Bonjour, merci d’être ici avec moi une fois de plus. J’espère qu’aujourd’hui vous allez tous très bien. Je suis Mari. Soyez les bienvenus sur ma chaîne.

Ces informations peuvent être considérées comme de la science-fiction ou comme le préférera le spectateur. Et je les publie uniquement à des fins de divertissement. Mais moi je prends mes informations très au sérieux. Que celui qui a des yeux, voie !

J’écris ceci le matin du 2 mars 2025.

Aujourd’hui, j’aborderai un sujet dont je suis pratiquement sûre que personne dans mon groupe n’a jamais parlé.

Bien qu’il y ait plein de vaisseaux spatiaux en orbite terrestre basse, moyenne et haute, la plupart des gens ne peuvent pas les voir. Je dis « la majorité », parce que comme je l’ai expliqué dans des vidéos précédentes, certaines personnes ont pu les voir et même les photographier.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : voir ce texte de Mari, que j’ai traduit en français et qui est illustré par de vraies photos de vaisseaux prises depuis la Terre avec un téléscope : Mensonges au sujet des vaisseaux et rochers spatiaux (avec de vraies photos de vaisseaux) – Fin de la note)*.

Ici je ne parle pas des OVNIS. Comme ceux que vous apercevez tandis qu’ils se déplacent à travers l’atmosphère de la Terre et à basse altitude. Je parle de tous les super grands vaisseaux qui sont en dehors de l’atmosphère et qui varient en altitude depuis quelques centaines de km au-dessus du niveau de la mer (comme c’est le cas de la flotte urmah et de la flotte taygétienne, qui sont respectivement à une altitude de 600 et 500 km)*, jusqu’à 500.000 km. Cette dernière étant l’altitude orbitale la plus acceptée par la Fédération Galactique, et qui délimite la fin de l’espace aérien de la Terre ou de l’espace spatial terrestre.

En dehors de cette altitude orbitale, l’espace est considéré comme interplanétaire. Ici, j’arrondis un peu les chiffres pour que vous puissiez les comprendre, car la Fédération Galactique n’utilise pas de kilomètres ou de miles pour mesurer de petites distances.

Un mot sur ces photographies : elles sont très améliorées et sont issues d’images prises par des télescopes très petits. Et les formes ne correspondent pas complètement à celles des vaisseaux stellaires en question. Car ce que l’on voit sur ces photos, ce sont juste les zones éclairées, où le soleil frappe directement les coques des vaisseaux.

Mais c’est alors que surgit la grande question : pourquoi la majorité de la population humaine ne peut pas les voir, même avec un très bon équipement optique ?

En premier lieu, laissons de côté toutes les excuses scientifiques socialement acceptées de la Terre qui, dans ce cas, n’ont pas de base scientifique et qui ont plutôt pour objectif de conserver la Matrice telle qu’elle est, en imposant des mensonges qui sont supposés être fondés scientifiquement.

Ce que je veux dire, c’est que les gouvernements sont au courant de l’existence de tous ces grands vaisseaux spatiaux non humains stationnés en orbite autour de la Terre, dont le nombre moyen tourne autour de 1000 en permanence.

Voici ce que nous avons détecté, et c’est encore une théorie, bien qu’elle soit très étayée :

Les gouvernements et leurs agences spatiales ont mis en place sur Internet des sites web pour permettre au public de voir et de surveiller tous les objets artificiels proches de la Terre qui existent, et qui sont pour la plupart des débris spatiaux, des parties de vieilles fusées, des satellites hors d’usage et des fragments de presque tout ce que l’humanité a envoyé dans l’espace depuis Spoutnik en 1957 (premier satellite artificiel de la Terre)*.

De cette façon, le public est un peu plus satisfait car il est maintenu dans l’idée qu’il sait ce qui est réel et comment fonctionne la réalité, alors qu’il ne fait que suivre ce que dictent la Cabale et sa Matrice. Cela signifie que ces sites web ne sont qu’une autre forme de manipulation pour faire croire aux gens qu’il n’y a rien en dehors de la Terre dans l’espace, sauf des ordures.

