Les Urmahs m'ont guérie, Parties 1, 2, 3 - Expérience de cérémonie complète

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Auteur : Mari Swa
Publié le 11 novembre 2024

 
Les Urmahs m'ont guérie

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[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’ai écrit ceci en fin de matinée et dans l’après-midi du 15 octobre 2024, et je l’ai révisé pour le publier sur YouTube le matin du 1er novembre 2024.

J’ai décidé de ne pas inclure d’images dans cette vidéo, car il n’y a rien que je puisse partager qui puisse ressembler, même vaguement, à ce que j’ai vu. J’ai donc décidé de faire confiance en mon pouvoir d’écriture descriptive, car il est préférable que mon public utilise son imagination, qui lui apportera des représentations beaucoup plus précises que n’importe quelle image que je pourrais ajouter à cette vidéo, qui ne ferait qu’agir au détriment de mon texte soigneusement rédigé et à mes meilleurs efforts de description.

Le fond visuel utilisé pendant que je parle, est donc de la pure décoration et c’est le plus approprié que j’ai trouvé. Les Urmahs sont une espèce incroyablement impressionnante et époustouflante. Aucune image stupide, ennuyeuse et peu convaincante de l’Intelligence Artificielle ne peut leur rendre justice.

Comme la majorité d’entre vous le savent, ma santé s’est détériorée dernièrement. Elle ne s’est pas améliorée et elle est peut-être même en train d’empirer, car j’ai aussi d’autres problèmes qui peuvent ou non être liés à mon diabète de type 1 diagnostiqué, que Sénètre, la chirurgienne de ce vaisseau, est en train de traiter avec un caisson médical sec.

Il semble que mon diabète et mes autres problèmes ont une forte composante éthérique, c’est-à-dire que cela vient du côté des esprits, comme une attaque astrale élaborée. Je dis cela en sachant qu’au final, toutes les maladies proviennent du côté astral des choses, ou y sont générées. Mais ces maladies que je traverse commencent à ressembler beaucoup plus à une attaque astrale générée depuis l’extérieur. Et je me sens généralement très faible et constamment fatiguée.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Lorsque Mari dit que toutes les maladies sont générées dans l’astral, elle veut dire par là que, dans l’univers, tout n’étant fait que d’idées, de pensées, de ressentis, de croyances, et donc de fréquences (qui se matérialisent pour créer le monde physique qui nous entoure), au final tout est éthérique, énergétique… et c’est ce que Mari appelle ici « astral ». Et donc c’est aussi de là que viennent les maladies, c’est-à-dire des idées, des pensées, des ressentis, des émotions, des croyances limitantes, etc. Comme le stipule d’ailleurs le décodage biologique des maladies…

Et lorsqu’une maladie ne provient pas seulement de nos idées, émotions, etc, mais aussi d’attaques d’entités sombres du bas astral, cela ne signifie pas pour autant que dans ce cas nous n’avons aucune responsabilité et que c’est juste quelque chose que nous subissons sans aucune cause intérieure. Car les démons extérieurs ne sont que le reflet de nos démons intérieurs, c’est-à-dire de ce que nous n’avons pas soigné en nous : blessures, traumatismes, etc. Donc une entité sombre va toujours nous attaquer sur une faille déjà présente et causée à l’origine par nous-mêmes, bien souvent non conscientisée, donc non mise en lumière (émotions refoulées, traumatismes non guéris, croyances limitantes, pensées destructrices, etc.).

C’est pour cela que l’on dit que l’ombre fait grandir la lumière, car ces attaques dites « extérieures », ne font que mettre le doigt sur nos failles et nous donne donc l’occasion de les mettre en lumière (donc d’intégrer cette ombre pour la transmuter en lumière) pour les guérir. Et c’est exactement ce qu’a fait Mari, comme vous le découvrirez par la suite…

L’être humain ayant très facilement tendance à tomber dans le déterminisme (croyance que tout vient de l’extérieur, qui pousse à la victimisation, à la résignation et à la passivité. Alors qu’en réalité, tout est intérieur. Et l’extérieur n’est que la manifestation physique de notre intérieur : pensées, ressentis, etc.), ainsi que dans la dualité (c’est soit une origine, soit une autre. Comme par exemple le fait de penser : « la maladie est soit d’origine intérieure soit d’origine extérieure ». Ou : « la maladie est causée soit par quelque chose de matériel, soit par une émotion ». Et cette pensée dualiste fait que la personne est incapable de penser de manière holistique et d’envisager que « c’est les 2 à la fois »), il me semblait donc important d’apporter cet éclairage.

Et donc, quand Mari dit que sa maladie est « causée beaucoup plus par une attaque astrale venant de l’extérieur », ça ne veut pas dire pour autant qu’elle nie la faille en elle (traumatismes non guéris) qui l’a rendue compatible avec ces attaques. Vous verrez d’ailleurs dans ce qui va suivre que c’est en guérissant de cette faille, qu’elle guérira à la fois de sa maladie et de ces attaques.

Et je précise que ce sont les attaques à cet endroit précis qui disparaîtront, avec le comblement de la faille correspondante. Ce ne sont malheureusement pas les attaques en général qui disparaîtront, comme vous le verrez dans les prochaines traductions – Fin de la note]*.

Tôt ce matin du 15 octobre, au moment où je démarrais ma journée, j’ai reçu un appel depuis le pont de ce vaisseau Sadicléya. C’était le roi Urmah Ruhr, qui voulait me parler.

Il m’a dit que comme il était très conscient des problèmes de santé que j’étais en train de traverser, et sachant qu’ils avaient très probablement une genèse astrale, il m’invitait à une procédure de guérison urmah, à bord de son vaisseau spatial, l’Avyon 1.

Il m’a assuré que cela ne me ferait aucun mal, car ce n’était pas une procédure médicale traditionnelle et que, « au pire », je me sentirais beaucoup mieux après. Mais l’Urmah avait l’intention de me nettoyer complètement et de me libérer de tout attachement astral qui pourrait me nuire. Et qu’il fallait que je sois là-bas avec eux, en leur compagnie réelle, donc sans utiliser de dispositif technologique comme celui de la présence à distance.

