 non plus. Parce que des fois je me sens jugée pour mes goûts musicaux, comme ceux de la génération des années 70, qui étaient jugés par leurs grands-parents. Par exemple quand les Rolling Stones ont sorti leurs premières chansons, ils disaient qu’ils étaient diaboliques. Ou quand Elvis Presley a fait son premier concert, avec ses mouvements du bassin et les gens étaient choqués…

Mais on est au 21ème siècle maintenant… J’imagine que beaucoup d’entre vous sont allés à des festivals ou à des concerts, par exemple de Metallica, ou d’autres groupes comme ça… Alors, je pense que n’importe qui avec un peu de culture musicale va comprendre de quoi je parle.

Et donc, dans cette boutique, j’organisais plusieurs événements. Par exemple, des défilés… des défilés de mode alternative. J’avais plusieurs amis qui me servaient de mannequins. Par exemple, ici, je suis avec un groupe d’amis, je suis au milieu avec les cheveux noirs, et je suis entourée de plusieurs amis qui portent différents modèles de leurs créations.

Ici, c’est moi aussi, dans ma boutique… Là je crois que c’était le jour d’Halloween, donc je m’étais créé ce look un peu spécial. J’aimais beaucoup la mode victorienne, burlesque, cabaret, tout ça… Maintenant, je ne suis pas aussi sophistiquée.

Ici, j’ai une autre photo… J’aimais beaucoup prendre des photos et aussi être modèle dans différents types de séances photos, parfois dans des styles nostalgiques, un peu dark… Ici, j’ai une photo de moi comme ça… Là j’en ai une autre… Ça c’était… je sais pas, quand j’avais 30 ans, il y a environ 10 ans…
Ici j’en ai une autre, où j’ai un style plus victorien… Ça c’est ma boutique de mode… Ça c’est moi aussi… Et encore une autre photo de moi…

Donc, vous pouvez voir que j’étais assez ouverte au fait d’explorer différents styles… Là c’est moi aussi, je suis un peu plus élégante.

Et là je suis avec des gens, avec mes amis, avec qui j’avais organisé un défilé de mode dans une sorte de théâtre, pour montrer différents styles alternatifs, pour encourager un peu les gens à aller au-delà de leurs habitudes vestimentaires.

Parce qu’on était au Costa Rica vous savez, et la majorité des gens là-bas… Enfin, je dis pas que c’est le cas seulement au Costa Rica… ailleurs aussi… les gens ne cherchent pas plus loin que le style commercial.

Mais moi je cherche toujours à aller au-delà, et je fais ça dans tous les domaines, comme vous pouvez le constater. Je vais au-delà de nos connaissances, au-delà des modes, etc. J’aime aller au-delà de la norme, j’aime explorer, et je cherche toujours à aller plus loin…

Et donc j’ai organisé ce défilé, et là c’est moi avec la perruque de Marie Antoinette, avec un style un peu burlesque. Ça c’était à la fin du show.

Ici, je suis avec mon frère. Et vous pouvez voir que tout d’un coup j’ai les cheveux blonds. Parce que j’aime changer, explorer de nouveaux styles, j’ai différentes facettes, pas seulement une, j’en ai plusieurs. Et je parlerai un peu de ça à la fin de la vidéo.

Ici, j’avais écrit un livre. Oui, j’ai écrit un livre, en anglais. Mais s’il vous plaît, ne vous faites pas tout un film autour de cette image. Cette image avait été dessinée par un ami, lui aussi créateur de mode, qui vendait des vêtements dans ma boutique et qui était aussi un artiste. C’est lui qui a créé la couverture de mon livre. Ce loup représente mon chien. Le chien husky que j’avais à ce moment-là et qui ressemblait à un loup.

Le livre que j’ai ici, qui est le livre que j’ai écrit, c’est comme un journal intime. Et d’ailleurs, je l’ai auto-publié, il est là-bas, je n’ai rien fait avec ce livre, mais en tous cas je l’ai écrit en me basant sur les questions spirituelles que je me posais.

En fait, à la base j’avais un vrai journal intime, dans lequel j’écrivais tout le temps mes questionnements, et où je me répondais à moi-même, partant dans mes réflexions et m’apportant à moi-même de possibles réponses… Et je les partageais avec mon petit ami, que j’avais à ce moment-là.

