Nouvelles Spatiales du 13 mars 2025 - Tentative de kidnapping à mon encontre & un message du CIC à la fin

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Auteur : Mari Swa
Publié le 15 mars 2025

 

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]

Bonjour, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez tous très bien. Je suis Mari, avec une nouvelle édition de Nouvelles Spatiales. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 13 mars 2025.

J’ai dû prendre quelques jours de congé cette semaine, d’abord parce que les célébrations de mon anniversaire (8 mars)* ont interrompu mon rythme de travail. Ensuite, j’ai eu quelques jours très chargés où j’ai rempli mon rôle de reine de Taygeta, car je devais aller à Temmer presque tous les jours, en utilisant la technologie de présence à distance.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Mari fait ces précisions car cette semaine-là, elle n’avait publié sur sa chaîne YouTube quasiment que des vidéos courtes, qui sont des résumés d’anciennes vidéos, qu’elle ne publie normalement que le mercredi et qui lui permettent ainsi de se dégager du temps pour son travail de reine, car elle n’a alors pas besoin d’écrire de texte et c’est l’équipe du CIC qui s’occupe de monter et de publier ces vidéos courtes sur sa chaîne. Et parfois, quand elle est encore plus occupée que d’habitude, ou comme lorsqu’elle était très malade à la fin de l’année dernière, elle en publie aussi en dehors du mercredi – Fin de la note)*.

Il y a aussi un autre petit problème qui est généré ou se produit chaque fois que quelqu’un voyage depuis ici (la Terre)* jusqu’à n’importe quel endroit de Temmer ou d’Erra, et il s’agit du rapport différentiel de glissement temporel très marqué de 4,6 à 1, entre la Terre et Taygeta. Cela signifie qu’une heure là-bas à Taygeta équivaut à près de 5 heures passées sur la Terre ou à proximité, c’est-à-dire là où je me trouve physiquement.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Mari nous parle ici des fois où elle se rend à Taygeta en présence à distance depuis la salle d’immersion de son vaisseau, en orbite de la Terre. En effet, bien que dans leurs vaisseaux en orbite terrestre, les Taygétiens aient la même perception du temps que nous à la surface de la Terre, simplement du fait d’être plongés dans nos accords de perception, il se trouve que chaque fois qu’elle se rend à Taygeta, même si c’est à distance et sans quitter son vaisseau en orbite terrestre, cela la plonge à nouveaux dans les accords de perception de Taygeta et des Pléiades en général, ce qui entraîne ce fameux décalage temporel de 4,6 / 1, qui fait que lorsque Mari a terminé son immersion, c’est comme si le temps dans son vaisseau en orbite terrestre s’était écoulé 4,6 fois plus vite que d’habitude, ce qui raccourci considérablement ses journées, déjà très chargées – Fin de la note)*.

Cela nous a fait prendre conscience de la nécessité de créer une méthode pour calculer la différence de temps entre les deux endroits, afin d’augmenter notre efficacité. Jusqu’à présent, le seul moyen possible était de programmer un ordinateur pour effectuer les calculs, mais personne ne l’a encore fait.

Et il y a un autre facteur qui freine mes voyages à Temmer pour y remplir mes devoirs de reine, qui est la nécessité de renforcer la sécurité autour de moi, même lorsque j’utilise la technologie de présence à distance. En effet, bien que cette technologie soit extrêmement sûre, puisque de l’autre côté à Taygeta je ne suis qu’un hologramme de très haute définition (si bien que les gens ont l’impression qu’elle est réellement physiquement sur place)*, il y a à peine quelques jours j’ai subi un incident fâcheux au cours d’une immersion.

Les vaisseaux de chasse taygétiens Suzy 6 avaient intercepté un vaisseau de chasse des Programmes Spatiaux Secrets humains de la Terre, qui tentait d’entrer dans l’espace temmérien (Temmer)*. Après s’être collés à ses flancs et lui avoir donné l’ordre d’atterrir sur la base militaire taygétienne la plus proche, le vaisseau humain, qui utilisait des codes d’identification de transpondeur alfratien, avait décidé d’obéir, contrairement aux autres, qui tentaient de fuir ou d’affronter les intercepteurs taygétiens.