Comme les Urmahs sont les plus proches alliés des Taygétiens, j’ai accepté, même si je savais que c’était extrêmement impressionnant d’être avec eux. Ruhr a dit qu’il enverrait une navette me chercher, avec Arishah à son bord, mon ami tigre bien connu, qui me guiderait.

Alors j’en ai informé mon équipage et mes amis taygétiens, puis je suis allée dans ma chambre et je me suis préparée pour mon court voyage à bord du vaisseau urmah. J’ai mis une robe blanche simple, lisse, de longueur moyenne, avec des chaussures de petite fille à talons bas, ma cape violette et mon petit diadème.

Peu après, une grande navette urmah, de couleur noir piano et or, s’est approchée du Sadicléya et a demandé la permission d’atterrir dans le hangar principal. À ce moment-là, j’étais déjà dans le hangar avec mes quatre gardes Shinonim et Hashmallim (Forces Spéciales taygétiennes féminines et masculines)*, qui portaient tous leurs équipements et leurs uniformes de gala, avec leurs armures, leurs capes et tout.

Les portes du hangar se sont ouvertes et l’énorme navette urmah, noire et dorée, est entrée en volant et a tourné avec ses moteurs qui grinçaient et sifflaient. Elle a rapidement laissé tomber son train d’atterrissage pendant qu’elle descendait vers le pont, puis elle a ouvert sa rampe avant. Ari et deux gardes lions sont descendus, portant également tout leur équipement félin de gala, suivant un protocole strict.

J’ai marché jusqu’à Ari, je l’ai salué et lui ai fait un gros câlin. J’avais l’impression de prendre dans mes bras un énorme pilier chaud recouvert d’un tapis rayé de couleur tigre, tandis que ses deux énormes gardes attendaient quelques pas en arrière. Ensuite, Ari m’a demandé de le suivre.

Mais alors que je marchais avec lui vers sa navette, il s’est soudainement retourné pour regarder mes quatre gardes, il a levé son énorme patte et a dit : « Non ». Puis il a dit avec sa voix profonde, qui sonnait comme un tonnerre : « Ce soin est seulement pour Mari et elle doit venir seule, vous ne pouvez pas la suivre ».

Mes gardes ont commencé à expliquer qu’ils ne pouvaient pas laisser leur reine seule et que cela irait extrêmement à l’encontre du protocole. La reine ne doit jamais être seule. Ari a répondu avec un profond grognement : « Cette fois-ci non, vous ne pouvez pas nous suivre. Vous devez nous faire confiance, vous nous connaissez et vous savez que nous ne pourrions pas être plus loyaux. Vous devez la laisser aller seule avec nous ou bien il se pourrait qu’elle ne survive pas à ce qui l’afflige ».

Je me suis retournée et j’ai calmement ordonné à mes gardes de reculer, en leur disant que ça irait pour moi. Mes quatre gardes ont appuyé les crosses de leurs fusils d’assaut automatiques sur le sol, tandis qu’Ari me demandait de lui prendre la main. Mais sa main était si grande que la seule chose que je pouvais prendre d’elle était l’un de ses doigts rayés. Je me sentais très petite à côté d’Ari, qui mesure plus de 3m de hauteur.

Nous sommes entrés dans l’énorme navette, qui était très sombre à l’intérieur et lorsqu’Ari m’a assise sur un siège, j’ai eu l’impression d’avoir trois ans et d’être assise dans la voiture de ma mère sans le siège-auto pour bébé. D’autant plus que mes pieds étaient loin de toucher le sol. J’ai aussi trouvé cela assez inconfortable car il y avait un grand trou dans le dossier du siège, conçu pour qu’un gros « chat » puisse y glisser sa queue, et j’avais l’impression que j’allais passer à travers.

Je ne peux nier qu’à ce moment-là j’ai commencé à avoir peur, surtout quand la navette a décollé et qu’elle est sortie du Sadicléya. J’ai regardé par la grande fenêtre de la navette urmah et j’ai vu mon vaisseau blanc, le Sadicléya, et ses deux destroyers escorteurs devenant de plus en plus petits, semblant si insignifiants. Jusqu’à ce que je ne voie plus que leurs lumières stroboscopiques briller par intermittence dans l’obscurité de l’espace.

Moins de 10 minutes plus tard, le majestueux vaisseau amiral urmah Avyon 1 est apparu devant nous et a grossi au fur et à mesure que nous approchions. Et plus nous nous approchions du vaisseau, plus tout ce que je pouvais voir était un immense mur de titane polymorphe argenté et gris, qui s’étendait indéfiniment dans toutes les directions.

Les énormes portes du hangar bleuté se sont ouvertes et notre navette noire est entrée en volant. Dès qu’elle a atterri, je suis descendue de l’énorme siège, j’ai sauté sur le sol et j’ai marché avec Ari sur la rampe en tenant son petit doigt.

C’était la première fois que j’étais à bord d’un vaisseau urmah et ce, sans passer par la technologie de présence à distance. Même l’air était différent, il était comme plus lourd à respirer et il sentait le chat. Les chats ne sentent pas, c’est une odeur difficile à décrire, c’est simplement quelque chose qui t’indique qu’il y a des chats autour de toi.

Tandis que nous marchions, j’ai vu le roi Ruhr, le lion blanc, qui m’attendait en personne à seulement quelques mètres de distance. Il avait lui aussi deux lions inconnus de chaque côté, et un énorme tigre blanc vêtu d’une armure argentée et d’une tunique blanche avec des bords dorés.

Cet énorme tigre blanc était incroyablement impressionnant, car c’est l’Urmah le plus gros, le plus grand et le plus intimidant que j’avais jamais vu. Il semblait mûr, aventurier et expérimenté. Il s’élevait au-dessus de moi, mesurant presque 3 mètres et demi de hauteur et incroyablement musclé. Je n’arrivais même pas à le regarder dans les yeux à cause de son expression faciale puissante. D’autant plus qu’il avait un œil jaune et l’autre bleu ciel, ce qui le rendait encore plus impressionnant.

