Auteur : Mari Swa
Publié le 9 décembre 2024

[Vidéo à venir plus tard, image fixe en Attendant]
Bonjour à nouveau, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.
Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !
J’écris ceci le matin du 8 décembre 2024.
Étant donné que les événements qui ont démarré en octobre 2024, ont l’air de commencer à se stabiliser, il est temps pour moi de partager avec vous ce qu’il s’est passé ici.
Je sais que mon groupe et moi-même avons été accusés d’être plongés dans plein de drames. Beaucoup de gens sur Terre n’aiment pas ça chez nous, mais comme je l’ai dit tant de fois auparavant, nous sommes juste des personnes comme vous. Par conséquent, l’existence-même est un drame et une lutte constante pour rester en vie. De plus, les drames peuvent être sources de beaucoup de connaissances et d’enseignements, car ils nous poussent à être résilients, à continuer à nous battre autant que possible et à surmonter les situations les plus difficiles que la vie nous réserve.
Dans cette 1ère partie, je vais commencer par expliquer ce qui m’a maintenue préoccupée jusqu’à maintenant. Et plus tard, je développerai en expliquant comment d’autres personnes ont aggravé la situation à bord.
Bien que l’on ne puisse avoir aucune certitude absolue lorsqu’il s’agit d’attaques et d’événements astraux ou spirituels, si l’on observe tout l’ensemble, nous avons là un exemple clair de la façon dont le mal peut faire tout son possible pour nous nuire, pour ne pas dire autre chose.
Cet enchaînement de problèmes de santé, dont j’ai souffert d’abord moi-même, et dont a souffert ensuite tout le reste de l’équipage, est très illogique. Et il témoigne du fait que quelque chose travaillait contre nous depuis les coulisses, si vous voyez ce que je veux dire.
Au cours de cette dernière année, j’ai d’abord souffert d’une intolérance alimentaire qui s’aggravait de plus en plus. Puis en août 2024, j’ai commencé à m’évanouir de plus en plus fréquemment. Cependant, l’équipe médicale du Toléka, qui est aujourd’hui celle du Sadicléya, n’a pas réussi à détecter la cause profonde de mon problème. Jusqu’à ce que, en septembre, la docteure Anna identifie que mes problèmes était dus à un diabète de type 1.
Puis, à partir de ce moment jusqu’à la mi-octobre, j’ai subi plusieurs procédures médicales qui avaient pour but de rétablir ma santé et que j’ai vécues comme de la torture, comme je l’ai décrit en détail dans ma vidéo intitulée « Je ne vais pas bien ».
(Note d’Éloïse Al’Cyona : Voici la traduction écrite que j’ai faite de cette vidéo de Mari : Je ne vais pas bien – Fin de la note)*.
Jusqu’à ce que les « chats » Urmahs m’invitent à vivre une cérémonie de guérison à bord de leur vaisseau, le 15 octobre, durant laquelle j’ai été guidée pour avoir une forte expérience spirituelle qui m’a conduite à la guérison, comme je l’ai expliqué dans ma vidéo intitulée « Les Urmahs m’ont guérie ».
(Note d’Éloïse Al’Cyona : Voici la traduction écrite que j’ai faite de cette vidéo de Mari : Les Urmahs m’ont guérie, Parties 1, 2, 3 – Expérience de cérémonie complète – Fin de la note)*.
Le lendemain de la cérémonie, Sénètre, la chirurgienne du Sadicléya, m’a fait des analyses approfondies qui ont confirmé que je n’avais plus de diabète.
Et peu de temps avant cette cérémonie, le 12 octobre, alors que je me soumettais à ces procédures médicales inutiles et très douloureuses pour essayer de retrouver la santé, j’ai soudainement ressenti une douleur forte et inexplicable dans la zone de la poitrine, qui correspondait presque à un infarctus. Elle était si forte que rien ne pouvait me soulager, et je souffrais tellement que je me suis retournée toute la nuit dans le lit de l’infirmerie. Et jusqu’à aujourd’hui, je ne sais toujours pas ce que c’était, car les analyses indiquaient que ce n’était pas lié au cœur.
Puis, le 15 octobre, les « chats » Urmahs m’ont amenée à guérir de mon diabète, mais ils n’ont pas parlé de cette douleur soudaine dans la poitrine que je venais de subir et qui, jusqu’à présent, n’est pas revenue. D’ailleurs, je dois mentionner qu’un autre membre de l’équipage, Dhor Kàal’el, avait également subi le même événement étrange quelque temps auparavant, de manière tout aussi inexplicable.