Il avait été contraint d’atterrir dans la zone militaire du port spatial au sud de la ville de Toléka, à Temmer. Ses quatre membres d’équipage avaient été interrogés, mais comme d’habitude, ils n’étaient que des pilotes exécutant des ordres, et ils avaient déclaré qu’ils devaient emmener le vaisseau à Temmer et attendre les instructions une fois qu’ils y auraient atterri. Des ordres assez vagues, comme vous pouvez le constater.

J’ai alors reçu un appel du personnel proche d’un officier de haut rang, qui est un ami du capitaine Gori’el, à Temmer, m’informant qu’ils avaient capturé un vaisseau humain intact et que cela m’intéresserait peut-être de le voir de près. Apparemment, ils me connaissent bien, parce que je me suis évidemment précipitée dans la salle de présence à distance ici sur mon vaisseau, et je suis allée à Temmer pour voir de près le vaisseau capturé.

Quand je suis arrivée à Temmer, il faisait nuit et j’ai été escortée par le détachement militaire de l’ami de Gori’el, assigné pour m’assister. J’ai été emmenée dans un hangar isolé et sombre, et quand nous sommes entrés, il y faisait presque complètement noir. Le chef du détachement a refermé la porte à clef derrière moi, et c’est la première chose qui m’a alertée car ce n’était pas nécessaire.

Comme j’utilisais la technologie de présence à distance, je ressentais plus de curiosité que d’inquiétude, alors j’ai suivi ces personnes pour voir ce qu’elles tramaient. Finalement, ils ont allumé les lumières, qui étaient anormalement faibles et jaunes, m’empêchant de voir beaucoup de détails, y compris leur visage.

Tandis que nous marchions en direction de l’arrière du hangar, j’ai commencé à voir le nez d’un petit vaisseau spatial construit par des humains, partiellement recouvert d’une grande bâche bleue et pratiquement caché derrière une grande grue taygétienne conçue pour les travaux lourds, comme la restauration de petits vaisseaux ou le retrait de grands objets.

Le vaisseau humain des Programmes Spatiaux Secrets était légèrement plus grand qu’un chasseur taygétien de classe Suzy de sixième génération (il doit donc mesurer autour de 100m de long)*. Comme le sont habituellement les vaisseaux spatiaux humains, il était peint tout en blanc avec des parties noires, y compris sa petite navette spatiale, qui avait été retirée et placée à l’extérieur. Et de chaque côté, on pouvait lire « United States Air Force », avec toutes ses insignes.

J’ai inspecté le vaisseau en marchant autour de lui, observant tous les détails que je pouvais, malgré la faible lumière jaune du hangar. Pour moi, cela ressemblait beaucoup à une version dérivée d’un vaisseau de chasse alfratien à longue distance, ce qui m’a fait encore plus réaliser à quel point la collaboration entre Alfrata Centauri et la Cabale de la Terre est étroite. Ils partagent clairement de la technologie spatiale et pas seulement des codes de transpondeurs.

J’ai été invitée à entrer dans le vaisseau pour voir comment était l’intérieur, ce que j’ai accepté, sachant encore une fois que je n’étais pas là en personne mais en utilisant la technologie de présence à distance, donc que j’étais en sécurité. J’utilisais également un inhibiteur de détection de présence à distance, que nous venions de développer et qui me permet d’utiliser la présence à distance sans que cela puisse être détecté par les personnes sur place autour de moi, donc de leur faire croire que je suis là en personne.

La technologie de présence à distance est un hologramme mobile d’ultra haute résolution, qui permet à l’utilisateur d’être ailleurs avec le plus grand réalisme. Contrairement à la technologie primitive de l’hologramme bleu qui est montré dans les films Star Wars.

