Nouvelles Spatiales du 12 décembre 2024 - Rapport d'événements, Partie 2

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Auteur : Mari Swa
Publié le 14 décembre 2024

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 12 décembre 2024.

Cette vidéo est la suite directe de la première partie « Nouvelles Spatiales du 8 décembre 2024 – Rapport d’événements, Partie 1 ».

(Note d’Éloïse Al’Cyona : 1ère partie qu’il est impératif de lire avant, sinon vous n’allez rien comprendre : Nouvelles Spatiales du 8 décembre 2024 – Rapport d’événements, Partie 1 – Fin de la note)*.

Cette première nuit que j’ai passée à bord du vaisseau Alcyone, avec le capitaine Gori’el et son équipage, a été difficile pour moi, car avant de pouvoir me retirer dans ma nouvelle chambre, et même si je me sentais très mal, j’ai dû rendre des rapports. J’ai dû expliquer tout ce que je savais sur la situation à bord du vaisseau Sadicléya, à Gori’el, à son officier en second Maxel, à son chirurgien en chef Wher, et à quatre autres chefs militaires qui sont sous le commandement de Gori’el.

J’ai dû leur raconter du mieux que je pouvais tout ce que je savais sur ce qu’il se passait à bord du vaisseau Sadicléya. Ils étaient particulièrement intéressés d’apprendre tout ce qu’ils pouvaient sur les pathogènes qui étaient supposés se trouver à bord, et sur qui avait exactement quels symptômes parmi les membres de l’équipage du Sadicléya.

Quand cette séance informative s’est enfin terminée, ils m’ont accompagnée jusqu’à ma chambre privée, petite et spartiate. Gori’el et Maxel sont entrés avec moi dans ma chambre pour m’expliquer comment la porte fonctionnait. Ils m’ont dit que les interrupteurs des portes ne fonctionnaient plus, étant donné qu’ils ne font qu’un bruit d’échappement d’air quand on les presse, mais qu’il n’y a pas assez de pression d’air pour déplacer les portes pneumatiques coulissantes.

Comme le problème était difficile à résoudre et qu’il concernait de nombreuses portes pneumatiques sur ce niveau du vaisseau, leur équipe de maintenance avait choisi d’installer des leviers manuels sur le sol, et il fallait les actionner en pompant plusieurs fois pour obtenir une pression d’air suffisamment élevée pour ouvrir les portes. Il y avait un autre levier improvisé situé de l’autre côté de la porte, dans le couloir.

Gori’el et Maxel ont continué à m’expliquer qu’en cas d’urgence, il y avait une hache pour incendie derrière ce panneau, qu’ils ont ouvert pour me la montrer.

Ensuite, après m’être remplie de remèdes taygétiens (note d’Éloïse Al’Cyona : à Taygeta, les médicaments ne sont constitués que de plantes médicinales et sont très rarement chimiques ou artificiels. Les Taygétiens ont d’ailleurs 10 fois plus de variétés de plantes médicinales que sur Terre)* pour mes problèmes d’estomac et d’intestins, ainsi que de deux types différents d’analgésiques qui, honnêtement, ne me semblaient pas fonctionner du tout, j’ai essayé de me reposer dans ma nouvelle petite chambre… Jusqu’à ce que je remarque avec consternation que les portes coulissantes de ma chambre avaient de grandes fenêtres transparentes allant du sol au plafond.

Utilisant le peu d’énergie qu’il me restait, que je sentais presque nulle, je me suis approchée de la porte et j’ai accroché une petite couverture et quelques vêtements à moi pour couvrir les fenêtres. J’avais besoin d’intimité.

Ma chambre était petite, de 4 mètres sur 4, plus une petite salle de bain. La fenêtre était petite, 40 cm sur 90, et le verre était incroyablement épais. Plus tard, j’ai appris qu’elle était faite d’un alliage de titane transparent de 120 cm d’épaisseur.

Tout dans ma chambre était extrêmement rudimentaire, y compris mon unique chaise, qui était faite de quelque chose que j’ai identifié comme du fer forgé, avec un coussin en cuir rigide dessus. Il manquait un panneau au plafond, de sorte que je pouvais voir l’intérieur du vaisseau, et il y avait des tuyaux, des câbles et des conduits partout.