Bon, n’interprétez pas mal ce que je dis, car il y a beaucoup de déchets qui flottent ici, mais nous sommes assez convaincus que les déchets spatiaux que ces sites web surveillent, sont en fait des vaisseaux non-humains. De cette façon, si quelqu’un voit quelque chose d’inhabituel dans l’espace, les autorités peuvent rapidement sortir une explication toute faite et affirmer par exemple que ce que cette personne a vu, était en réalité les restes d’un étage de fusée brûlé ou d’un vaisseau spatial russe Soyouz. Bien que je sois assez convaincue que ces restes retombent assez vite sur la Terre, mais vous voyez ce que je veux dire.

Les agences spatiales établies ne diront jamais la vérité aux gens, car cela entraînerait la chute de leur précieuse Matrice.

En nous écartant de cet angle du problème, il y a d’autres facteurs qui expliquent pourquoi les grands vaisseaux spatiaux stationnés en orbite terrestre ne peuvent pas être vus ou ne sont pas facilement vus. L’un de ces facteurs est simplement l’optique et la physique, parce que la taille moyenne de n’importe quel vaisseau parmi les 1000 vaisseaux se trouvant en permanence en orbite terrestre, est de 2 km. Or, un vaisseau stellaire de 2 km est très petit quand il est en orbite moyenne ou haute. Il est donc très difficile de les viser, même avec un téléscope compétent.

Contrairement au fait d’observer une étoile lointaine et faible, qui est assez statique malgré la rotation de la Terre, ce qui rend les vaisseaux stationnés encore plus difficiles à voir c’est qu’ils se déplacent tous à grande vitesse, parce qu’ils sont en orbite, donc ils ne sont pas stationnaires. Par conséquent, ce sont des objets qui, à la fois sont très petits et se déplacent très vite. Il est donc très difficile de les voir et très difficile de les viser, même avec un bon télescope.

En ce qui concerne les télescopes, on m’a dit que la capacité minimale nécessaire pour voir un vaisseau spatial en orbite à n’importe quelle altitude, était d’un grossissement de 10.000 ou plus. C’est ce qu’on m’a dit, donc je n’ai aucun moyen de savoir si cette information est exacte ou non. Mais en plus d’avoir besoin d’un grossissement de 10.000, ce télescope doit aussi être équipé d’un système informatique très avancé pour suivre les objets, ou il sera impossible de le pointer sur un objet en mouvement.

Bon, tout ce que je viens de dire s’applique aux vaisseaux qui se trouvent à une altitude orbitale haute. Mais qu’en est-il de ceux qui sont en orbite terrestre basse, comme ma flotte ? Car nous sommes effectivement assez près de la Terre.

Néanmoins, même si les vaisseaux en orbite basse devraient être plus faciles à voir du fait d’être plus proches, il y a un autre problème qui compense la proximité, les rendant aussi difficiles à observer que les vaisseaux en orbite haute. Ce problème supplémentaire est la vitesse. Parce que plus un vaisseau ou un objet est proche de l’objet autour duquel il orbite, plus il a besoin d’orbiter vite. Car dans le cas contraire, il tomberait et s’écraserait tout simplement sur lui (en l’occurrence, sur la Terre)*.

Plus un objet est proche de la surface, plus il a besoin de vitesse pour maintenir son orbite, calculée à partir de sa masse, de sa force centrifuge et de sa gravité. Donc oui, un vaisseau proche de la Terre devrait être plus facile à voir, mais le problème est qu’il voyage extrêmement vite.

En prenant ma flotte comme exemple, nous nous déplaçons à une moyenne de 8 km par seconde, ce qui équivaut à environ 67 terrains de football par seconde, ou à 4020 terrains de football par minute. Ce qui se traduit par 28.800 km/h, soit environ 23,3 fois la vitesse du son, ou Mach 23,3.

Un « oiseau » qui vole aussi vite est difficile à capturer. Pourtant, même en se déplaçant à une vitesse orbitale aussi élevée, les grands vaisseaux spatiaux en orbite basse devraient pouvoir être vus. Pas facilement, mais cela devrait être possible.