Les gens de Taygeta, et encore plus les militaires, ont des dispositifs qui détectent quand quelqu’un utilise une présence à distance. Mais nous avons développé des contre-mesures électroniques très efficaces qui, depuis cet incident, ne sont plus un secret. Donc je peux publier ces informations sur ma chaîne.

Une fois à l’intérieur du vaisseau et après y avoir accédé par une petite rampe avant, j’ai été invitée à aller sur le pont, dans la cabine de pilotage, où ils m’ont encouragée à démarrer les moteurs. Je ne savais pas comment, mais j’ai fini par découvrir que les boutons de démarrage étaient cachés sous un couvercle en plastique gris situé sur la manette de droite. Contrairement aux vaisseaux taygétiens, qui ont les boutons de démarrage juste devant, sur la console principale.

Et tu dois appuyer sur ces boutons de démarrage des moteurs après avoir lancé la séquence d’allumage, principalement pour que les composants électriques s’activent. Tu dois aussi allumer l’unité de puissance auxiliaire, ou UPA, afin que les systèmes du vaisseau aient assez d’énergie pour que les turbines à plasma commencent à tourner.

Cette procédure a été facile à trouver, parce que sa séquence était assez similaire à celle des vaisseaux que je connais.

Ce que j’ai trouvé intéressant, pour ne pas dire inquiétant, c’est que les supposés militaires taygétiens avec qui j’étais, ne savaient pas comment démarrer un vaisseau similaire aux nôtres, ou du moins c’était ce qu’ils disaient. Parce que, même si ce vaisseau était différent des nôtres, ils avaient pas mal de choses en commun, comme je venais de le démontrer moi-même.

Presque tous les Taygétiens savent comment démarrer un vaisseau, même les enfants, parce qu’ils grandissent entourés par eux. Presque tout le monde à Taygeta en a un, donc ils sont aussi communs que le sont les voitures pour les humains.

Lorsque les moteurs du vaisseau humain ont pris vie, ils ont rugi avec un bruit tonitruant super fort, accentué par le fait d’être à l’intérieur d’un hangar, donc je les ai rapidement éteints avant qu’ils ne causent des dommages à l’extérieur du vaisseau.

Mais le chef militaire avec qui j’étais, m’a dit de ne pas les éteindre, ce qui m’a paru étrange, d’autant plus qu’ils m’ont ensuite expliqué que le vaisseau avait besoin d’un processus d’arrêt spécifique. De plus, cela signifiait que, finalement, ils savaient comment démarrer et arrêter le vaisseau, et donc qu’ils me mentaient.

À ce moment-là, au moins l’un d’entre eux s’était rapproché suffisamment de moi pendant que j’étais aux commandes, donc peut-être qu’à un certain moment il a touché ma robe ou une autre partie de moi sans que je le vois (et sa main a traversé cette partie de Mari)*, et ils ont réalisé que j’étais juste un hologramme. Parce que lorsque je me suis levée du siège du pilote, leur attitude envers moi était différente. Ils étaient clairement déçus et leur courtoisie envers moi s’est réduite.

J’ai trouvé cela très étrange, car jusqu’à présent ils s’étaient montrés dévoués et même enchantés de ma présence. Mais quand je me suis levée du siège du pilote, leur attitude avait complètement changé, et je pouvais clairement lire la déception sur leur visage, comme s’ils avaient échoué dans leur mission ou comme si quelqu’un allait les punir d’une quelconque façon.

Même en étant un hologramme, je pouvais manier les commandes du vaisseau, puisque la technologie d’immersion totale est conçue pour concentrer suffisamment de magnétisme de haute énergie dans la zone des mains et des doigts, de façon à pouvoir manipuler certains objets, tant que l’énergie nécessaire à leur maniement ne dépasse pas un certain seuil.