Ensuite, il y avait aussi cette énorme collection de bruits étranges, qui m’étaient inconnus et qui faisaient qu’il m’était presque impossible de trouver le sommeil, même si j’étais terriblement fatiguée. Ces bruits inconnus m’ont accompagnée durant tout mon séjour sur le vaisseau Alcyone.

Ça allait de l’air pressurisé à travers des tubes de métal, jusqu’à un son rythmique métallique géant très lointain, en passant par un bruit fort d’impulsion magnétique qui s’allumait et s’éteignait par intermittence, et franchement, celui-ci était le plus effrayant de tous les sons.

On entendait aussi un crissement de métal contre du métal, très fort et agaçant, en même temps qu’un grincement roulant qui apparaissait de temps en temps sans raison apparente. Plus tard, j’ai appris que le bruit venait d’une énorme et lourde tourelle de canons qui se déplaçait sous l’emplacement de ma chambre, juste quelques niveaux en dessous, et dans la partie inférieure frontale du vaisseau.

L’Alcyone est un vaisseau de guerre, donc il n’a aucun des raffinements auxquels j’étais habituée sur le Sadicléya. Même les couloirs sont plus étroits et recouverts de toutes sortes de conduits, tuyaux et câbles sur et dans les murs. Et à chaque angle, il y a une boîte électrique remplie de lumières, et une jungle de câbles et de tubes qui y entrent et en ressortent.

De temps en temps, dans les coins il y a des trappes au sol ou au plafond, avec des échelles à l’intérieur et des lumières qui brillent à travers l’ouverture cylindrique. Et contrairement au Toléka, ou plus récemment le Sadicléya, ce vaisseau est plein d’activité 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et il fourmille de membres d’équipage occupés à remplir leurs fonctions.

Le lendemain, alors que je marchais jusqu’à l’infirmerie avec le capitaine Gori’el, nous sommes passés par un endroit dans le couloir où il y avait une fuite d’air pressurisé qui faisait un bruit si fort que nous ne pouvions pas nous entendre parler. Nous sommes arrivés à l’infirmerie et la docteure Karez m’a donné les remèdes qui avaient été spécialement concoctés pour mes besoins.

Ensuite, moins de 5 minutes plus tard, Gori’el et moi marchions dans l’autre sens dans le même couloir, et les panneaux du sol étaient ouverts, avec deux membres d’équipage qui étaient déjà sur les lieux pour réparer la fuite d’air. Et tandis que nous passions à côté, les deux membres de l’équipage se sont levés et nous ont salués militairement. J’ai été absolument stupéfaite de voir un tel niveau d’efficacité.

Pendant que nous marchions, j’ai dit à Gori’el que j’avais remarqué que l’équipage me saluait militairement à mon passage, y compris lorsque j’étais seule, et que ce n’était pas nécessaire. Gori’el s’est alors tourné vers moi, m’a regardée avec un grand sourire rassurant et m’a dit : « Ah si, c’est nécessaire ! Le respect du grade est essentiel pour maintenir une hiérarchie efficace et loyale. Tu es notre reine et donc aussi la chef de l’armée taygétienne. Personne n’est plus haut gradé que toi, ce qui fait qu’ils doivent te saluer à ton passage ».

J’étais un peu sous le choc, car je n’avais jamais reçu autant de respect de toute ma vie, encore moins à bord du Toléka ou du Sadicléya, où régnaient la familiarité et l’indifférence, même si ce n’était pas de la part de tout le monde.

Ici, on m’a traitée comme la reine que je suis et ça a été difficile pour moi d’intégrer cela une bonne fois pour toutes.

Plus tard dans la journée, quatre grosses navettes militaires de l’Alcyone sont arrivées au hangar du vaisseau Sadicléya. Même si ce n’était peut-être pas nécessaire, quatre équipes d’assaut hautement entraînées en sont descendues, ainsi que plusieurs véhicules blindés militaires.