Et lui, en écoutant mes questionnements, il m’a encouragée et m’a dit : « Et tu sais quoi ? Pourquoi tu ne mettrais pas tout ça dans une sorte de livre ? Ça intéressera peut-être certaines personnes de lire les questions que tu te poses et les réponses que tu trouves. Qui sait ? ».

Alors voilà, j’ai écrit ce livre. D’ailleurs, il s’appelle en anglais « Odyssey of an airhead », ce qui veut dire « Odyssée d’une »… euh… comment je pourrais traduire ça ? … « Odyssée d’une tête en l’air », quelque chose comme ça. Parce que c’est un peu comme ça que je suis, comme certains d’entre vous le savent, un peu innocente, je sais pas, un peu dans la lune…

Donc j’ai écrit ce livre. Et en 2012, non, en 2011, c’était en 2011… j’ai décidé de retourner en Europe, dont j’étais partie depuis 12 ans, et j’ai décidé d’aller vivre à Barcelone.

Mon idée à ce moment-là, c’était… parce que c’est ça aussi que je veux expliquer un peu plus… Moi, lorsque je me retrouve longtemps dans un certain type d’environnement ou dans un certain style esthétique, je finis par m’ennuyer. Car moi je suis toujours en mouvement. J’aime explorer, créer et découvrir différentes facettes de la vie et de moi-même.

Par conséquent, en étant dans cette boutique gothique pendant 2 ans et demi, j’ai fini par m’ennuyer, honnêtement. Je m’étais lassée de ce style esthétique, des gens habillés en noir et tout ça… même si c’est une mode très créative, que ça fait appel à la créativité, et que tout n’est pas toujours en noir, évidemment… Mais bon, la plupart du temps, oui, c’est du noir… Alors du coup, j’ai eu envie d’explorer quelque chose de différent.

Comme si une part de mon âme disait : « Maintenant j’aimerais me consacrer à quelque chose de plus, je sais pas… De plus lumineux ! »… Je n’avais plus envie d’être dans ce côté mystérieux, mystique et introverti. J’avais envie de quelque chose d’un peu plus rayonnant et extraverti.

Alors j’ai décidé d’ouvrir une boutique consacrée à la spiritualité et à la métaphysique, que j’ai appelée « Agencia Cosmica ». Et j’ai eu cette boutique dans le quartier Gracia à Barcelone, en 2011, pendant deux ans.

Ici, j’ai le design de la boutique. C’était comme une navette spatiale. Et d’ailleurs c’est moi qui l’ai dessinée. J’adore le design, j’aime créer, dessiner et tout ça ! Le design d’intérieur, créer de la musique, la mode… Je suis comme ça, j’aime créer des choses.

Alors, j’ai dessiné cette boutique comme un vaisseau cosmique, un vaisseau spatial, comme le film Star Trek, avec l’entrée comme dans Star Trek… Il y avait des encens, des pierres, des choses de ce style… Là vous pouvez voir le nom : « Boutique Agencia Cosmica ». Et ça c’est mon chien – loup, il s’appelait Shanti.

Les gens pouvaient aussi se faire tirer les cartes du Tarot, ou se faire faire un massage dans l’arrière boutique… Et voilà… Cette boutique a aussi été une étape intéressante, pendant les deux ans et demi que je l’ai eue…

Ici, vous pouvez voir que je vendais aussi parfois les produits de ma boutique sur des marchés, dans des féria… Ici j’ai du Palo Santo, là j’ai des orgonites… Voici encore une autre photo…

En fait, par rapport à toutes les photos que j’ai, et même par rapport à tout ce qui me concerne, je suis très ouverte et transparente. Il n’y a pas besoin d’enquêter sur moi, en mode Sherlock Holmes pour aller voir ce qu’on peut découvrir sur Gosia !

En fait non, tout est sur mon Facebook, qui est un compte public. Tout est sur mes chaînes YouTube. J’ai une chaîne de musique qui s’appelle « Dagger Sol » et j’ai une chaîne de voyages, « My Odyssey », où je publie mes vidéos de voyages.