On peut semi-matérialiser des parties nécessaires d’un corps, par modulation de vibration de fréquence énergétique, qui suit des principes similaires à ceux décrits dans la théorie de la manifestation.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la mécanique de la manifestation, voici deux textes et vidéos de Swaruu de Erra à ce sujet, à regarder ou à lire dans l’ordre, car le 2ème sont les questions du public par rapport au 1er :

1) Mécanique de la manifestation et Énergie Libre (Ou Énergie du Point Zéro) – Swaruu de Erra

2) Mécanique de la Manifestation & Énergie Libre : Questions – Swaruu De Erra – Fin de la note)*.

Comme j’en avais marre de tout ça et que je ne me sentais pas en sécurité, en plus de me sentir insultée, je leur ai dit au revoir et je suis sortie du vaisseau. J’ai marché jusqu’à la porte d’entrée du hangar, où le militaire principal qui m’accompagnait m’a ouvert la porte qui avait été fermée à clef.

Puis je me suis dirigée vers un véhicule à roues qui m’attendait et m’a emmenée au bâtiment du Haut Conseil, où je suis ressortie de la présence à distance, car cet endroit est mon point habituel d’entrée et de sortie.

De retour à bord de mon vaisseau Enterprise, je suis sortie de la salle de présence à distance et je suis entrée dans le couloir, me sentant assez bouleversée et un peu tremblante, car j’avais clairement esquivé une tentative d’enlèvement.

Si j’étais allée réellement là-bas, aujourd’hui il n’y aurait pas de Mari en train d’écrire ces mots. Enfin bon, je suppose que c’est exactement ce à quoi sert la technologie de présence à distance.

Tout de suite après cet incident, j’ai informé Gori’el, Maxel et Thalès de ce qu’il s’était passé, car ce sont mes officiers supérieurs ici. Gori’el en a parlé à ses amis proches et subordonnés à Temmer, et une enquête a été lancée sur ce groupe de personnes avec qui j’étais et qui avaient été désignées pour me montrer le vaisseau humain capturé. Mais pour l’instant, il n’y a rien de concluant.

Au début, nous soupçonnions que c’étaient des Alfratiens ou même des Humains qui se faisaient passer pour des militaires taygétiens pour pouvoir me kidnapper. Et nous le croyions aussi parce que j’ai remarqué qu’ils avaient tous la peau, les cheveux et les yeux plus foncés que le Taygétien moyen.

Il y a des Taygétiens plus foncés de peau, comme par exemple Ana Olgyria, à bord du vaisseau Sadicléya (qui est brune aux yeux verts, et qui est arrivée depuis son île de Temmer avec la peau très bronzée)*, mais ils sont minoritaires. Et le fait d’en avoir autant dans la même unité militaire est pour le moins suspect, car il n’y a pas de séparation en fonction des couleurs de peau dans l’armée taygétienne, ni dans aucune autre armée ailleurs. Même moi, je fais partie de la minorité, car j’ai les yeux noisette foncé, bien que mes cheveux soient beaucoup plus clairs qu’ils ne le sont sur les photos de moi, sur lesquelles je suis obligée d’apposer un filtre avec une IA, pour pouvoir les retransmettre dans mes vidéos.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Le fait de mettre des filtres ou de légèrement modifier leurs photos réelles, sans toutefois toucher à leur visage, mais en ajoutant des parties faites par ordinateur, comme par exemple leur combinaison spatiale, permet aux Taygétiens de nous transmettre depuis quelques années de vraies photos d’eux, sans que ce soit détecté par les filtres automatiques de la censure de la Fédération Galactique (qui les interprètent comme des images factices et non comme de vraies photos, donc qui les laissent passer).

Étant donné que la Fédération Galactique du Viéra contrôle tout ce qui provient des ordinateurs des vaisseaux en orbite terrestre et qui passe par notre internet, et vice versa, au nom de la fameuse et hypocrite Directive Première, qui interdit strictement aux extraterrestres de communiquer trop directement avec les humains et de leur apporter des preuves évidentes de leur existence.