Le Sadicléya a été submergé d’un seul coup par au moins 100 militaires, dont certains ont commencé à établir une base d’opérations avancées là-bas, sur le pont du hangar. Ils y ont monté des tentes et ont délimité un périmètre avec ce qui ressemblait à des sacs de sable, qui supportaient des barrières de protection portables. Ils ont installé des remorques de générateurs électriques et un tas d’antennes de communication. Ils ont installé un centre de commandement et de communication dans l’une des tentes et ils se sont comportés exactement comme s’ils devaient monter un camp de base sur la surface d’une planète.

Plus tard, j’ai appris qu’il s’agissait de leur protocole d’indépendance totale, grâce auquel ils n’ont besoin de rien provenant du vaisseau spatial qu’ils abordent.

Pendant que certains installaient le camp, les quatre équipes d’assaut avec leur équipement spatial complet, qui incluaient des casques totalement isolant pour se protéger des agents pathogènes à bord, se sont dirigés vers le pont du vaisseau, où ils ont relevé de leurs fonctions tous ceux qui s’y trouvaient, et ils ont pris le contrôle total du vaisseau Sadicléya.

En prenant le contrôle du vaisseau, les équipes militaires de l’Alcyone ont constaté que le journal de bord du Sadicléya n’avait pas été utilisé et n’avait pas eu de nouvelles entrées de données depuis plusieurs mois. Ce qui a ensuite été signalé comme tout à fait illégal et suggérant un coup tordu.

Plusieurs dizaines de membres des équipes ont ensuite parcouru tout le Sadicléya, prenant position dans des endroits clés tels que le pont CIC et l’atrium central. Plus tard, les équipes sont arrivées au centre médical, où se trouvait la majorité des membres de l’équipage, la plupart étant allongés dans 22 des 25 caissons médicaux secs du vaisseau.

C’est là que les militaires se sont heurtés à la première résistance à leur abordage, car certaines personnes considéraient que leur démonstration de puissance militaire était exagérée, inutile, intimidante et même insultante. Et ce, alors même que j’avais totalement autorisé cet abordage, et que la majorité des personnes qui étaient toujours debout à bord du Sadicléya l’avaient accepté.

Bien que je comprenne le sentiment et le point de vue de nos quelques amis qui étaient toujours debout à bord du Sadicléya, les militaires n’auraient pas pu agir autrement, car le protocole existe pour une bonne raison et ils ne savaient pas ce qu’ils allaient trouver à bord.

Avec l’efficacité typique de l’Alcyone, les équipes médicales du capitaine Gori’el, dirigées par son chirurgien en chef Wher, sont arrivées au centre médical ou infirmerie du Sadicléya et se sont immédiatement mises au travail.

Soudain, l’infirmerie du Sadicléya, dont le personnel médical n’était constitué que de 3 personnes, a été envahie par au moins 40 personnes ayant une formation médicale, provenant toutes du vaisseau Alcyone.

La première chose qu’ils voulaient voir étaient les données biométriques et médicales de chacune des personnes qui étaient malades et qui se trouvaient dans les caissons médicaux. Sachant aussi que tout le monde à bord du vaisseau Sadicléya était malade, à un degré ou à un autre.

La chirurgienne en chef du vaisseau Sadicléya, Sénètre, qui venait de passer plusieurs heures dans un caisson médical sec, s’était levée et essayait d’aider ceux qui venaient d’arriver à l’infirmerie. Elle a expliqué aux militaires que tous les membres de l’équipage présentaient des symptômes grippaux sévères, avec une forte toux paralysante. Ainsi qu’une infection gastro-intestinale aiguë correspondant à la salmonelle, caractérisée par de violentes douleurs abdominales et une forte fièvre, leur provoquant également des crampes intestinales et une paralysie dangereuse de l’intestin.

Le docteur Wher a demandé à voir les données des ordinateurs médicaux du Sadicléya, et c’est là que les choses ont commencé à devenir étranges. Ce que Sénètre, la chirurgienne du Sadicléya, disait au docteur Wher et à son équipe, n’était pas congruent avec les données médicales des ordinateurs du vaisseau, qui avaient eux-mêmes obtenu leurs informations des données biométriques des capteurs des caissons médicaux secs, ainsi que des analyses de laboratoire qui avaient été effectuées sur chacun des membres d’équipage du Sadicléya.