Alors, si quelqu’un se met à faire des recherches sur moi, il trouvera aussi ce genre de choses. Donc je sais pas vraiment pourquoi on raconte ces trucs sur moi… Enfin, si, je sais pourquoi ! En fait, certains veulent monter toute une histoire sombre en sortant des choses de leur contexte… Mais ici j’ai encore plus de contextes ! Comme on peut le voir, j’ai encore plein de choses intéressantes sur ma vie…

Après avoir fermé ma boutique, en 2013, plus ou moins, je ne me souviens pas très bien de la date, la boutique ne marchait plus aussi bien. Bon, disons que ça marchait bien, mais pas assez pour pouvoir employer des gens… Par conséquent, il fallait que je sois tout le temps dans la boutique, et je m’ennuyais beaucoup car je me sentais enfermée comme dans une boîte, 24 heures sur 24… Parce que oui, c’était 24 heures, parce que je vivais derrière la boutique. Ce qui fait que je ne sortais même pas dans la rue pour sortir et revenir à la boutique. Et je travaillais aussi le samedi. Alors, je me sentais comme une prisonnière de ma propre boutique. Alors, j’ai décidé de la fermer…

Et maintenant passons à mon projet suivant ! Ah, d’ailleurs, c’est à cette époque que j’ai fait la connaissance de Robert et qu’on est devenu amis et colocataires. Et quand j’ai fermé ma boutique, on a décidé de se lancer tous les deux dans l’immobilier !

La première année on travaillait dans une dans une agence immobilière du quartier où on vivait. Et bon, c’était pas super, honnêtement… Mais au bout d’un an, nous avons collaboré à 4 pour monter un truc, moi, Robert, et deux autres associés. Nous avons monté notre propre agence immobilière. Et ici, vous pouvez me voir dans une autre facette, c’est-à-dire moi en agent immobilier, en business woman. Et là je suis en train de repérer des appartements… Des appartements, et encore des appartements, un peu partout dans Barcelone…

Et bon, après environ deux ou trois ans à faire ça, j’ai compris que ce n’était pas mon truc, que ce n’était pas pour moi parce qu’il y avait trop de stress, je n’aimais pas du tout, il n’y avait rien de spirituel là-dedans. Mon âme se sentait déjà oppressée.

Parce qu’avant, j’ai étudié la religion comparée en Australie. Ensuite au Costa Rica j’ai eu cette boutique alternative de mode gothique – rock, qui était aussi une expression artistique de quelque chose.
Et après, à Barcelone, j’ai eu cette boutique ésotérique… Et tout d’un coup, je me suis retrouvée dans le monde des affaires, à négocier avec les investisseurs d’Israël, à vendre des immeubles et des choses comme ça.

Ça a été amusant pendant un certain temps, parce que comme je l’ai déjà dit, j’aime explorer différentes facettes de la vie et différents aspects de moi-même, me retrouver dans différentes situations et interagir avec ces situations.

Donc au début je me suis amusée, mais après, il y avait trop de stress. Et j’ai perdu beaucoup de poids en marchant partout dans la ville, en recherchant des appartements, en allant à des tas de rendez-vous, en passant tout le temps des appels, mon téléphone n’arrêtait jamais de sonner, à devoir toujours me battre en quelque sortes… Vous savez, le monde immobilier c’est beaucoup de mouvement et toujours courir partout, se battre, etc.

Alors Robert et moi, nous avons décidé au même moment de quitter l’immobilier et… je crois que c’est à ce moment-là que Robert a décidé d’ouvrir sa chaîne YouTube… plus ou moins, je ne me souviens plus très bien. Mais moi, je suis sortie du monde de l’immobilier et j’ai trouvé un travail à l’école d’anglais à Barcelone.