Ce n’est que quelques jours après mon expérience avec les Urmahs, que j’ai su qu’il s’agissait du très craint, respecté et légendaire général urmah Korkas, ministre de la défense du roi Ruhr et chef de ses forces armées.

Il suffit de regarder ces énormes « chats » pour que tes genoux se mettent à trembler et à se dérober sous toi, même en sachant qu’ils sont amicaux. Ce n’est pas étonnant que personne ne veuille se frotter à eux.

J’ai regardé autour de moi et tout était incroyablement grand. Les mots ne suffisent pas. Et tout était si élaboré, si ornementé. Il y avait des représentations félines gravées partout. Même les simples escaliers en métal dans le hangar avaient des lignes de pattes et des visages de chat. Et tout était décoré avec des rayures de tigre ou des taches de léopard. Sur les côtés, les murs avaient une bande de métal en leur centre, avec des empreintes de pattes gravées, des crânes de félins et des rayures de tigre. Et tout était incroyablement grand.

Je ne peux nier que j’ai commencé à trembler de peur et à sentir beaucoup de froid, même si tous leurs visages étaient très gentils et affectueux. Je me sentais incroyablement vulnérable et petite à côté d’eux.

Je les ai accompagnés jusqu’à un ascenseur, qui a commencé à nous emmener vers les entrailles d’un des vaisseaux urmahs les plus puissants jamais construits, leur vaisseau amiral.

L’ascenseur était noir avec des bords dorés ornementés, et quand il s’est arrêté, nous avons marché dans un couloir qui m’a encore une fois impressionnée par son échelle incroyablement grande. Et avec des ornements partout. Même les lumières sur ses parois de chaque côté, imitaient des torches avec du feu.

Le couloir avait des murs arrondis avec, de chaque côté, des piliers dorés courbés, ce qui me donnait l’impression de marcher dans une cage thoracique. Mais je sentais que tout l’endroit était construit à leur échelle, pas à la mienne, alors je m’y suis sentie incroyablement petite. Et je me répète, mais à ce moment-là j’avais déjà très peur et je voulais partir en courant… mais pour aller où ?

Le couloir s’ouvrait sur un très grand vestibule, sombre et ovale, avec quelques marches allant vers le bas. Ses nombreux piliers avaient la forme de chats allongés (étirés)*, avec des pattes félines sur la partie inférieure et leurs têtes en haut, qui s’arquaient tandis que le toit se courbait. Et ils étaient en or, sur fond de velours noir qui recouvrait les murs.

Au fond de ce grand salon, il y avait une gigantesque statue d’acier foncé représentant un roi urmah assis sur son trône. La statue à elle seule devait avoir plus de 12 mètres de hauteur et elle était très impressionnante, surtout dans cette couleur uniforme de métal sombre.

Et là, Ari et Ruhr se sont retournés et m’ont dit de me détendre et de ne pas avoir peur, avec de belles voix félines et profondes. Je suis restée là pendant quelques instants et soudain le sol s’est ouvert devant moi et un grand monolithe en pierre noire a commencé à émerger du sol, avec un bruit comme si quelqu’un faisait glisser une grande pierre à travers du métal.

Deux tigres femelles sont sorties de derrière le velours noir entre les piliers de félins étirés, avec un tapis violet et deux coussins mauves, qu’elles ont placés avec soin sur la roche monolithique rectangulaire, puis elles se sont éloignées en marchant de dos.

On m’a ensuite demandé de me coucher sur le monolithe, ce que j’ai fait, tout en tremblant de peur intense, me disant que je n’aurais jamais dû accepter tout cela et que cela pourrait être ma fin.

Je me suis couchée sur le monolithe, sur le dos, avec la tête sur les coussins, quand le roi Ruhr d’un côté et Ari de l’autre, se sont approchés de moi, m’ont touché la tête et m’ont dit calmement que je ne devais pas m’inquiéter, que j’étais parfaitement en sécurité avec eux et que, d’ailleurs, je n’avais jamais été autant en sécurité, qu’importe ce que cela signifie.

« Ne crains rien » a dit Ruhr, « et profite simplement du voyage » a-t-il ajouté.

Les deux grands félins se sont éloignés d’environ un mètre et en même temps, entre les piliers de longs chats dorés, d’autres lions et d’autres tigres vêtus d’armures de gala et de masques de guerre dorés, ont marché jusqu’à moi, en alternant un tigre puis un lion, et ainsi de suite.

Ils m’ont entourée en formant un cercle autour du monolithe, tandis qu’un autre groupe de lions et de tigres entrait dans la pièce, en passant également entre les piliers de longs chats. Ils portaient de grands tambours de guerre, qu’ils ont commencé à frapper et frapper avec une force impressionnante, tandis que les lumières s’atténuaient jusqu’à l’obscurité totale.

J’étais là, tremblante, ne pouvant rien voir, quand j’ai entendu les puissants tambours de guerre s’arrêter brusquement d’un coup. Alors, une lumière dorée a commencé à inonder la pièce depuis le monolithe. La lumière dorée provenait du monolithe en dessous de moi. Et j’ai pu voir que j’étais entourée d’au moins 30 immenses lions et tigres urmahs mâles, qui me regardaient tous.

Le cercle le plus proche a fait un pas vers moi et ils ont tous étendu leurs immenses pattes sur moi. Je pouvais sentir leur message télépathique impressionnant, qui disait que je ne devais pas m’inquiéter, que je devais me débarrasser de toute ma peur et leur faire confiance. C’était difficile à faire parce que je me sentais comme une petite créature infiniment fragile, entourée d’innombrables prédateurs Alpha, et qui sait à quel endroit dans les entrailles de leur vaisseau spatial.

Ensuite, tous les Urmahs qui étaient le plus près de moi, ont sorti un sceptre. Ils en avaient tous un identique. Il était long, en or massif et avait également la forme d’un chat allongé, avec quatre pattes sur la partie inférieure et une tête de lion rugissant sur la partie supérieure.