Là où Sénètre avait indiqué la salmonelle, les données avaient indiqué qu’aucun agent pathogène contagieux n’avait été trouvé. Et là où Sénètre avait indiqué une forte fièvre détectée chez chacun des membres d’équipage, les lectures biométriques des caissons secs avaient indiqué une température corporelle normale.

Un des assistants médicaux du docteur Wher, qui fait partie de son personnel sur l’Alcyone, s’est approché de lui et lui a montré les résultats des analyses des agents pathogènes qui venaient d’être effectuées avec l’équipement médical avancé qu’ils avaient sur eux. Et les résultats étaient clairs : il n’y avait aucun agent pathogène transmissible par voie aérienne présent à bord du Sadicléya, ni aucune trace d’aucun autre agent pathogène.

Bien qu’il ait été déterminé par la suite qu’il y avait effectivement une infection fongique sévère, présente dans les poumons et les bronches des personnes qui avaient été exposées aux spores (dans la voiture)*, mais qui n’était pas contagieuse.

Et plus tard, il a également été découvert qu’une infection légère de salmonelle était bien présente chez l’un des membres d’équipage, la petite Yazhi Sophia, mais qu’elle ne s’était transmise à personne d’autre.

Quand le docteur Wher s’est aperçu qu’il n’y avait aucun danger pour ses équipes, et pour le plus grand effroi de Sénètre, il leur a ordonné de tous retirer leurs casques. Puis le docteur Wher a ordonné que l’on sorte tout le monde des caissons médicaux secs, pour démarrer un traitement alternatif.

Sénètre et les quelques autres membres de l’équipage du Sadicléya qui étaient présents et debout, y compris Salaphaïel, un opérateur des Forces Spéciales Hashmallim, ont commencé à se mettre en colère et à s’opposer fermement aux ordres du docteur Wher.

Et quand ils ont commencé à se disputer vivement à propos de ce qu’il se passait et de comment il fallait gérer les choses, Sénètre et ses amis ont imposé leurs rangs militaires au docteur Wher et à son équipe, et leur ont ordonné de se retirer et de leur obéir, puisque l’équipe du Sadicléya avait un grade plus élevé que celui des équipes du vaisseau Alcyone.

Le docteur Wher n’a donc pas eu d’autre choix que de retirer son équipage et son équipement, et d’en informer Gori’el, Maxel et moi-même, qui suivions ce qu’il se passait depuis le vaisseau Alcyone.

C’est là que j’ai réalisé que je n’avais pas d’autre choix que de prendre une décision qui, je le savais, allait mettre en colère tous mes amis à bord du Sadicléya et peut-être même les faire se retourner contre moi…

Sur mes ordres en tant que reine de Taygeta, j’ai annulé ou gelé tous les grades, titres et rôles de tous les membres de l’équipage du Sadicléya.

C’était la seule façon de m’assurer que le capitaine Gori’el, le docteur Wher et son personnel, ainsi que tous les autres membres militaires qui avaient abordé le Sadicléya, puissent faire leur travail de manière efficace et sans interférence de l’équipage originel de ce vaisseau.

L’autre raison pour laquelle j’avais supprimé et annulé tous les grades, titres et rôles des membres de l’équipage du Sadicléya, provenait des conclusions préliminaires dérangeantes auxquelles le docteur Wher était parvenu : toutes les preuves réunies par son équipe médicale, indiquaient que ce qu’il se passait dans le Sadicléya correspondait plus à une sorte de psychose délirante partagée et induite, d’origine inconnue.

Puis le docteur Wher et son équipe ont continué à nous informer Gori’el, Maxel et moi, du fait que cet épisode psychotique collectif avait été provoqué par un isolement prolongé à l’intérieur d’un vaisseau spatial, d’autant plus que l’équipage du Sadicléya était très réduit.

Cependant, le docteur Wher a fourni des preuves irréfutables que quelque chose d’autre se passait.

Tout le personnel militaire de Taygeta, en particulier le personnel médical, étudie et connaît bien les sujets liés à l’astral et aux choses qui sont considérées comme paranormales sur Terre, mais pas à Taygeta, car ils doivent souvent faire face à des espèces spatiales étranges et très dangereuses.

Le docteur Wher, ainsi que le reste de son personnel médical, comme la docteure Karez, et aussi la docteure Zari, sont considérés comme des autorités dans les problèmes de santé qui sont générés depuis l’autre côté (le côté astral)*.