J’ai donc parlé de ce sujet et de ce problème avec mes amis du CIC taygétien ici, car nous soupçonnions tous fermement que quelque chose d’autre empêchait les gens de voir tous ces vaisseaux en orbite terrestre.

Au début, nous avons spéculé que les ceintures de radiation de Van Allen pouvaient avoir quelque chose à voir avec cela, mais ma flotte orbite officiellement sous ces ceintures. Nous avons donc décidé d’envoyer deux vaisseaux de chasse Suzy 6 pour étudier les indices de radiation et la fréquence de vibration dans laquelle ils se trouvaient, en particulier dans l’atmosphère de la Terre, spécifiquement dans l’ionosphère, et comment cela pourrait affecter l’optique et l’observation de vaisseaux en orbite.

Ce que nous avons découvert, c’est qu’il y a en fait plusieurs couches de bulles de radiation qui englobent la planète et à diverses altitudes élevées, classées comme suborbitales. Mais ce qu’ont découvert nos amis pilotes de combat taygétiens et taygétiennes Elexa, Aydan, Tar’el et Ami’kleth, était encore plus intéressant.

Alors qu’ils volaient avec leurs vaisseaux de combat de classe Suzy 6 à différentes altitudes, pendant le jour et la nuit, afin de vérifier nos hypothèses, ils ont découvert que depuis une altitude inférieure, les objets dans l’espace disparaissaient progressivement, et à mesure qu’ils gagnaient de l’altitude, ces objets devenaient visibles une fois de plus.

Et ça allait bien au-delà de ce que l’on pourrait attendre de simples phénomènes atmosphériques, comme la réfraction de la lumière ou le simple fait que toute atmosphère peut nuire à la visibilité, simplement de par sa densité ou à cause de l’éblouissement du soleil, par exemple.

Ce que nous avons découvert, c’est que l’hologramme qui recouvre la face visible de la lune, s’étend à tout le firmament observé depuis n’importe quel point de la surface de la Terre. Cela signifie que l’hologramme qui recouvre la lune, recouvre également les étoiles et tout autre objet dans l’espace, nettoyant ou éliminant artificiellement n’importe quel objet indésirable qui pourrait être potentiellement dangereux pour l’intégrité de la précieuse Matrice maintenue sur Terre par la Fédération Galactique.

Je sais que cela peut paraître très étrange pour la plupart des gens qui découvrent ces informations, mais la lune est recouverte d’un hologramme qui déforme sa vraie nature et sa surface, la faisant ressembler à un satellite naturel, alors qu’elle est en réalité artificielle.

Et ça ce n’est pas une théorie. Pas pour ceux qui le savent, ni pour ceux qui ont vu sa vraie surface de leurs propres yeux. Je sais que c’est un fait que la majorité des gens ne peuvent tout simplement pas accepter, mais la lune est une boule de métal (un ancien vaisseau sphérique arcturien abîmé lors des Guerres de Tiamat, et placé en orbite terrestre par la Fédération Galactique il y a 12.500 ans)*, qui est presque exactement comme l’étoile de la mort dans la série de films Star Wars, mais sans la partie circulaire et plate dans l’hémisphère supérieur.

Cet hologramme lunaire a été détecté et même filmé par plusieurs personnes sur Terre. Et ces gens ont publié ces vidéos sur YouTube, mais la plupart d’entre elles ont été supprimées il y a longtemps. Celle que j’ai retrouvée, qui est encore sur YouTube, est une vidéo appartenant à la chaîne YouTube Crrow777, qui s’écrit avec deux R. Lui, il appelle ça « l’onde lunaire ». S’il-vous-plaît, faites vos propres recherches.

[Note d’Éloïse Al’Cyona : Voici la vidéo dont parle Mari, où l’on peut voir cette onde qui « ondule » sur la lune de bas en haut, et qui nous montre que sa surface visible est un hologramme (il y a plein d’autres vidéos de la lune, où l’on peut aussi voir passer des vaisseaux. Sur sa page YouTube, cliquez sur « vidéos », puis sur « les plus anciennes » et elles sont parmi les premières) : The first Lunar Wave from Sept 2012 – Fin de la note]*.