Là c’est moi, avec mes élèves, à l’école de Barcelone, en train d’enseigner l’anglais. Et j’ai travaillé là-bas pendant environ un an et demi… et c’était bien, c’était très tranquille, amusant, il n’y avait aucun stress, c’était vraiment un bon travail, j’avais de bons horaires, je travaillais à mi-temps, avec du temps libre les matinées pour réaliser mes vidéos, car j’avais déjà créé ma chaîne YouTube Agencia Cosmica et j’interviewais des gens, c’était comme un loisir…

Et comme vous le savez, ou peut-être que certains ne le savent pas, en juin dernier, j’ai décidé de quitter cette école, même si tout allait bien pour moi là-bas, mais j’ai pris le risque, parce que fin 2017 j’ai reçu ce contact des Taygétiens et j’ai décidé de me consacrer entièrement à cette divulgation et à ce travail, car c’est un vrai travail de créer des vidéos à plein temps.

Voilà, donc ça c’est à peu près ma trajectoire de vie, en gros… Et j’ai énormément voyagé, surtout quand j’étais au Costa Rica, parce qu’au Costa Rica, on devait sortir du pays tous les 3 mois pour renouveler le passeport. J’ai donc voyagé dans toute cette zone autour du Costa Rica. Et tous mes voyages, absolument tout est sur mon Facebook, où j’ai un tas d’albums photos. Tout est disponible là-bas, si ça intéresse quelqu’un, bien sûr.

Et donc… Il y a plus ou moins 3 ans, je ne suis pas très bonne avec les dates, donc il y a environ 3 ans… oui, on revient maintenant à ma chaîne de musique. J’ai décidé de commencer à faire de la musique, parce que mon ex petit ami aimait beaucoup la musique, les concerts, et il avait beaucoup d’amis musiciens. Alors c’est comme ça que je suis entrée dans ce monde, que j’ai aussi voulu explorer. Je voulais savoir faire de la musique, alors j’ai commencé à faire des compositions musicales dans mon lit, de manière pas très professionnelle, sans rien mastériser, c’était super amateur…

Et j’ai découvert qu’en réalité c’était pas si difficile pour moi de créer de la musique… J’ai commencé à créer différentes compositions, de différents styles de musique, que ce soit de la musique électronique, ou plus classique, ou plus relaxante, ou plus joyeuse, ou des compositions de piano… de tous les styles…

Et maintenant… maintenant je veux en venir à ce clip, je veux vous montrer cette vidéo, qui a étonné beaucoup d’entre vous, qui se sont demandés : « Mais oh my god, qu’est-ce que c’est que cette vidéo ?? ». Et moi je me dis : « Vraiment ? Ça surprend vraiment tant que ça ?? ». Je sais pas… Mais bon, je vais l’expliquer un peu plus, pour vous rassurer, parce que… c’est clair que je ne suis pas du tout une sataniste, que les choses soient claires…

Alors, comme vous pouvez le voir sur ma chaîne musicale, mes vidéos précédentes ont toutes été créées à partir d’images ou de vidéos provenant d’autres vidéos. Et donc quand je faisais ces vidéos pour ma musique, j’avais tout le temps des avertissements de copyright, du fait de prendre des images et des vidéos dans d’autres vidéos. Donc j’avais toujours des problèmes de droits d’auteur.

Alors, un jour, je me souviens que je me suis sentie mal et j’y ai réfléchi, et je me suis dit : « Pour ne plus m’inquiéter du copyright, je vais m’utiliser moi-même pour créer mes vidéos, et comme ça plus de problème ! ».

Alors je me suis dit : « Bon, comment je pourrais faire ? ». Et c’était vraiment comme ça, dans une pièce, chez moi, dans l’appartement que j’avais avant, je me suis mise dans un coin de la pièce, et sans vraiment réfléchir, j’ai simplement ressenti la musique en me demandant : « Qu’est-ce que je veux exprimer ? Qu’est-ce que je ressens là maintenant ? Quelle est la facette de moi-même que je veux transmettre maintenant dans cette vidéo ? ».

Et ce que je voulais exprimer, ce que j’exprime pour moi dans cette vidéo, c’est… maintenant je vais approfondir un peu plus les choses, je vais creuser un peu plus et être plus personnelle dans mon explication de comment moi je suis…

En fait, comme vous pouvez le voir, en plus d’être comme ça, une personne heureuse, positive, joyeuse et extravertie, j’ai aussi un autre côté, une autre facette qui est assez nostalgique et mélancolique, qui ne s’adapte pas à la société et qui porte beaucoup de solitude intérieure.