Le docteur Wher, la docteure Karez et la docteure Zari insistent sur le fait que ce qu’il se passait à l’intérieur du vaisseau Sadicléya correspond totalement à une attaque psychique astrale puissante et élaborée, réalisée principalement avec des techniques de manipulation guidée depuis l’autre côté, et conçue pour faire du mal aux personnes visées.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : À ce sujet, si ce n’est pas déjà fait, je vous conseille vivement de lire la traduction de la vidéo de Mari intitulée « Attaque psychique » : Attaque psychique – Fin de la note)*.

Ils ont, tous les trois, insisté sur le fait que la docteure Sénètre, ainsi que les autres membres de l’équipage du Sadicléya présents là-bas, étaient tous très malades à ce moment-là, et qu’ils agissaient tous comme s’ils étaient dans une sorte de transe induite.

Au fil des jours, je me suis sentie beaucoup mieux et j’ai commencé à récupérer par rapport à ce qui me faisait mal. J’ai pu commencer à manger plus de choses sans tomber malade et j’ai repris des forces petit à petit.

Heureusement, on pouvait dire la même chose de tous les membres d’équipage du Sadicléya, bien que certains progressaient mieux que d’autres. Et Dhor Kàal’el était celui qui avait le pire état de santé, car il luttait contre une forte infection pulmonaire, en plus de ce qu’il se passait dans son estomac et ses intestins.

Par contre, la personne à bord du Sadicléya qui récupérait le plus vite était la petite Yazhi Sophia qui, quelques jours plus tard, sautait déjà sur son lit.

Au fil des jours, et après de plus amples recherches sur ce qu’il se passait, le docteur Wher, la docteure Karez et la docteure Zari du vaisseau Alcyone ont rendu un verdict :

Leur conclusion est qu’il s’agissait d’une maladie psychosomatique générée par un délire psychotique induit et partagé, généré par une attaque astrale puissante et coordonnée, dirigée spécifiquement contre Dhor Kàal’el et moi. Les symptômes du reste de l’équipage n’étaient que des dommages collatéraux. À moins que de nouvelles données surgissent plus tard.

Et dans la conclusion officielle et dérangeante qu’ils ont transmise au Haut Conseil taygétien de la ville de Toléka, ils ont indiqué que tout cela était une tentative d’assassinat élaborée contre ma vie et contre celle de Dhor Kàal’el. Probablement parce qu’il me soutient et qu’il en sait trop.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Si vous voulez découvrir qui est Dhor Kàal’el, voici sa présentation. Et gardez à l’esprit que les « surnoms » que le NORAD (surveillance de l’espace aérien nord-américain) donne à chacun des membres de l’équipage du Toléka / Sadicléya, correspondent réellement à des personnages qu’ils ont été au cours de cette même vie, en tant que Step Downs sur Terre, à différentes époques de l’histoire de l’humanité, grâce à leur capacité de voyager dans le temps avec leur vaisseau. Des missions d’aide suite auxquelles ils ont souvent été déifiés par les humains. C’est ainsi que la plupart des dieux et déesses de nos mythologies sont « simplement » des extraterrestres qui sont descendus sur Terre en Step Down, souvent directement avec leur vaisseau spatial, qui atterrissait à la vue de tous, car à l’époque la Directive Première de la Fédération Galactique était quasiment inexistante. Alors lisez le « CV » impressionnant de Dhor Kàal’el, ainsi que les « surnoms » que lui donne le NORAD, qui est lié à la Cabale et qui sait exactement qui ils sont et leurs différentes implications sur Terre, et vous comprendrez pourquoi Dhor Kàal’el a été particulièrement visé par ces attaques pour être éliminé : Dhor Káal’el de Temmer – Fin de la note]*.

La question maintenant est de savoir par qui ont été élaborées ces attaques ? Pourquoi ? Et comment ?

Les choses continuent à se développer ici, pendant que j’écris ces mots. Tout est encore en cours et il y aura plus de parties et plus de vidéos sur ce sujet.

Au cas où vous vous demandiez à quoi pouvaient bien servir les autres vaisseaux taygétiens présents en orbite autour de la Terre, voici la réponse.

À suivre…

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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