Ils me les ont présentés, ou plutôt ils m’ont présentée moi aux sceptres, comme s’ils voulaient que les lions sur le haut des sceptres me regardent… et puis ils les ont éloignés de moi et ils se sont tous mis à frapper le sol avec ces sceptres, pendant qu’ils commençaient à chanter quelque chose en langue ancienne urmah, avec leurs voix profondes de tonnerre.

Ils frappaient le sceptre sur le sol, ils le retournaient, ils le frappaient de nouveau sur le sol, puis ils le retournaient à nouveau, etc. C’est là que j’ai remarqué qu’il y avait derrière la tête du lion du sceptre, la face d’un crâne de lion.

Ils ont continué à chanter et à fredonner avec leurs voix profondes dans la langue urmah. Alors que les tambours commençaient à sonner de nouveau avec un beau, mais intimidant et profond rythme de guerre, ils ont continué à frapper les sceptres sur le sol et à les tourner à chaque fois, de sorte que, une fois le lion rugissant vivant se trouvait face à moi, et la fois suivante c’était le crâne de lion qui était face à moi. Cela représentait la dualité de la vie et de la mort, je suppose.

Alors la lumière dorée s’est un peu atténuée et les tambours ont cessé. Toute la pièce a commencé à se remplir d’une brume blanche et je ne savais pas d’où elle venait.

Ruhr, le roi Urmah, a commencé à rugir de toutes ses forces, et il a été immédiatement suivi par tous les autres lions et tigres dans la salle. Ils ont tous rugit de toutes leurs forces, formant un son de puissance féline ultra impressionnant et intimidant.

Ça a résonné avec de l’écho dans la grande pièce ovale. Alors, le roi Ruhr a rugi puissamment trois fois consécutives et tous les autres se sont arrêtés et le silence est revenu dans la pièce.

Et puis j’ai commencé à ressentir une vibration apaisante, très agréable, et je pensais que c’étaient des fréquences curatives provenant du type de machine monolithique sur laquelle j’étais allongée. Mais je me trompais.

J’ai soudain réalisé que la vibration super agréable qui m’entourait, venait des « chats » Urmahs eux-mêmes, et pas d’une machine. Ils ronronnaient tous, ou ils fredonnaient si profondément que cela ressemblait à un ronronnement, et d’ailleurs je ne sais pas s’il y a une quelconque différence.

C’était un énorme ronronnement collectif urmah qui m’embrassait. Et tout à coup, je me suis sentie envahie, complètement submergée par toutes sortes d’émotions et j’ai commencé à pleurer et pleurer et pleurer, avec les yeux remplis de larmes, comme cela ne m’était pas arrivé depuis des années.

J’ai fermé les yeux en sentant que la vibration me nettoyait émotionnellement… Et puis quand je les ai rouverts, ou en tous cas je pensais les rouvrir, j’étais seule et me tenais debout, pieds nus, sur un sol blanc et froid sans détails.

J’étais seule et dans un silence total. Un silence si profond qu’il m’a fait remettre en question ma propre existence, étant donné qu’il était absolu et contre nature. J’ai senti que j’étais là, immobile au milieu du néant. J’ai regardé autour de moi et je ne pouvais rien voir car tout ce qu’il y avait était du blanc, qui m’entourait. Tout était d’un blanc solide.

Je me suis retournée plusieurs fois, essayant de déchiffrer où j’étais. Et c’est là que j’ai remarqué que mes cheveux et ma robe se comportaient comme sous l’eau, comme en gravité zéro, car ils suivaient mes mouvements avec fluidité, presque au ralenti.

J’ai regardé autour de moi pour essayer de nouveau de voir où j’étais, cette fois avec un peu de peur, mais je ne voyais toujours rien. J’étais dans un endroit comme nul autre, si on pouvait appeler ça un endroit. La seule chose que je pouvais voir qui ne faisait pas partie de moi, c’était le sol et seulement celui qui entourait directement mes pieds nus, rien d’autre. Et cela ressemblait à de la glace opaque inégale. Et puis je me suis demandée où étaient passées mes chaussures.

Avant que je commence à m’inquiéter de mon étrange emplacement, j’ai remarqué au loin une pâle lumière bleu électrique, qui devenait progressivement de plus en plus forte. Ce petit point de lumière diffuse allait en grandissant, et c’était la seule chose qui n’était pas moi ni la petite portion du sol autour de mes pieds nus.

Toute mon attention était concentrée sur cette lumière, qui s’intensifiait de plus en plus, et qui était aussi en mouvement. J’ai alors commencé à voir une figure bleue, lumineuse et déformée, qui se déplaçait vers moi, mais je n’éprouvais pas de peur, même si je ne pouvais pas distinguer sa forme réelle. Elle était déformée comme par un mirage dans un brouillard épais et toute la lumière du lieu où je me trouvais, semblait maintenant provenir de cette créature. Tandis que la blancheur totale devenait noire absolue, à l’exception de la figure de lumière bleue.

J’ai alors eu l’impression de flotter dans les airs. Je ne pouvais plus sentir le sol sous moi. J’ai regardé en bas et tout ce que je pouvais voir, c’était mes pieds illuminés par l’étrange figure bleu électrique. Et puis soudainement, la créature est arrivée là où je me trouvais. C’était un immense lion bleu lumineux et sa crinière était faite de flammes bleues.

Il avait des yeux blancs pénétrants et se déplaçait avec beaucoup d’agilité et de grâce, comme s’il était sous l’eau. Je suis restée là, à flotter, complètement paralysée, mais je ne pouvais pas déterminer si j’avais peur ou non. Il s’est déplacé autour de moi plusieurs fois, inspectant clairement qui et ce que j’étais.

Je ne me suis jamais sentie aussi observée de toute mon existence, car toute l’attention de la créature était dirigée sur moi. Elle a continué à inspecter chaque partie de moi avec ses yeux blancs pénétrants, depuis mes doigts d’orteils et de mains jusqu’à mes cheveux, et avec la plus grande attention angoissante.

Puis la créature s’est placée en face à face avec moi. Elle a pris ma petite tête entre ses énormes griffes lumineuses et elle s’est rapprochée de moi en silence, me regardant directement et à très courte distance. Son expression était calme et aimante, extrêmement rassurante. Cependant, j’ai commencé à trembler et à pleurer de nouveau violemment.