Deux jours après que les Urmahs m’aient guérie et sans même avoir le temps de fêter ma santé retrouvée, j’ai décidé d’installer un câble pour avoir une caméra de recul dans l’une des voitures que nous utilisons pour descendre à la surface de la planète Terre pour acheter de la nourriture et d’autres articles nécessaires.
Et oui, nous utilisons des voitures humaines ! Autrement, comment pourrions-nous nous déplacer à la surface de la Terre ?
Et vous pourriez aussi vous demander pourquoi c’est moi qui ai installé ce câble et pas quelqu’un d’autre ? En fait, je voulais le faire moi, parce que Dhor Kàal’el était en train de m’apprendre les bases de l’électricité des véhicules humains.
Et tandis que j’étais dans la voiture près du plancher, j’ai remarqué une tache blanche sur le tapis, près de la console centrale. Je l’ai touchée avec ma main pour voir ce que c’était et une poudre blanche a sauté directement sur mon visage. Maintenant je le sais, c’étaient des spores.
À ce moment-là, Dhor Kàal’el a aussi respiré les spores. Puis nous nous sommes retournés et nous avons constaté que tout l’intérieur de la voiture, en particulier les sièges, était rempli de ces champignons blancs (microscopiques)*, ressemblant à du coton. C’est une vieille voiture que nous n’avons pas beaucoup utilisée, mais nous étions justement en train de l’améliorer.
Puis nous avons raconté aux autres ce qu’il venait de se passer, et ils sont arrivés en courant pour voir la voiture. Athena, Nai’Shara et Yazhi sont arrivées les premières, et Yazhi a été assez têtue pour monter dans la voiture et regarder les champignons de près. Et donc, malgré nos efforts pour l’empêcher d’entrer, Yazhi a inhalé une grande quantité de spores, sans doute beaucoup plus que nous.
Par la suite, nous avons tous commencé à avoir une forte toux et des signes clairs d’infection pulmonaire, qui se sont accentuées au fil des jours, jusqu’à devenir complètement invalidantes. Certains d’entre nous ont eu aussi une forte fièvre qui a duré plusieurs jours.
Et donc, c’est à partir de cet instant, fin octobre, que tout l’équipage a commencé à développer des symptômes similaires à ceux de la grippe. Tout l’équipage, y compris les personnes qui n’ont même pas vu la voiture et qui ont encore moins respiré les spores.
L’un de nos abonnés a fait un commentaire intéressant, qui est que dans certains endroits sur Terre, les champignons, et donc les infections qui proviennent de ces derniers, sont associés à la lutte entre le bien et le mal, et que je dois donc les considérer comme un outil éthérique utilisé par un attaquant astral. Même si, comme je l’ai dit plus haut, rien de tel ne pourra jamais être prouvé, et c’est aussi la raison pour laquelle les attaques de ce type peuvent être aussi dangereuses.
Maintenant, si on remonte un mois en arrière, les caméras de surveillance situées dans la réserve derrière les réfrigérateurs, qui sont eux-mêmes situés derrière les cuisines principales dans tous les vaisseaux de classe Toléka, y compris dans les variantes plus récentes de la classe Sadicléya, ont détecté la présence de deux souris, qui avaient réussi à s’introduire dans le Sadicléya, peut-être en se cachant dans un grand carton (d’aliments achetés sur Terre)*.
Après plusieurs jours frustrants, l’équipage a réussi à capturer les souris, mais il n’y en avait pas seulement deux. Au total, dix-sept souris ont été capturées vivantes et ont ensuite été ramenées saines et sauves sur Terre. Le problème est qu’elles avaient très probablement contaminé la nourriture qui était stockée dans la réserve, bien que la plus grande partie de la nourriture y était soigneusement emballée.
Début novembre, des symptômes sévères ressemblant à ceux de la grippe, et qui sont très similaires à ceux d’une infection pulmonaire fongique, s’étaient propagés à l’ensemble de l’équipage. Et l’état de certains membres a empiré plus que d’autres. Par exemple, les symptômes de Suriko, Anna et Nai’Shara n’ont duré que quatre ou cinq jours, alors que la plupart de l’équipage, y compris moi, étions dans un état lamentable, avec une toux paralysante (qui a duré plusieurs semaines)*.
Ensuite, pour empirer les choses et aggraver le problème, presque tous les membres de l’équipage ont commencé à développer progressivement des symptômes d’intoxication alimentaire sévères, compatibles avec quelque chose comme la salmonelle. Certains membres de l’équipage, incluant Dhor Kàal’el et moi-même, avons souffert d’une paralysie intestinale totale, qui nous a provoqué des douleurs abdominales terribles, que le personnel médical n’a pas pu contrôler.