Comme nous le disions hier, mes amis du CIC et moi-même, l’hologramme lunaire qui utilise ou potentialise les ceintures de radiation de Van Allen, a été mis en place dès le début lorsque la Matrice de la Terre a été créée, et dans le but de cacher tous les objets qui étaient à l’extérieur de cette Matrice.

Bien que tout cela nécessite plus de recherches, nous sommes parvenus à la conclusion que l’hologramme semble placer une image illusoire de l’espace en dehors de la Terre, qui est exacte mais retouchée par sa technologie de fréquence et de vibration, protégeant ainsi la Matrice sur Terre et ses systèmes de croyances.

Nous pouvons détecter que l’hologramme rebondit sur les ceintures de radiation de Van Allen pour créer une image de l’espace même lorsque la lune est de l’autre côté de la planète, par exemple lors d’une nouvelle lune.

Nous ne savons pas exactement comment cela est fait et quels autres facteurs entrent en jeu ici, pour que personne à la surface ne puisse voir les vaisseaux stellaires stationnés dans le ciel. Cependant, ce voile technologique lunaire n’est pas parfait, puisque certaines personnes ont observé, et même filmé et photographié des vaisseaux stationnés en orbite.

Le fait d’être et de vivre ici en haut, ne signifie pas que nous pouvons tout savoir, d’autant plus que nous sommes aussi dans une autre Matrice illusoire (une Matrice naturelle, faite d’idées, de croyances, de conditionnement mental, etc)* qui contient celle de la Terre. Parce que les pouvoirs factuels, la Fédération Galactique, nous racontent aussi des conneries en guise de version officielle, comme à vous à la surface de la Terre. Et pardonnez mon langage, mais ici j’avais besoin d’exprimer les choses de façon piquante.

Mais nous comprenons maintenant ce qui se passe et il s’agit d’un voile de vibration de fréquence artificielle, qui a beaucoup à voir avec les ceintures de Van Allen, la lune et ses hologrammes. Soit dit en passant, les ceintures de radiation de Van Allen, que nous avons détectées avoir des variantes plus petites et aussi basses que l’ionosphère, sont ce que beaucoup de fans de la théorie de la Terre plate appellent « dôme » ou « coupole ».

Donc, à proprement parler, c’est cette coupole qui empêche les gens de voir tout ce qu’il y a en dehors de la Terre, à part l’immensité vide de l’espace, qui est la seule chose que les contrôleurs de la Terre (la Fédération Galactique)* veulent que les gens voient, et pas plus.

Je sais que tout cela est difficile à avaler et ça l’est pour moi aussi. Nous allons continuer à faire des recherches sur ce thème, mais jusqu’ici nos conclusions sont assez solides.

Une note supplémentaire qui n’est pas sortie dans ma vidéo en anglais : comme je l’ai dit, il y a en moyenne 1000 vaisseaux spatiaux non humains en orbite autour de la Terre à différentes altitudes, à tout moment. Mais le nombre de 1000 ne comprend pas la très grande quantité de vaisseaux plus petits, qui sont encore d’une taille importante, et il inclut encore moins les milliers de vaisseaux de transport, de ferries, de navettes et de vaisseaux de chasse plus petits.

(Note d’Éloïse Al’Cyona : Ici, le terme « petits » est très relatif, quand on sait par exemple qu’un vaisseau de chasse taygétien de classe Suzy mesure quasiment 100 mètres de long.
Je rappelle aussi que les Taygétiens disent depuis des années que l’orbite terrestre est en permanence bondée de vaisseaux comme un parking de supermarché rempli de voitures un samedi après-midi – Fin de la note)*.

Ce sera tout pour aujourd’hui. Comme toujours, merci d’avoir regardé ma vidéo et de l’avoir Likée, partagée, et de vous être abonnés pour recevoir plus d’informations. Cela aide beaucoup cette chaîne à prendre de l’ampleur. Et j’espère vous revoir ici la prochaine fois.

Avec beaucoup d’amour et de gratitude.
Votre amie,
Mari.