J’ai senti son message qui était que je devais pleurer autant que je le voulais, car tout ce que je faisais était de nettoyer les émotions refoulées qui me faisaient du mal. Il m’a parlé par télépathie, mais ici je dois utiliser des mots. Il a dit :

« Intéressant, très intéressant de voir une âme féline urmah vivant dans un fragile et minuscule corps féminin lyrien, rempli de problèmes. Que fais-tu là-dedans ? Tigresse ! Il paraît certain que tu voulais te lancer un défi d’incarnation, mais tu n’avais pas besoin de le rendre si difficile. Tu as été amenée ici, car tu fais partie de la famille et nous, nous prenons soin des nôtres, même au niveau spirituel. Tu restes et seras toujours une Urmah, et tu finiras par revenir à nous sous ta forme authentique, une fois que tu auras accompli ta mission de vie compliquée ».

Puis j’ai clairement ressenti le message mental suivant. Il m’a dit que j’irai parfaitement bien, que ce n’était pas encore le moment pour moi de demeurer dans le monde des esprits et que je serai une reine prospère, car je régnerai sur Taygeta aussi longtemps que je vivrai et jusqu’à ce que je meure en étant grand-mère.

Ensuite, il a continué à m’inspecter et m’a dit : « Il semble que tu as un fort attachement éthérique à l’idée que tu as perdu ta vie sur la Terre, que tout ce que tu aurais pu vivre là-bas a été tronqué, donc tu abrites en toi beaucoup de tristesse refoulée et même de colère.

Ton attachement à la vie que tu n’as jamais pu avoir sur Terre, fait que les problèmes que tu as expérimentés dans les lignes de temps où tu as réussi à vivre plus longtemps sur Terre, passent à travers ces lignes de temps et arrivent jusqu’à ta vie actuelle ici… En d’autres termes, sache que tes maux ne sont pas les tiens, ils appartiennent à d’autres versions de toi qui ne sont pas toi, et à des événements et des situations que tu n’as pas vécus, et que tu n’es pas destinée à vivre ».

Le lion bleu a continué : « Tu devrais t’éloigner de l’idée que ta vie sur Terre aurait été meilleure, plus paisible et plus facile que la vie que tu as aujourd’hui, car ta mission n’a jamais été d’être sur Terre pour longtemps. Ta mission a toujours été destinée à être menée en dehors de cette planète.

Tu es aussi pleine de ressentiment, parce que tu as perdu ta mère et que tu te sens profondément coupable. Mais les choses se sont passées ainsi pour une raison et elles n’auraient pas pu se passer autrement.

Tu dois t’éloigner de toutes ces pensées et attachements, maintenant que je viens de couper tous tes attachements à des choses nuisibles et à des événements qui viennent d’autres lignes de temps ».

Le lion bleu a continué télépathiquement : « Ce qu’il s’est passé dans d’autres lignes de temps ne te concerne pas. Ne prend pas la charge de poids qui ne t’appartiennent pas ».

Et là je l’ai reconnu. Il était le même lion que la gigantesque sculpture en métal sombre au centre de la salle ovale urmah dans laquelle je me trouvais. Tout du moins si je m’y trouvais encore, car je ne pouvais rien voir d’autre que le magnifique lion de lumière bleue, avec sa crinière de flammes. Ce doit être l’esprit d’un ancien roi urmah.

« Qui est ce lion bleu éthérique ? » me demandais-je en continuant à pleurer. Et j’ai aussi commencé à réaliser qu’après tout, le chat cosmique était une entité réelle.

Et je ne peux pas m’arrêter de pleurer et pleurer pendant que j’écris ces mots.

Puis j’ai brièvement fermé les yeux en pleurant, et quand je les ai rouverts, le lion bleu avec sa crinière enflammée était parti, je ne sais pas où, et de nouveau j’étais seule sur le sol, ne pouvant rien voir autour de moi. Rien. J’étais totalement entourée par une lumière blanche brumeuse et j’ai de nouveau remarqué que ma robe bougeait comme si j’étais sous l’eau, mais je pouvais respirer. Et je suis restée là dans le silence complet, tandis que je me tournais et regardais tout autour de moi pour essayer de comprendre où j’étais.

Quand, à quelques mètres de moi, j’ai remarqué un chat domestique jaune, un de ces chats classiques avec des rayures orange. Le chat se reposait allongé sur son ventre, les pattes avant repliées vers l’intérieur et il me regardait directement. J’ai salué le petit chat et il a répondu avec un petit miaulement, ouvrant sa petite bouche rose.

J’ai marché vers le chat jaune et il s’est levé et s’est éloigné un peu de moi, pour que je ne puisse pas le toucher, et il s’est retourné pour me regarder une fois de plus. Je me suis de nouveau dirigée vers lui et il a recommencé à s’éloigner avec sa queue dressée et faisant un crochet, comme font tous les chats. Et puis il s’est retourné pour voir si je le suivais.

Okay, j’ai compris, il voulait que je le suive et c’est ce que j’ai fait. J’ai commencé à marcher avec le chat à environ deux ou trois mètres derrière lui et la lumière blanche a commencé à s’éclaircir lentement, et tout à coup j’ai pu commencer à voir où je me trouvais à nouveau.

Le brouillard s’est dissipé pour révéler que j’étais une fois de plus couchée sur un lit médical dans la salle de réveil du Sadicléya, observant la chambre blanche de l’infirmerie, simple et ennuyeuse, en forme de boîte, et avec ses bouches d’aération rectangulaires, si différentes de celles des Urmahs.

J’ai entendu un bip électronique et j’ai réalisé que j’étais de retour sur mon vaisseau, et que ce son alertait tout le monde que je m’étais réveillée.

Je ne sais pas vraiment ce qu’il s’est passé, ni ce que je dois retirer de tout ça, car je n’ai pas reparlé aux Urmahs depuis cet événement, mais cela s’est simplement produit.

Je suis profondément bouleversée et je ne peux pas m’arrêter de pleurer. J’ai le sentiment que cela a changé ma vie, alors même que je pensais bien connaître l’astral.