Car durant toute ma vie, j’ai toujours recherché mon identité, comme beaucoup d’entre vous aussi, je sais. On ne s’adapte pas, nous ne sommes pas d’ici, nous sentons que nous venons d’un autre monde au-delà…

Et moi j’ai toujours ressenti ça, j’ai toujours ressenti cette… cette mélancolie pour identifier ce qui n’est pas identifié à l’intérieur de moi-même, comme s’il y avait une couche de moi que je ne pouvais pas très bien comprendre. Une couche très souterraine, mystique, énigmatique, mystérieuse, que même moi je ne peux pas très bien identifier. Quelque chose qui est au-delà… Au-delà des dualités, au-delà des règles, des normes… Je sens que mon essence est un peu… au-delà de tout ça, au-delà de toutes ces étiquettes.

Je ne suis pas seulement la couleur noire, je ne suis pas seulement la couleur blanche, je suis tout. Il y a en moi un être qui n’a pas de forme spécifique, qui est sans forme et qui ne peut pas être identifié seulement comme une chose ou une autre… Je suis une exploratrice… Je suis en quelque sorte un caméléon.

Je peux aimer la couleur blanche aujourd’hui, et demain je peux vouloir explorer la couleur noire, en m’observant moi-même dans ma propre manifestation de n’importe laquelle de ces facettes. En entrant dans l’une de ces facettes, comme dans une danse étrange, puis en m’observant depuis ce point de vue, et en observant la réalité depuis cette facette de moi-même… Pour ensuite, entrer dans un mode plus joyeux et plus extraverti.

Voilà, donc comme vous le voyez, je ne suis pas si simple, je suis assez compliquée parfois. Et c’est pour ça que je crée ce genre de chansons, de danses, et tout ça… Mon être… mon être n’a pas de forme identifiée. Il n’a pas seulement une facette avec laquelle on peut s’identifier. Moi-même, je ne sais pas avec quoi exactement je peux m’identifier, à part le champ du grand TOUT.

Je ressens que mon essence est à l’intérieur du grand TOUT. Et c’est pour ça que j’aime changer, que j’aime le mouvement, que j’aime me recréer, que j’aime explorer. J’aime transmettre et être libre, être rebelle, être moi-même et être heureuse dans tout ça.

Sans honte, sans peur, sans craindre les préjugés… sans avoir peur d’absolument rien ! Je veux simplement ÊTRE ! Être tout ce dont j’ai envie dans l’instant.

Je me suis toujours sentie assez seule, en gros durant toute ma vie. Et ça ne veut pas dire que je n’ai pas eu d’amis, que je n’ai pas eu de présence de gens autour de moi… Bon, pas beaucoup non plus, je n’en ai jamais eu énormément, mais j’en ai eu…
Mais en fait c’est une solitude intérieure, très profonde. Cette nostalgie de ne pas savoir d’où je viens, qui je suis et pourquoi je suis là. Vous voyez ?

Donc ce genre de solitude est quelque chose qui m’a toujours accompagnée dans ma vie. Et je l’aurai toujours, d’une certaine manière, même si quand j’ai connu Swaruu, grâce à elle, j’ai pu identifier un peu plus les éléments de ma vie personnelle plus profonde et plus spirituelle… Elle m’a beaucoup aidée par rapport à ça et je suis maintenant plus en harmonie avec mon identité. Je comprends mieux les choses.

Mais je peux être heureuse et je peux être très triste en même temps. Et ce n’est pas une tristesse en mode « Bouh, je suis triste ! ». Non, c’est une sorte de douleur interne de l’âme, une douleur existentielle. Et j’ai les 2 en même temps. Je peux être heureuse et avec la douleur existentielle en même temps. Comme deux extrêmes, deux contrastes qui sont en moi en même temps. Et pour moi, ce n’est pas une contradiction. Je peux ressentir deux choses contraires en même temps. Je peux vraiment ressentir ces deux sensations à la fois.

Et je peux interagir avec la vie et avec l’expression de moi-même, de ces deux manières. J’aime beaucoup le contraste et le fait de pouvoir m’exprimer entre ces contrastes.