À ce moment-là, mes problèmes de santé étaient tels qu’il m’était devenu quasiment impossible d’écrire. Alors le CIC a commencé à m’aider en faisant plus de vidéos courtes de révision de thèmes antérieurs importants, afin de les mettre en ligne sur ma chaîne pendant que je me rétablissais.
Et pendant qu’il se passait tout ça et que l’état de l’équipe entière empirait de plus en plus avec deux maladies, l’une de nos plus vieilles chattes, une femelle de 16 ans appelée Louna, a développé une sorte de cancer de l’estomac qui la faisait vomir partout, ce qui augmentait le chaos et le stress de l’équipage, car nous avons tous fait notre maximum pour l’aider elle aussi.
Malheureusement, elle est décédée il y a quelques jours et nous n’avons rien pu faire d’autre pour l’aider.
Au fil des jours, l’état de santé de l’équipage ne faisait que s’aggraver, au point que les trois docteures, Sénètre, Kara et Anna, sont aussi tombées malades, ce qui faisait qu’il était encore plus difficile pour elles d’aider tous les autres membres de l’équipage.
Début novembre, les vaisseaux stellaires Alcyone et Saska 1 sont entrés en collision, et bien que cet incident n’avait rien à voir avec des problèmes de santé à bord, puisque les maladies étaient concentrées uniquement sur le Sadicléya, cela s’est additionné à tout ce chaos, car le problème a dû être résolu depuis le Sadicléya en tant que vaisseau amiral.
Aucun autre vaisseau n’a signalé que l’un de ses membres d’équipage était malade, excepté l’Aigle Vigilant, qui a rapporté que deux membres de son équipage avaient souffert d’une allergie alimentaire, mais cela n’avait aucun rapport avec ce qu’il se passait à bord du Sadicléya.
Au 14 novembre, 22 membres d’équipage étaient hospitalisés et se trouvaient dans des caissons médicaux secs à l’infirmerie du Sadicléya, dont deux des trois membres du personnel médical. 22 caissons médicaux sur 25 étaient en service et nous étions 30 membres d’équipage à bord, ce qui signifie que seuls huit d’entre nous étions debout, mais nous étions aussi très malades. L’ensemble du vaisseau Sadicléya était donc dirigé par huit personnes qui étaient très malades et qui étaient submergées de tâches à effectuer. Et sur le pont, il n’y avait plus qu’une seule personne : Suriko.
(Note d’Éloïse Al’Cyona : Suriko est une jeune humaine japonaise, qui a été sauvée in extremis il y a plusieurs années par Swaruu de Erra et son vaisseau Suzy, alors qu’elle était adolescente et prise au piège dans une grosse tempête au large du Japon, à bord du bateau de pêche de son père, qui avait commencé à couler dans la mer. Elle a ensuite été emmenée à bord du vaisseau Toléka, en orbite terrestre, et comme son père venait de succomber à sa noyade et qu’elle n’avait déjà plus de mère, donc qu’elle se retrouvait subitement orpheline, elle a supplié l’équipage du Toléka de la garder avec eux. Depuis plusieurs années, elle fait donc partie intégrante de l’équipage taygétien, parle couramment la langue taygétienne et travaille avec eux quotidiennement pour aider l’humanité. Et bien qu’elle ne soit pas starseed Taygétienne et même pas starseed tout court, le fait d’être en 5D hors de la Matrice 3D de la Terre lui a permis de récupérer ses 12 brins d’ADN originels de Lyrienne, ainsi que ses capacités télépathiques et autres « dons » naturels, tout en gardant son apparence physique originelle, qui est paraît-il typique de la japonaise petite et menue, la peau très pâle, les cheveux noirs, les yeux très en amande, etc. – Fin de la note)*.
Le 15 novembre, je me sentais très malade et avec beaucoup de douleurs abdominales paralysantes. Mais il n’y avait plus que moi pour commander et contrôler, car la capitaine du Sadicléya, Yéléna Éridania, était dans un caisson médical comme tous ceux de l’équipage qui étaient dans un état critique.
En réalisant la gravité de la situation, je n’ai pas eu d’autre choix que de déclarer le Sadicléya inopérable et en danger. Étant la seule personne aux commandes et ne pouvant pas effectuer toute seule tout ce qu’il y avait à faire, j’ai transmis la totalité du contrôle et de la protection de la flotte taygétienne en orbite terrestre, à un officier supérieur se trouvant à bord d’un autre de nos vaisseaux. Le commandement et le contrôle ont été transférés au capitaine de grade 5, Gori’el de Temmer du vaisseau Alcyone.
Du 16 au 18 novembre, le Sadicléya avait fonctionné quasiment tout seul, avec une intervention minimale de l’équipage. Moi je ne dormais plus depuis plusieurs jours à cause de la douleur, et la plupart de l’équipage était toujours hospitalisé.