Je ne sais pas qui ou quoi est-ce lion bleu en flammes, mais il semblerait que je me sois retrouvée en face à face avec le chat cosmique. Je ne sais pas.

Je me sens épuisée et sans énergie, surtout émotionnellement. Je ne sais pas vraiment ce que j’ai vécu. Tant de questions, si peu de réponses. Tout ce qu’ils m’ont dit c’est que les Urmahs avaient rendu mon corps inconscient à l’équipage du Sadicléya après que, ce que je ne sais pas comment nommer, se soit achevé. Et ils ont dit qu’il faudrait me permettre de dormir autant que j’en avais besoin, et que je me réveillerais sans aucun problème.

Conclusions :

22 jours exactement se sont écoulés, et je pense que c’est un temps plus que suffisant pour tirer quelques conclusions.

Cette expérience forte et transformatrice que j’ai eue avec les Urmahs n’est pas pour tout le monde. C’est pourquoi j’ai beaucoup hésité à la publier, au moins jusqu’à ce que l’expérience elle-même ait mûri dans mon esprit et en ma personne.

J’ai dû réfléchir aux conséquences du fait de publier quelque chose comme ça, mais de toutes façons ce n’est pas une chaîne YouTube normale. C’est aussi pourquoi tant de jours se sont écoulés entre le jour de mon expérience, le 15 octobre, et le jour où j’ai publié les vidéos à ce sujet.

Bien que pour les humains sur Terre, ce que m’ont fait les Urmahs était un rituel, je suis en total désaccord avec ce mot, car je considère qu’il est chargé de choses terribles de la Cabale, ou qu’il est au moins relié au fait d’invoquer des choses qui ne sont pas bonnes. Laissons cela de côté. Mais il est vrai qu’il n’y a pas d’autre mot sur Terre pour décrire ce qu’il s’est passé là-bas, je le sais.

Les Urmahs ne sont pas des Lyriens, ce sont des félins, et par conséquent, leur conception de la réalité diffère beaucoup de la nôtre, plus encore de celle des humains de la Terre. Leur gamme de perception de la réalité quotidienne, telle qu’elle est perçue par leurs sens corporels normaux, est beaucoup plus large, ce qui signifie qu’elle inclut des aspects que nous considérons comme appartenant aux royaumes astraux. Mais pour eux, ces aspects sont simplement une réalité tangible et objective, plus que normale.

Cela signifie que la façon dont nous définissons le monde des vivants en tant que Lyriens, diffère beaucoup de la façon dont les Urmahs le décriraient, et que nous n’avons que quelques aspects qui se superposent et pour lesquels nous nous correspondons, y compris en tant qu’espèces différentes.

Depuis notre compréhension et notre point de vue lyriens, les Urmahs sont beaucoup plus spirituels et éthériques, et vivent physiquement au moins partiellement dans ce que nous appelons « le monde des esprits », qui est juste la vie quotidienne pour eux.

Une chose qui les caractérise beaucoup, c’est que tu ne peux quasiment pas leur demander de l’aide, ce sont eux qui doivent venir vers toi, surtout pour ce genre de choses. Je n’ai pas demandé d’aide, j’ai été invitée par eux, peut-être parce que ça leur convenait que je guérisse de ce qui m’affligeait.

Comme ils l’ont dit, je suis censée faire partie de leur famille, parce que je suis une âme urmah dans un corps lyrien, chose que je savais déjà bien avant cet événement. Je suis une graine stellaire urmah dans un corps lyrien taygétien, et cela m’amène à dire quelque chose d’important :

Le phénomène des graines stellaires (starseeds) ne se produit pas seulement sur Terre, car cela fait partie de l’immigration naturelle des âmes, qui ont une expérience après l’autre dans d’innombrables civilisations et races de différentes génétiques à travers tout l’Univers.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : De plus, il faut savoir que les Taygétiens et les Urmahs étant très amis et compatibles en fréquences, chacune de ces 2 races s’incarne très souvent dans l’autre race. Ce qui est d’ailleurs mon cas, car je suis « actuellement » une starseed Urmah et aussi Taygétienne – Fin de la note)*.

Cependant, aujourd’hui je suis Lyrienne et je n’ai aucun problème avec ça, je suis heureuse dans cette peau, sauf pour la collection de maux que j’ai accumulés, mais ça c’est autre chose.

Il semble que les Urmahs m’ont emmenée dans une sorte de pièce d’invocation où ils communiquent avec leurs guides spirituels, ou peu importe comment vous voudrez les appeler. Ils ont réussi à me mettre dans une transe puissante, qu’ils ont provoquée en utilisant leurs sons naturels, c’est-à-dire qu’ils n’ont utilisé aucune sorte de technologie. Ils ont procédé comme ils l’ont fait pendant des milliers d’années, ou peut-être même plus, avec la bonne vieille méthode, de manière naturelle.

Maintenant je crois que ce que j’ai vu durant cette transe, était au moins partiellement mon interprétation de cet être. Par exemple, comme me l’a fait remarquer l’un de mes amis, le lion éthérique était bleu électrique, et il se trouve que c’est ma couleur préférée. Bien que je n’aie pas vraiment une couleur préférée, car cela dépend de quel objet, créature ou autre. Je les aime toutes et elles sont toutes complémentaires dans mon esprit.

Alors l’interprétation que j’ai faite, et même le nom « le chat cosmique », que j’ai utilisé encore et encore, viennent aussi de moi, car j’adore ce concept. Et pour moi, ce que j’ai vu pendant que j’étais dans l’astral, était en effet un chat cosmique, ou LE chat cosmique, bien que les Urmahs n’aient pas un tel concept.

Il semble que cet esprit urmah a ouvert mon inconscient, a tout lu et me l’a exposé. Et ce qu’il m’a fait voir, correspond assez à la façon dont le diabète est interprété sur Terre dans les médecines alternatives, c’est-à-dire qu’il provient d’une forte culpabilité, qui manifeste une incapacité à profiter des bonnes choses de la vie. Comme un fort ressenti de ne pas mériter de profiter pleinement des douceurs de la vie, qui se traduit par l’incapacité du corps à manger des douceurs (aliments sucrés)*, et par bien plus de choses encore.