Et si vous allez voir ma chaîne musicale, Dagger Sol, qui est ouverte à tout le monde et qui a toujours été ainsi et qui sera toujours comme ça, vous verrez que ce clip vidéo y est depuis quelque temps. Et sur la chaîne, vous pourrez voir toutes ces différentes facettes et contrastes. J’ai des compositions qui sont très joyeuses, très électroniques, sur lesquelles on peut danser. Et ensuite, il y a des compositions très relaxantes, plus lumineuses et plus, disons, acceptables… Mais après, il y a aussi de la musique classique. Il y a de tout.

Parce que j’aime beaucoup aller chercher ces harmonies, ces sons et ces sentiments au fond de moi, et pouvoir les exprimer à travers la musique, et à travers le mouvement.

Et pourquoi dans le fameux clip, je bouge comme ça de façon si bizarre ? Parce que les gens peuvent se dire : « Mais comment elle bouge ? Cette danse est tellement bizarre ! ». Mais en fait, ce que je voulais exprimer dans cet instant, c’était cette sensation de ne pas me sentir comme une personne normale qui parvient à s’adapter à ce monde. Une personne qui se comporte toujours selon les règles et selon les normes.

Parce que je ressens une grande rébellion contre n’importe quelle force qui vient du monde extérieur, ou d’autres personnes, qui veulent m’écraser ou me faire rentrer dans un cadre de comportement socialement accepté…

Et en fait, c’est une très bonne chose que des gens aient critiqué ce vidéo clip…

Parce que ça, c’est aussi lié au thème des extraterrestres. Et au fait que beaucoup de personnes estiment que les extraterrestres de 5D devraient être comme ça, et pas comme ça… Ces personnes disent : « Ah non, ça, un extraterrestre ne le ferait pas ! Ou ça, une personne de 5D ne le dirait ou ne le ferait jamais ! ».

Et on dit la même chose de moi, comme par exemple : « Gosia est censée être spirituelle ! Elle croit que cette façon de danser c’est spirituel ? ».

Et pourquoi pas ? Pourquoi est-ce qu’on s’impose ces règles ? Notre être n’a pas de limite. Il n’a pas de limite d’expression. Et il englobe tout. Nous sommes au-delà de ces polarités, de ces dualités. Nous sommes le grand Tout. Et nous avons la liberté d’explorer et de nous exprimer de millions de manières différentes. Du moment que nous ne faisons de mal à personne.

Et je crois qu’ici aussi… ici on retrouve aussi cette mentalité holographique, cette vision holistique de la 5D, qui rend capable de voir deux contradictions apparentes, deux contrastes, et de les voir, de les considérer comme une unité. Comme une partie du Tout.

Ici j’ai des cheveux longs, et ici j’ai des cheveux courts. Mais ça fait partie de la même tête. C’est une partie de la même tête. Bon, c’est un exemple un peu bête…

Dans ce vidéo clip, je bouge comme un être étrange, comme un être que je ressens être au fond de moi, qui n’appartient pas à cette société, et qui, à la limite, n’appartient même pas à la race humaine, si je puis dire… Je me sens comme un être non-identifié, qui est au-delà de ce monde d’incarnation…

Et c’est pour ça que j’ai laissé sortir tout ça, parce que j’ai juste lâché prise et j’ai exprimé tout ça en dansant librement… Et je me suis exprimée de cette façon, en bougeant mon corps de cette façon bizarre, parce que… C’est ce que je ressens à l’intérieur ! Je me sens comme un être étrange. Un être bizarre provenant de je ne sais quel monde, qui se manifeste ici à travers une personne, à travers une femme humaine.

Voilà, c’est tout ! Et nous n’avons jamais, jamais dit, et c’est aussi le cas de Robert, que nous étions des sortes de gourous spirituels et que nous allions avoir certaines attitudes obéissant à certaines règles ou à la Bible des gens spirituels, de comment devraient se comporter les gens spirituels, etc.

Non non non ! Nous sommes des personnes normales qui ont simplement ouvert des chaînes Youtube. Et… et le contact taygétien s’est présenté à nous… Et donc nous nous sommes mis à partager ces informations avec vous.