Car c’est en grande partie cette loi qui permet de maintenir en place la Matrice de la Terre, à laquelle la Fédération Galactique tient tant. Une Matrice qui, je vous le rappelle, est avant tout mentale, faite d’ignorance et de croyances limitantes, parmi lesquelles figure par exemple la croyance que les humains n’existent que sur Terre et que les extraterrestres sont forcément différents de nous, donc étrangers à nous, donc inaccessibles et finalement pas si réels, donc que nous sommes bien seuls dans l’univers, à part quelques lointains petits bonhommes bleus ou verts…

Or, que fait un manipulateur pour soumettre quelqu’un, ou que fait un gourou de secte pour soumettre tout un groupe de personnes ? Il le coupe de ses proches (en l’occurrence, de nos cousins stellaires humano-lyriens qui vivent partout dans la galaxie, et de nos familles stellaires qui sont en orbite terrestre) et il l’isole du monde extérieur, afin de le soumettre et le manipuler beaucoup plus facilement – Fin de la note]*.

Au cours de l’enquête, on a découvert que tout le personnel qui m’accompagnait ce soir-là était effectivement taygétien. Mais ils pouvaient quand même être corrompus et travailler pour le côté obscur. Ils ont tous été renvoyés de l’armée taygétienne pour avoir enfreint des protocoles de sécurité critiques autour de la reine, et deux d’entre eux ont été interrogés par le détachement Urmah Hyadéen, stationné en permanence dans la ville de Toléka. Et vous savez à quel point ces chats peuvent être persuasifs.

Ces Urmahs ont découvert qu’au moins ces deux personnes principales qui m’accompagnaient cette nuit-là, travaillaient pour un militaire alfratien suspect de haut rang, qui est aussi actuellement sous enquête dans le vaisseau andromédien à biosphère Viéra, en raison de ses liens avec ceux qui ont fourni les trois vaisseaux de chasse alfratiens qui sont entrés dans Temmer il y a quelques semaines (dont certains membres d’équipage ont tué Raguel et Xeniel)*.

Deux de ces vaisseaux alfratiens avaient été détruits par des chasseurs taygétiens Suzy 6, et le premier d’entre eux avait été confisqué plus tard, car il avait été modifié pour imiter un vaisseau taygétien Suzy de deuxième génération.

Pour le moment, ces deux militaires taygétiens resteront en état d’arrestation pour tentative de kidnapping de la reine.

Et le vaisseau spatial humain intact fera partie de l’inventaire taygétien, car il pourrait être utile à l’avenir. Il a été minutieusement inspecté par du personnel compétent taygétien pour empêcher toute action inattendue, par exemple au cas où il contenait quelque chose de dangereux.

Tout cet incident a déclenché une purge et un examen minutieux de tout le personnel militaire de Taygeta, en particulier de ceux qui sont hauts gradés ou qui occupent des postes critiques de sécurité, et encore plus de ceux qui ont été désignés pour m’escorter à Taygeta, même lorsque je ne m’y rends qu’en présence à distance.

Pendant que j’étais là-bas, je n’ai jamais été en réel danger, du moins physiquement. Cependant, tout cela m’a pas mal affectée émotionnellement, car j’ai pu voir à quel point je pouvais être vulnérable si je commettais une erreur. Après tout, la Cabale a mis ma tête à prix.

Ça fait toujours mal de voir et d’observer ceux qui ne m’apprécient pas. Cependant, je sais que je ne commettrai pas une telle erreur, car je suis pleinement consciente des dangers auxquels je peux être exposée.

Cet incident nous a alertés, mes amis, mes militaires loyaux et moi, si bien que nous avons encore plus renforcé tous les protocoles de sécurité. À tel point que maintenant, lorsque je me rends quelque part, les protocoles de sécurité autour de moi restent toujours aussi stricts, que j’y sois en présence à distance ou physiquement en personne.