Dans mon cas, cela venait du fort sentiment de culpabilité que je ressentais d’avoir perdu ma mère et ma vie appréciée sur Terre, parce que je m’en voulais d’avoir mal fait les choses et d’avoir commis une terrible erreur. Et d’ailleurs, sur Terre je profitais de la vie, comme je peux le voir à travers les centaines de photos et d’images que j’ai encore, où je suis toujours à sourire et à rire, avec ma mère qui n’est jamais loin de moi.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Cela correspond totalement à l’interprétation du décodage biologique des maladies de Christian Flèche, qui associe le diabète de type 1 aux croyances limitantes et ressentis émotionnels suivants :

🌀 « L’amour est dangereux, je ne veux pas le faire entrer à l’intérieur de moi. Difficulté à gérer, à vivre, ou à obtenir de la douceur dans ma vie. Le diabétique recherche de la douceur dans ses liens de sang, dans sa famille, et souvent dans toutes ses relations, et en même temps, il en a peur ».

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : Mari ayant perdu sa maman par « sa faute », elle s’est peut-être sentie « dangereuse » car faisant du mal à sa maman, et elle s’est punie en se coupant de l’amour et de la douceur, au point où son pancréas s’est arrêté de produire lui-même de la douceur, c’est-à-dire du sucre, donc de l’insuline.

🌀 « Diabète de l’enfant : Se croire l’enfant perdu de la famille.
Diabète de l’adulte : Je suis coupable d’avoir perdu la relation avec un enfant. »

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : Mari ayant développé ce diabète à mi-chemin entre l’enfance et l’âge adulte, on peut dire qu’elle « entre dans les 2 cases ». Et effectivement, Mari a perdu son unique famille : sa maman (puisque son père semble n’avoir jamais été présent dans sa vie).

Quant à sa culpabilité d’avoir perdu sa relation avec un enfant, ça peut être sa maman, qu’elle a, sans le vouloir, abandonnée dans une autre ligne de temps, comme on abandonnerait un enfant.

Mais aussi, il ne faut pas oublier que dans une ligne de temps parallèle, il existe / a existé une autre Mari Swa, qui s’appelait Méritaten Swaruu (Méritaten étant un prénom purement extraterrestre, dont le diminutif est Mari), qui a vécu sur Terre en Step Down, où elle a été reine d’Égypte, et qui a été la mère de notre chère Sophia Yazhi Swaruu, avant de se faire tuer en Écosse par la tribu de Tuatha Dé Danann (Reptiliens), pendant qu’elle campait dans la nature avec sa fille Sophia, alors âgée de 7 ans. Cette dernière leur a échappé en se cachant dans la forêt, puis elle a quitté la Terre à bord du vaisseau Suzy de sa mère et elle a ensuite voyagé dans le temps jusqu’à notre ligne de temps pour rejoindre l’équipe du vaisseau Toléka en orbite terrestre, en septembre 2019. Je raconte tout ça dans cette vidéo : Bon anniversaire Yazhi & Mari ! – Une partie de l’histoire des Swaruu

Donc dans une ligne de temps parallèle, Mari (Méritaten) a perdu/abandonné un enfant (Sophia Yazhi Swaruu) en se faisant assassiner. Or, Mari prenait peut-être aussi sur ses épaules le poids de ce traumatisme qui ne lui appartenait pas. Comme le lui a dit le Lion bleu, qui lui a expliqué qu’elle prenait aussi les culpabilités de ses autres Soi d’autres lignes de temps.

🌀 « Une étymologie symbolique du mot « diabète » peut être : « dia » = diviser et « beith », en hébreu = la maison. La maison est coupée en deux, je suis exclue affectivement, séparée de la maison (famille). C’est injuste. Je suis à l’extérieur et la douceur est à l’intérieur. Les autres sont restés à la maison et moi je suis dehors. »

➡️ Commentaire d’Éloïse Al’Cyona : On retrouve ici le ressenti d’injustice et de colère de Mari d’avoir été séparée, coupée de la Terre, de sa maison et de sa maman. « La douceur, l’amour, est resté à l’intérieur de la maison, et moi je suis coupée de cette maison et de cette douceur » aurait pu exprimer l’inconscient de Mari lorsqu’elle était encore en proie à ce conflit intérieur. Et sa biologie aurait reflété cela en supprimant le sucre (insuline) du sang (famille), comme pour le mettre en dehors, et en devenant incapable de faire rentrer la douceur en elle (manger des aliments sucrés). Et au niveau comportemental, cela s’est traduit chez Mari par une discipline extrême et une tendance à ne pas profiter des douceurs de la vie.

➡️ Ces extraits de décodage du diabète de type 1 sont issus du livre « Encyclopédie des correspondances symptômes-émotions » de Christian Flèche, que vous pouvez commander ici dans cette section : Biodécodage – Lectures conseillées

➡️ Et pour faire une séance avec un thérapeute en décodage biologique afin de guérir d’une maladie ou simplement d’un blocage émotionnel, ce qui peut se faire en une seule séance, du moment que l’événement Programmant est conscientisé et libéré émotionnellement, comme l’a fait ce Lion bleu éthérique avec Mari, allez sur ce lien : Biodecodage – Praticiens – Fin de la note]*.

Au sujet de l’horrible erreur que j’ai commise, pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, en quelques mots : à 13 ans, j’ai été assez stupide pour jouer à l’héroïne et prendre un vaisseau spatial avec lequel j’ai sauté dans le temps de façon irresponsable. Comme je n’avais aucune idée de ce que je faisais, tout ce que je savais faire était d’appuyer sur ces boutons que j’avais vu ma mère actionner auparavant. Et c’est comme ça que je me suis perdue et que je n’ai plus jamais revu ni ma mère, ni mon monde (la Terre dans cette autre ligne de temps)*.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui ne connaissent pas cette histoire, je vous conseille de regarder ces 3 vidéos de Mari Swa, que j’ai traduites et doublées en français. À regarder toutes les 3 et dans l’ordre chronologique, sinon vous ne comprendrez rien :

1) Extraterrestres vivant parmi les humains (partie 01)

2) Extraterrestres vivant parmi les humains (partie 02)

3) Comment Mari Swaruu est arrivée ici – Fin de la note)*.