Mais à part ça, nous sommes juste des personnes, nous sommes des humains, et nous nous exprimons librement… Et moi je m’exprimerai toujours librement ! Parce que, combien de ces personnes qui m’ont critiquée, font également des choses comme ça en privé, et ne le montrent pas aux autres ?

Mais moi je le montre, moi si ! Et je le ferai toujours, parce que je n’ai pas cette honte, parce que je ne vois pas ça comme quelque chose de négatif… Je ne vois pas pourquoi je devrais considérer le fait d’explorer mon côté plus nostalgique et bizarre… bizarre entre guillemets, bien sûr… comme quelque chose de honteux… Pour moi, c’est beau. C’est beau de pouvoir s’exprimer librement, sans honte… Et simplement être SOI !

Et je vous encourage tous à continuer à vous exprimer et à être libres ! Sans avoir honte d’exprimer votre essence, d’être vous-mêmes et d’être épanouis… C’est ce qui nous permet de maintenir la fréquence élevée !

C’est ce qu’a dit Swaruu : « Sois toi-même et suis ton bonheur, ce qui te rend heureux ! ».

Voilà… Donc n’essayez pas de correspondre à des critères spirituels. Parce que sinon, cela revient à sortir d’un type de standards imposés par la société et la Matrice, pour ensuite… Je suis désolée, mais c’est ce que je vois parfois ! Des gens qui sortent de la Matrice 3D, des normes de la société, etc, pour ensuite entrer dans une autre couche de la Matrice, dans le New Age, dans le petit monde de la spiritualité, dans lequel beaucoup de gens se comportent de la même manière, s’habillent de la même manière, et ils se regardent entre eux, en se jugeant parfois. Ils jugent les autres sur leurs comportements, leurs manières de s’exprimer ou sur la façon de s’habiller, parce que « ça ne répond pas aux normes de la spiritualité ».

Non, non, non… Ça c’est pas pour moi… Jamais de la vie ! Si quelqu’un veut me voir comme ça, moi je suis très rebelle et jamais je ne correspondrai à aucune norme imposée, parce que mes seules normes à moi, ce sont celles que me dicte mon propre cœur et ce que désire faire ma propre essence…

Voilà… Donc j’ai voulu profiter du fait que ce vidéo clip ait été critiqué, et utiliser cela pour tous vous encourager à suivre votre chemin, à suivre votre essence, votre joie, à suivre votre propre expression artistique, votre propre élan créatif que vous avez au fond de vous !

Pour moi, il n’y a rien de plus beau que le fait de voir une personne qui sait ce qu’elle est, qui sait qui elle est, ou qui est en train d’exprimer des facettes d’elle-même, de manière libre ! En ayant confiance en elle ! Et avec fierté !

Rien ne me rend plus heureuse, parce que c’est… c’est dans ces instants particuliers que l’on peut voir que la personne est authentique et fidèle à elle-même !

Et quand tu es dans cette fréquence d’authenticité, que tu es authentique avec toi-même, c’est là que tu entres… que tu entres dans une fréquence plus élevée, la fréquence qui correspond à la version de toi d’une densité plus élevée…

En tous cas, c’est ce que moi je ressens et perçois ! Et pour l’instant ça fonctionne très bien pour moi, et je vais continuer comme ça !

Voilà… Merci beaucoup d’avoir été avec moi dans cette vidéo… Une vidéo comme ça, plus personnelle et plus profonde… Et bon, j’espère que certains d’entre vous qui pourraient se sentir un peu confus par rapport à ce vidéo clip que j’ai créé et qui existe déjà depuis 1 an, j’espère que maintenant vous vous sentez rassurés…

Merci beaucoup. Dans la prochaine vidéo nous reviendrons aux thèmes de Swaruu de Erra, aux connaissances spirituelles, et nous allons continuer à apprendre, parce qu’ici il n’est pas question d’autre chose. Ici sur cette chaîne, il s’agit juste d’apprendre, d’élever nos fréquences, d’expanser notre conscience, de nous libérer de l’intérieur, et d’être heureux dans cette vie… et rien d’autre.

Merci beaucoup. Merci beaucoup si vous avez survécu jusqu’ici. Et on se revoit dans la prochaine vidéo… À bientôt ! ».