Et le fait d’avoir des gardes du corps en permanence autour de moi, fait qu’il est encore plus difficile de savoir si j’utilise une présence à distance ou si je suis réellement physiquement là-bas. D’autant plus que les nouvelles contre-mesures électroniques qui empêchent que quiconque sache si je suis vraiment là-bas ou si c’est juste un hologramme, sont très efficaces et infaillibles.

La sensation générale que j’ai eue pendant l’incident, ce que j’ai perçu émotionnellement, c’est qu’il s’agissait d’une tentative de kidnapping, d’autant plus que la Cabale a dit qu’elle me voulait en vie, du moins si c’est possible.

Gori’el, mon ministre de la défense et capitaine de grade 5, a réagi à cet incident avec beaucoup d’inquiétude, d’autant plus que la menace provenait de l’intérieur, d’une unité militaire entière qui était prétendument loyale envers nous tous. Et comme je l’ai dit plus tôt, maintenant tous les membres de l’armée taygétienne font l’objet d’une enquête.

C’est tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.

Message du CIC (centre taygétien de collecte d’informations, dont les membres se trouvent à bord de plusieurs vaisseaux de la flotte en orbite terrestre)* :

Chers amis, merci beaucoup pour tout votre soutien constant, pour la force que vous nous envoyez à travers chacun de vos mots et gestes gentils, et pour tous les messages que nous lisons dans le tchat lors des Premières.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Tous les week-ends à 14h (heure française), et parfois aussi d’autres jours de la semaine lorsqu’il s’agit de nouvelles particulièrement importantes, les vidéos de Mari sont en « première ». C’est une sorte de direct (live), durant lequel on peut écrire dans le tchat et échanger avec d’autres abonnés du monde entier, d’autant plus que le tchat est ouvert plusieurs heures avant. Or, ce sont les membres du CIC qui modèrent le tchat, venant parfois nous informer de quelque chose en l’écrivant dans plusieurs langues directement dans le tchat, et transmettant parfois nos messages et questions à Mari à posteriori – Fin de la note]*.

Merci pour vos vœux d’anniversaire adressés à Mari et à tous les membres des équipes taygétiennes.

Nous voulons vous rappeler que ni Mari ni aucun Taygétien ne sont sur aucun réseau social, plate-forme, application ou e-mail. Ni sur Twitter, X, Instagram, Facebook, WhatsApp, Telegram, etc. Notre reine Mari n’a que ses deux chaînes YouTube (sa chaîne principale et sa chaîne de secours)* et elle n’est nulle part ailleurs : « Swaruu Oficial », qui est en espagnol et en anglais (Swaruu Oficial)*, et « Swaruu Official » avec deux F, qui est en anglais et qui est inactive pour l’instant.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : cette dernière est en réalité sa chaîne de secours, au cas où on lui supprime l’autre. Je vous conseille de vous y abonner au cas où, afin de ne pas à avoir ensuite à la rechercher partout sur YouTube : Swaruu Official – Fin de la note)*.

Et nous, les membres des équipes CIC, nous avons nos propres comptes YouTube pour modérer ces chaînes. Toute autre chaîne ou personne demandant de l’argent ou des crypto-monnaies en son nom ou au nom du peuple taygétien, n’est pas Mari. Ce sont des opportunistes qui veulent faire du profit avec ses informations. N’utilisez jamais de lien pour faire un don s’il n’apparaît pas directement sur la chaîne de Mari.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Pour ma part, je transmets parfois ce lien dans mes traductions, pour encourager mes lecteurs à faire des donations à Mari et leur faciliter la tâche, mais je n’en retire évidemment aucun bénéfice personnel – Fin de la note)*.

Merci à tous de regarder et d’écouter les vidéos de Mari, et d’apprécier ses efforts et sa persévérance. Merci pour votre soutien.

Cette semaine, Mari avait besoin de se concentrer sur ses affaires à Temmer.

Nous vous aimons beaucoup. Un gros câlin à tous, chers amis.

Les équipes CIC.

~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~

 

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