Le 19 novembre après-midi, le capitaine Gori’el de l’Alcyone m’a demandé et m’a quasiment ordonné, à ce qu’une équipe militaire de son vaisseau parte à l’abordage du Sadicléya. J’ai consenti et autorisé cet abordage et ce débarquement. Le capitaine Gori’el avait activé le protocole 827 du manuel des directives pour la protection des rois et reines de Taygeta.
Le protocole 827 stipule que si un roi ou une reine de Taygeta actif se trouve dans un bâtiment, une installation, ou un vaisseau spatial, avec un équipage qui a été déclaré non opérationnel, il doit être extrait, par la force si nécessaire, et remis entre des mains capables, pour garantir la continuité du gouvernement.
Une navette militaire de l’Alcyone est arrivée au hangar supérieur du Sadicléya, et plusieurs équipes d’agents des Forces Spéciales hautement qualifiés, en sont descendues. Ils portaient un équipement et des combinaisons spatiales complètes qui incluaient des casques, afin de protéger leur visage, car ils savaient qu’il y avait possiblement un agent pathogène dans l’air à bord du Sadicléya.
Une partie de ces agents se sont dirigés vers le pont du Sadicléya, leurs armes à la main pour prendre le contrôle du vaisseau, mais ils n’y ont trouvé qu’une seule personne : Suriko. En les voyant, cette dernière a eu peur et elle a juste levé les mains en l’air en disant plusieurs fois : « Je suis amicale, amicale, amicale ! ».
Une autre équipe a avancé dans les couloirs vides du Sadicléya et s’est dirigée vers ma chambre privée sur le côté tribord. J’étais là, dans mon lit, faisant de mon mieux pour essayer de me reposer. J’ai ouvert la porte et j’ai vu l’équipe, qui m’a immédiatement dit de préparer certaines de mes choses les plus nécessaires et de les accompagner de suite.
J’ai attrapé mon sac et quelques vêtements et je suis allée avec eux jusqu’à l’ascenseur qui nous conduirait au pont du hangar principal. Ils m’ont emmenée jusqu’à la navette militaire de l’Alcyone et toutes les équipes sont revenues en courant. La navette a décollé et m’a emmenée, ou plutôt m’a extraite, jusqu’au vaisseau Alcyone. Pendant que j’étais en transit dans la navette, ils m’ont demandé d’enfiler une sorte de combinaison en plastique transparente pour m’isoler des autres personnes, car j’étais censée être contagieuse.
Quand je suis arrivée à bord du vaisseau Alcyone, j’ai été immédiatement emmenée à leur infirmerie, où ils m’ont placée dans une salle de réveil transparente. Le chirurgien en chef de l’Alcyone, qui s’appelle Wher, son second au commandement, qui est la docteure Karez, et le reste de leur personnel médical, m’ont scannée avec leurs instruments spécialisés.
Ils ont rapidement conclu que rien en moi n’était contagieux, et tout aussi rapidement, ils m’ont enlevé toute protection et ont commencé à me traiter normalement. Ils ont immédiatement émis une conclusion sur ce qui m’arrivait, et mon traitement a de suite commencé, uniquement avec des médicaments et des remèdes taygétiens. Et ils m’ont dit que je n’avais pas besoin de caisson médical.
Le capitaine Gori’el était là, avec son officier en second Maxel de Erra. On m’a ensuite assigné une chambre privée, petite mais assez confortable, pas du tout comme celle du Sadicléya, car l’Alcyone est un vaisseau de guerre. Et ils ont mis deux gardes armés devant ma porte, non pas pour me retenir, mais juste pour ma protection. J’ai demandé pourquoi ils étaient armés et ils m’ont répondu que c’était seulement pour le protocole, et qu’on ne savait pas ce qui pourrait se produire d’autre, compte tenu des circonstances si étranges et inhabituelles.
Grâce aux nouveaux soins médicaux que je recevais, j’ai commencé à me sentir beaucoup mieux presque immédiatement et ce, à ma grande surprise, je dois l’admettre.
Le capitaine Gori’el m’a informé que lui et son groupe étaient déjà en train de planifier une prise militaire totale du Sadicléya, pour venir en aide à tout l’équipage se trouvant là-bas, en particulier sur le plan médical, et pour démarrer une enquête complète sur les événements qui se sont déroulés là-bas.
À suivre…
Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.
Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.
~ Traduit par Éloïse Al’Cyona. Tous Droits Réservés ~
Sources :
Anglaise : Chaîne Youtube « Swaruu Oficial »
Espagnole : Chaîne Youtube « Swaruu Oficial »