Cette rencontre avec le guide spirituel urmah, que j’appellerai toujours « le chat cosmique », m’a fait comprendre la genèse de mon problème de santé, car il a exposé en détail ce qui était dans mon inconscient.

Vingt-deux jours après cet événement avec le chat cosmique, mon diabète de type 1 a disparu comme s’il n’avait jamais existé, à tel point que je peux me gaver de chocolat et mon taux de sucre dans le sang revient à la normale deux heures après.

Cependant, je suis pleinement consciente de la façon dont les cellules fonctionnent et de combien le sucre est nocif pour elles. Je suis aussi bien consciente du fait que les cellules se fatiguent simplement de produire des hormones quand on abuse d’elles, l’insuline dans ce cas.

Je suis très reconnaissante envers la chirurgienne de ce vaisseau, Sénètre, et envers Kara et Anna, nos deux autres docteurs, pour avoir essayé de toutes leurs forces de me soigner du mieux qu’elles ont pu. Elles m’ont placée dans des caissons médicaux secs taygétiens et m’ont remplie par voie intraveineuse de cellules souches pour guérir mon pancréas. Et j’ai supporté cette torture durant plusieurs semaines, où elles me piquaient et m’examinaient constamment, en plus de m’injecter en permanence dans les bras du sérum en intraveineuse et d’autres choses.

Mais malgré tous ces efforts et cette torture, elles ne pouvaient pas me guérir, peut-être parce que la composante psychologique et éthérique qui manifestait mon problème était trop forte. Dans ce cas, il fallait effectivement l’intervention des Urmahs.

La technologie médicale, aussi avancée soit-elle, ne pourra jamais guérir quiconque si la véritable cause de la maladie est spirituelle et amène le mental à manifester et remanifester constamment la même chose.

Cela me fait penser que ce serait une bonne idée de faire une vidéo comparant la vision de la médecine depuis le point de vue de l’humain terrestre, le point de vue taygétien, et enfin celui des Urmahs, car ils sont tous assez différents.

Maintenant, je dois dire que les Urmahs m’ont guérie de mon horrible diabète de type 1, mais pas de toutes les autres choses dont je souffre, y compris l’infection pulmonaire causée par les champignons microscopiques, dont je souffre encore, ainsi que d’autres membres de l’équipage qui ont également été gravement touchés, comme Dhor Kàal’el et la petite Yazhi.

Mais nous ne pouvons tout simplement pas demander aux Urmahs de nous guérir de cela aussi, parce que comme je l’ai dit plus haut, c’est eux qui doivent proposer ce genre d’aide. Et dans ce cas, une infection, aussi ennuyeuse et dangereuse soit-elle, est un agent pathogène invasif étranger, donc je suppose que c’est plus physique et plus facile à résoudre avec de la technologie médicale.

Avec les Urmahs, je constate qu’on ne peut jamais ordonner à un chat de faire quoi que ce soit. Le félin doit vouloir coopérer, et cela vaut aussi bien pour les grands félins que pour les petits.

En conclusion, j’aime ce que les Urmahs ont fait pour moi et comment ils m’ont soignée. Je leur en serai éternellement reconnaissante. Ce fut une expérience qui a changé ma vie, déjà du simple fait d’être en leur présence, là-bas avec eux à bord de leur vaisseau.

Leur vaisseau est très différent du nôtre, car il reflète leur culture et leur mentalité, et où nous pouvons voir que pour eux, tout est chat, tout a un rapport avec les félins et tout est toujours centré sur eux, car les Urmahs sont une espèce Alpha extrêmement fière.

Je ne vois rien de mal à cela, je ne les trouve pas égocentriques, étant également extravertis et empathiques avec tout le monde. Ils sont si fiers et affectueux que cela contamine tous les autres qu’ils appellent amis. Je suppose que si tu es un lion ou un tigre de trois mètres de haut et membre d’une race interstellaire dominante, il est facile d’avoir un Ego sain et bien nourri. Cela est compréhensible.

En parlant de la procédure qu’ils ont effectuée sur moi, que je suis encore réticente à l’idée d’appeler « rituel » comme vous pouvez le voir, vous avez dû remarquer qu’elle a été réalisée exclusivement par des lions et des tigres. Car il s’agissait d’une démonstration de pouvoir (pour intimider les entités du bas astral qui attaquaient Mari sur cette faille)* qui requérait la présence des deux plus grandes et fortes espèces félines urmahs.

Les espèces félines urmahs plus petites, comme les panthères et les léopards, entre autres, avaient comme disparu du vaisseau et je ne les voyais nulle part. D’ailleurs, ça m’a manqué de ne pas voir le petit Kiraï-Kaï-Kotsée, le jeune léopard cadet des communications, que nous connaissons tous de par ses farces, comme lorsqu’il met sa patte devant la caméra de celui qui est en train de parler par visio-conférence. Je m’amuse toujours beaucoup en plaçant une patte de léopard devant le visage d’Arishah ou le mien dans mes vidéos, comme le fait Kiraï-Kaï-Kotsée dans la vraie vie quand je parle à Ari, qui a beaucoup de patience avec lui.

Une autre chose que l’on peut relever, est que tous les participants étaient des mâles, probablement dû à la nécessité à ce moment-là, de faire une démonstration de force et d’être au maximum de leur puissance en tant que race et culture urmahs.

Et au final, je ne sais pas qui était le petit chat orange, mais j’interprète sa présence comme celle d’un guide, qui m’a sortie de ma transe et m’a ramenée dans le monde matériel tel que je le connais.

Et comme dernier commentaire : les Urmahs ont gardé mes chaussures, ils ne me les ont pas rendues et j’ai un peu honte de leur demander de les récupérer, si elles existent encore. Je ne sais pas s’ils les ont simplement égarées ou s’ils les gardent comme souvenirs.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari Swa

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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